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« Cette histoire est très simple et très émouvante » Evasion Mag
Catégories : Article de presse ( Article de presse )« (…) Cette histoire est très simple et très émouvante. Précisons toutefois que c’est un roman et non une histoire vécue, même si l’histoire paraît belle et si on a envie d’y croire. Ce roman, écrit par David Rautureau, correspondant de presse et romancier, comme celui de l’histoire, date de 2018 et voilà que ce récit paraît sous un coffret de trois CD, toujours écrit par David mais narré par mon ami Bruno Putzulu et quelle plus belle voix ne pouvait raconter, lui qui est issu de la Comédie Français !Rappelons qu’il nous a déjà offert un magnifique coffret sur les entretiens qu’il avait eu avec Philippe Noiret, qu’il avait rencontré sur le tournage du film de Michel Boujenah « Père et fils » avec qui il s’était lié d’amitié.Amitié aussi, avec Johny d’ailleurs, avec lequel il avait tourné « Pourquoi pas moi ? » de Stéphane Giusti, à Barcelone en en 1996, date de leur amitié naissante. Il a 31 ans, Johnny 55 et après le tournage, ils seront inséparables, une amitié, avoue-t-il scell [...]
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« Légèreté et finesse » par Daily Passions
Catégories : Article de presse ( Article de presse )« La voix est une voix « jazzy » que je qualifierai d’acidulée, en pensant aux bonbons du même genre. C’est une voix qui porte la mélodie avec légèreté et finesse et l’on ne s’étonnera pas que Thomas Dutronc avoue s’être inspiré de la version de Plus je t’embrasse par Blossom Dearie et qu’elle se soit fait connaître en 1954 à Paris avec une chanson adaptée et arrangée par Jean Constantin et Michel Legrand intitulée La légende du pays aux oiseaux. »Par Noé GAILLARD – DAILY PASSIONS
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Le chanteur-compositeur a l’intelligence de laisser parler la musique par Hexag
Catégories : Article de presse ( Article de presse )Nous avons déjà égrené les points forts du dernier Gérard Pierron : son évidence mélodique (chanson du traîne-misère), sa gourmandise de diseur (La marchande d’images), la variété des accompagnements (piano-accordéon pour « Tuileries de mes peines », ou violon-rhodes pour « Berceuse II », flûte enchanteresse en sus), l’intemporel (rondeau de Charles d’Orléans) et l’actuel « Devil-lès-Rouen », les subtiles réappropriations de musiques jadis offertes à d’autres, sa propre écriture, simple mais puissante (« Regarder la Loire », sommet d’émotion et d’étrangeté »). Mais les temps calmes ne sont pas moins beaux : « le doute », qui illustre ce qu’un Leprest mineur et fatigué contient encore de beauté, magnifié par Nathalie Fortin en état de grâce ; « A la brune à la blonde » (« et merde pour le curé ! ») un Queneau irrévérencieux, chœurs complices et chaleureux ; « Petits lapons », sorti de la plume fantaisiste de Georges Fourest, tout en aigus piqués (Marie Mazille et ses nyckelharpa, c [...]
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« Jackson s’y révèle grandiose avec une voix ample et conquérante » par ABS Mag
Catégories : Article de presse ( Article de presse )« Une loi européenne sur l’exploitation du domaine public interdit la publication des enregistrements post-1962 de Mahalia Jackson sans payer les ayant-droits. Ce volume 19 conclut donc cette intégrale jusqu’à nouvel ordre, sauf découverte éventuelle de documents inédits antérieurs à 1962 débouchant sur un volume 20… Qui vivra verra. Les 6 premières faces (sur 16) ont été enregistrées par Mahalia à Hollywood, CA, le 22 mars 1962 avec un orchestre conduit par le pianiste Edward C. Robinson et une chorale dirigée par Thurston Frazier sur 4 faces. La première partie de cette séance se trouve sur le volume 18. Comme d’habitude, Jackson s’y révèle grandiose avec une voix ample et conquérante, une décontraction totale et un talent sans affectation. Grâce à Robinson et Frazier, cela swingue à tout va, cela commence en fanfare avec un Lord Don’t Let Me Fail une valse gospel où une Mahalia en verve est boostée par le piano de Robinson. Cela continue de la même manière dans l’excellent I Co [...]
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« An uphill struggle in a milieu dominated by white males » by Jazz Journal
Catégories : Article de presse ( Article de presse )The three-CD set features no less than 30 ladies on a total of 76 tracks, mainly with trio or quartet rhythm backing, and a few with small groups. In tune with current widespread re-evaluations of women’s commercial status and rights, the Frémeaux label has for some time drawn attention to historic undervaluations of female jazz musicians. The black instrumentalists, particularly, must have found their careers an uphill struggle in a milieu dominated by white males, often with deplorable racist attitudes. An album on this theme entitled Jazz Ladies 1924-1962 featured recordings by a range of instrumentalists on trumpet, trombone, saxes, piano and organ, plus all girl bands. The follow-up release focuses strictly on singing lady pianists. (...)By Hugh RAINEY – JAZZ JOURNAL
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« Peps, bonne humeur et brio » par TSF JAZZ
Catégories : Article de presse ( Article de presse )« On ne pouvait rêver mieux que de célébrer le retour du Paris Gadjo Club, une formation qui mélange avec peps, bonne humeur et brio le swing manouche et les musiques brésiliennes : samba, bossa et choro. » Par Jean-Charles DOUKHAN - TSF JAZZ
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Anthologie du XXème siècle par la radio par Philippe Meyer
Catégories : Article de presse ( Article de presse ) “Dans leur simplicité, leur modestie et, quelquefois, leur dénuement, les sons et les voix rassemblés dans ces disques vérifient à quel point la radio est douée de pouvoir d’attirer l’attention, d’ouvrir la voie à l’imagination comme à la médiation, et comme elle tire sa force de la liberté qu’elle postule chez son auditeur.” Philippe MEYER (à propos de l’Anthologie du XXe siècle).
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« La fée et les faits » par Les Inrockuptibles
Catégories : Article de presse ( Article de presse )Le samedi 25 novembre 1921 ; jour de la première émission de radiodiffusion en France depuis les salons de l’hôtel Lutétia, un homme à la voix tremblotante et solennelle prenait la parole pour déclarer : « Messieurs, la fée électricité est une personne éthérée. » Soixante-dix-huit ans plus tard, installée dans une grande maison ronde des bords de Seine, la fée électricité se montre boudeuse. Silence radio. Quand la maison ronde la boucle, les auditeurs des radio de Radio France s’acharnent comme des drogués en manque sur leur tuners intraitables : où sont ces voix amies qui nous accompagnaient du réveil au coucher (voire plus si insomnies), comment peut-on prendre sa douche du matin avec un robinet à musique, pourquoi vous ne dites rien ? En guise de cure de sevrage temporaire, on préconisera l’écoute régulière de l’Anthologie du XXe siècle par la radio, coffret six CD élaboré par l’excellent éditeur discographique Frémeaux et Associés en collaboration avec l’INA et Radio France [...]