-
“Cole, in top voice” Los Angeles Jazz Scene
Catégories : Article de presse ( Article de presse )“One of the finest jazz pianists of the 1940s and a popular jazz-oriented singer with his King Cole Trio, Nat King Cole changed in the 1950s (after having a major hit with “Mona Lisa”) into a very popular crooner who occasionally played some piano for variety in his shows. Instead of being a competitor of Teddy Wilson and Earl Hines, by the mid-1950s he was competing with Frank Sinatra and Dean Martin. While many of his later fans in the U.S. did not even know that he had been a major jazz pianist, in Europe his audiences preferred that he play piano. (…) The previously unreleased music on Live In Paris is taken from slightly later in the tour, featuring highlights from two concerts performed on April 19, 1960. First Cole, who was in top voice, performs “Dance Ballerina Dance,” “Darling, Je Vous Aime Beaucoup” and “The Continental” with the orchestra. Then on “It’s Only A Paper Moon,” “Sweet Lorraine” and a rollicking “Route 66,” he plays and sings with the rhythm section, taking [...]
-
« Une perle ! » par Matou Chat Magazine
Catégories : Article de presse ( Article de presse )« Voici une anthologie des musiques consacrées au chat durant la période de 1911 à 1962, en 3 CD : le chat à travers la chanson et la poésie ; le chat dans l’univers des enfants ; le chat dans l’univers de la musique classique et de la musique d’ambiance. Une perle ! »
-
« Un pianiste qui occupe dans l’histoire du jazz une place majeure » par Le Salo
Catégories : Article de presse ( Article de presse )« Cet album regroupe en quatre cd les cinq disques originaux enregistrés entre 1992 et 2013 par un pianiste qui occupe dans l’histoire du jazz une place majeure. Un musicien « notoirement méconnu », comme eût dit Alexandre Vialatte. Méconnu du grand public, car les amateurs, eux, connaissent bien son talent et l’originalité de ses conceptions musicales, ce mariage du bebop et de la biguine devenu sa marque propre. Sans doute n’est-il pas le premier à pratiquer une fusion qui ne doit rien aux artifices ni à la mode. D’autres Antillais, Al Lirvat, Robert Mavounzy, notamment, ont su peindre leur jazz aux couleurs des Caraïbes et les influences créoles ont marqué cette musique dès ses origines néo-orléanaises. L’originalité d’Alain Jean-Marie tient, toutefois, à la subtilité qu’il a su insuffler à cet idiome particulier auquel il est resté fidèle depuis ses débuts. Servi par une remarquable technique instrumentale, un toucher délicat, une capacité à improviser sur des rythmes qui déf [...]
-
« Le pianiste français qui époustoufla Louis Armstrong » par Libération
Catégories : Article de presse ( Article de presse )« Dans le piano de Claude Bolling, un film de Vincent Perrot (Frémeaux et Associés) sur la carrière du jazzman, où l’on constate combien l’amour fou pour la musique de Thomas Fats Waller peut mener loin, et haut, notamment dans la composition des musiques de films (Borsalino, Le Magnifique, Les Brigades du Tigre, etc.). Une cascade de témoignages pertinents éclaire le parcours du pianiste français qui époustoufla Louis Armstrong (Vladimir Cosma, Claude Lelouch, François Lacharme, Pierre Arditi, Patrick Frémeaux). »Par Bruno PFEIFFER - LIBERATION
-
« Le seul enregistrement sur scène du Genius à l’orgue » par Libération
Catégories : Article de presse ( Article de presse )« Dans la foulée du triomphe d’Antibes Juan-Les-Pins en juillet, le Genius revient à Paris en octobre 1961. Les événements tragiques autour de la guerre d’Algérie ébranlent la ville (attentats, répression policière, réquisition du Palais des Sports après les interpellations après la manifestation appelée par le FLN le 17). L’Américain donnera finalement six concerts, à un public composé essentiellement de jeunes de 17-18 ans : ceux-ci voulaient entendre la nouvelle idole de l’émission Salut les copains. L’orgue Hammond de Ray, transporté pour l’occasion, souleva la salle. C’est du reste le seul enregistrement sur scène du Genius à l’orgue, devant 30 000 personnes, au bas mot. En effet, note Joël Dufour dans les liner notes, de nombreux spectateurs excédentaires avaient été admis à tarif réduit. Ils avaient envahi les marches entre les rangées. On les envie autant que les autres. »Par Bruno PFEIFFER - LIBERATION
-
« L’immense guitariste français de flamenco » par Babelmed
Catégories : Article de presse ( Article de presse )« Le label Frémeaux & associés reprend en un coffret de trois disques le projet « Circulo de la noche » initié par l’immense guitariste français de flamenco, Raphaël Faÿs en 2010. (…) L’artiste a naturellement dédié ce triple album « à la mémoire de Paco de Lucia »… Raphaël Faÿs, cousin de coeur de l’artiste espagnol défunt… »Par Nadia KHOURI-DAGHER - BABELMED
-
« Le fruit de la rencontre cordiale entre deux générations de guitaristes majeur
Catégories : Article de presse ( Article de presse )« De 1969 jusqu’à sa disparition en 1974, Hugues Panassié, émérite spécialiste français du jazz américain, explora avec son fils Louis les tréfonds de ces musiques sur leurs terres originelles. Outre le film “L’Aventure du Jazz”, ils y recueillirent une brochette d’enregistrements mémorables (…). Désormais confié pour préservation et numérisation à Frémeaux & Associés, ce catalogue propose à nouveau quelques perles, dont celle-ci ne s’avère pas des moindres. Organisée par Panassié mi-juillet 74 à New-York, voici le fruit de la rencontre cordiale entre deux générations de guitaristes majeurs est proposé sur cet album, “Guitar Odyssey”. Né en 1917, Al Casey se fit largement connaître dès 1934 aux côtés du légendaire Fats Waller, mais aussi de Louis Armstrong, Coleman Hawkins, Art Tatum, Eddie ‘Lockjaw’ Davis et Billie Holiday, avant de se joindre à rien moins que King Curtis dans les sixties. Quant à Billy Butler (frère de Jerry “Duke Of Earl” Butler), c’est auprès des organistes Bi [...]
-
« Une perspective historique sur notre pays » par Sefronia
Catégories : Article de presse ( Article de presse )« Peu après l'arrivée en France du microsillon 45 tours (invention rapportée des États-Unis par Eddy Barclay), Louis Merlin, fondateur de la radio Europe No1, invente le concept Sonorama : un peu de texte, des photos noir et blanc, trois disques souples à thème (politique et actualités, informations culturelles, chanson), le tout relié avec couverture couleurs. Les actualités politiques viennent des studios d'Europe No1, les chanteurs présentés sont ceux que la radio promotionne, pas question ici de jouer les têtes chercheuses. Au rythme d'un numéro par mois, Sonorama, que l'on trouvait en kiosque et chez les marchands de journaux, a paru de 1958 à 1962. Le label Frémeaux en publie ici une anthologie en 3 Cd, chacun dédié à un des trois thèmes. L'info et politique donne la part belle à De Gaulle, Debré, l'Algérie, Kroutchev en France, dans le ton le plus propagandiste des informations officielles de l'époque... Humour et théâtre donne la parole aux valeurs sûres, Poiret & Serrault [...]