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  • « Un disque rare à ne pas laisser passer » par Jazz Magazine
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    La combinaison vibraphone-piano-guitare-basse-batterie du quintette de George Shearing a marqué le monde de l’accordéon, des Etats-Unis où Art Van Damme l’adopta dès 1947, à la France où les as de l’accordéon populaire s’en emparèrent souvent pour échapper au périmètre où le succès les retenait. Marcel Azzola fut de ceux-ci, notamment sur ce disque du label Black & Blue où le vibraphone hamptonien de Dany Doriz associé au bopper Georges Arvanitas et à l’inclassable brillantissime Marc Fosset (dont Azzola fréquentait à l’époque le duo Fosset-Caratini) fait « chauffer Marcel » comme il se doit. Originaux de Doriz (Fanfreluche) et Marcel Azzola (ses fameux « Double Scotch », « Pich’nette » et les riffs et variations moins connues de « Lina’s Blues »), tendres ballades de Vernon Duke ou  George Gershwin (mais aussi Percy Mayfield), morceaux de bravoure du swing (« Rockin’in Rhythm » et « Perdido », occasion d’une longue variation bop à l’unisson conclue par une folle collective), mais [...]

  • « Délicat et élégant » par Jazz Magazine
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    Ce disque est un adieu de Jean-Louis Wiart à son activité de producteur et à son label Axolotl. Délicat et élégant adieu dont il confie la responsabilité à la chanteuse Do Montebello et à ce disque qu’elle présente comme « un climat ». La mélancolie en est profondément marquée par la bossa nova, mais elle chante aussi « Peace » d’Horace Silver et « Never Let Me Go » parmi les originaux et les reprises de Tom Jobim ou Tonino Horta (ici guitariste auprès du violoncelle de Jacques Morelenbaum ou de l’accordéon de Marc Berthoumieux sur des arrangements dominés par les cordes pincées). Par François MARINOT – JAZZ MAGAZINE

  • « Une déambulation jazz en apesanteur » par Télérama
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    « Portée par le swing de ses musiciens (guitares, violoncelle, contrebasse et accordéon), sa voix claire et alanguie caresse des rivages brésiliens multilingues (portugais, anglais et français) et devient soupir sur les chansons les plus délicates de son nouveau répertoire : une déambulation jazz en apesanteur, scellée sur le disque Birdy Heart. »Par Anne BERTHOD - TELERAMA

  • « Une pierre majeure de plus à apporter à l’œuvre unique de Ray Charles » par So
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    « Les admirateurs de Ray Charles sont gâtés : après les concerts parisiens d’octobre 1961 et mars 1962 et le festival de Newport de 1960, c’est au tour des prestations du Genius à Antibes de l’été 1961 – sa première visite européenne – d’être documentées, pour la première fois dans leur intégralité (13 titres inédits), dans un coffret de quatre CD. Chacune des quatre soirées se déroule de la même façon : des introductions parlées par André Francis puis Joe Adams, le bras droit de Ray Charles, puis quelques standards de jazz instrumental interprétés par l’orchestre avec Ray au piano, une série de titres chantés par Ray et enfin l’arrivée des Raelets. Mais le répertoire, autour de quelques incontournables dont l’indispensable What’d I say final, varie chaque soir, mêlant les tubes (Georgia on my mind, débarrassé de ses cordes et porté par la flûte de “Fathead” Newman, I believe to my soul…) et des morceaux moins communs, y compris With you on my mind, emprunté à Nat King Cole et jam [...]

  • « Un génie absolu » par Hot club de France
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    Dans la collection « The quintessence » publiée par la maison Frémeaux, voici venir le second coffret de deux CD consacré à Sidney Bechet, seul jazzman dont « les mélodies appartiennent de plein droit à notre patrimoine culturel national, indissociables qu’elles sont de notre mémoire collective », comme le fait justement remarquer l’auteur du livret. Et c’est bien vrai : nous avons beau nous trouver maintenant plus de soixante ans après l’enregistrement du dernier album de Sidney Bechet, il y aura toujours des danseurs pour demander quelques increvables de son répertoire, qu’il s’agisse de « Petite fleur, des Oignons » ou des « Rues d’Antibes ». Peut-être même y ajouteront ils « Si tu vois ma mère » ou « En attendant le jour » … sans parler de « Passport to Paradise ». Voilà pour la face de Bechet la plus connue du grand public, bien présente dans la seconde des deux galettes du coffret. On appelle cela la « période française » de Sidney Bechet, que l’après-guerre amena de ce côté [...]

  • « Un disque passionnant » par Classica
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    Stan Getz voit lui aussi publié un document exceptionnel resté inédit capté en janvier 1959 à l’Olympia et dans les studios d’Europe 1. Douze standards figurent interprétés en compagnie d’un véritable « all-stars » comprenant Martial Solal au piano (qui joue deux thèmes en trio), Kenny Clarke à la batterie, Pierre Michelot à la contrebasse et Jimmy Gourley à la guitare. Ce disque est passionnant, les documents sonores de cette période étant majoritairement issus du Danemark où il réside alors. La présence parisienne de ce saxophoniste à la sonorité angélique (voyez « Round About Midnight ») déchaîne l’enthousiasme du public, conquis par son lyrisme, la beauté de son timbre, et par l’énergie que dégage ce quintet hélas unique dans sa carrière. D’où la valeur infiniment précieuse de ce magnifique témoignage.  Par Jean-Pierre JACKSON -CLASSICA

  • « Une lecture très accessible des grands textes sur la musique » Par l’Enseignem
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    Ollivier Pourriol, philosophe fait une lecture très accessible des grands textes philosophiques sur la musique. Parmi eux : ceux de Jankélévitch, d’Alain, de Hegel. Selon lui, il y a une difficulté fondamentale à parler de la musique. Comme le rappelle Jankélévitch dans « La musique et l’ineffable », elle ne signifie rien, ne se situe ni du côté de la raison, ni du côté du sens. La musique telle une bulle de savon, crève quand on la touche, apparaît et disparaît. Contrairement à la sculpture, note Hegel, la musique ne forme pas un objet, on ne peut tourner autour. Ce sont les sons qui tournent autour de vous et qui entrent en vous.Par M.B.- ENSEIGNEMENT

  • « Document indispensable dans une discothèque » par Blues & Co
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    « Après avoir vendu tous nos œufs avec mon père, on en a profité pour aller à Memphis et demander que je passe une audition dans les locaux de Sun Records. Pas de chance, le boss Sam Phillips était à Nashville. J’ai insisté pour que l’on m’écoute, même si je devais rester assis devant la porte pendant trois semaines. Jack Clement avait fini par accepter cette audition puis de m’inviter à revenir le mois suivant pour connaître la décision de Sam Phillips. La réponse a été une bonne surprise. J’ai enregistré « Crazy arms » puis « Whole lotta shakin’goin’on » qui restera plus de six mois au hit-parade U S » Jerry Lee Lewis … Durant l’été 1958, au Paramount Theater de New York, Jerry Lee Lewis dit “the killer” donnera une bonne cinquantaine de concerts à guichets fermés, pulvérisant les records d’entrées détenus par Franck Sinatra et Johnny Ray… une star du rock and roll était née ! De ce mythique studio du Tennessee sont sortis des légendaires chanteurs issus pour la plupart d’une cu [...]

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