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  • « D’emblée des classiques » par Je chante Magazine
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    En 1957, Léo Ferré enregistre l’album « Les fleurs du mal », douze poèmes de Baudelaire qu’il a mis en musique (le serpent qui danse). L’année suivante, il poursuit sa collaboration avec Jean-Roger Caussimon, commencée en 1953 (Monsieur William), avec « Le temps du tango » et « Mon camarade », deux standards qui viennent enrichir durablement son répertoire. Le 30cm publié en 1958 par Odéon (« Encore du Léo Ferré ») est décidément un bon cru avec de grandes chansons signées Ferré comme « La vie moderne, Dieu est nègre, L’étant chimérique, jazz band, la chanson triste … Encore quelques 45 tours chez Odéon (La zizique, Comme dans la haute, Mon Sébasto) puis Ferré change de maison de disques. Ses deux premiers 25 cm publiés chez Barclay en 1961 sont d’emblée des classiques, qu’il chante ses propres textes (Paname), ceux de Caussimon (Comme à Ostende) et Pierre Seghers (Merde à Vauban) ou avec les dix poèmes d’Aragon qu’il a mis en musique (L’Affiche rouge, Tu n’en reviendras pas, Est- [...]

  • « Un coffret qui apporte son lot de raretés » par Je chante Magazine
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    Conçu également par Olivier Julien, le volume 2 du coffret consacré aux interprètes de Claude Nougaro apporte aussi son lot de raretés. Entre 1958 et 1962, Christine Legrand, Michel Roger, Jean-Jacques Debout, Irène Hilda avec Les Rockets, Line Andres enregistrent quelques-unes de ses chansons peu connues. A partir de 1962, c’est la déferlante Nougaro : Marcel Amont, Philippe Clay, Pia Colombo s’approprient ses chansons. Les musiciens et chefs d’orchestre – Léo Clarens, Emil Stern, Jimmy Walter, Michel Legrand, François Rauber et Alain Goraguer, Marcel Azzola… - piocheront aussi dans son répertoire. Par JE CHANTE MAGAZINE

  • « Le troisième grand « B » de la chanson française » par Je chante Magazine
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    En 62 titres, Dany Lallemand retrace la première partie de la carrière de Guy Béart, le troisième grand « B » de la chanson française, injustement sous-estimé, même si l’on continue de fredonner ses chansons en ignorant le nom de leur auteur… Les deux premiers CD regroupent quarante titres parus sur disques Philips entre 1957 et 1962, des enregistrements jamais réédités jusque-là. Toute l’originalité de Béart est déjà là : la mélancolie, la douceur, la fantaisie… Et un sens incomparable de la mélodie ! Le troisième CD rassemble 22 de ses titres repris à la même époque par la fine fleur des interprètes du moment : Gréco, Patachou, Pia Colombo, Simone Langlois, Zizi Jeanmaire, Michèle Arnaud, Béatrice Arnac, Annie Fratellini, Dany Saval (Pierrot la tendresse), Lisette Jambel et aussi Yves Montan, Jean-Claude Pascal, Philippe Clay, Michel Simon, Anthony Perkins, (Il n’y a plus d’après) … Par JE CHANTE MAGAZINE

  • « Une foison de tubes » par Je Chante Magazine
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    Conçu par François Jouffa et Pierre Layani, « Yéyé VO/VF » explore en 75 titres le phénomène yéyé en France, depuis ses balbutiements au milieu des années 50 jusqu’à son implantation dès 1960, à travers les adaptations des succès de la musique plébiscitée par les teenagers américains. Le voyage commence avec Edith Piaf pour qui Jean Dréjac adapte en 1956 un petit succès des Cheers (« Black Denim Trousers and Motorcycle Boots ») dont elle fera un de ses morceaux de bravoure sous le titre « L’Homme à la moto ». Et il s’achève en 1962 (domaine public oblige) avec une chanson d’Hedy West, « 500 Miles », interprétée par The Journeymen et reprise en France par Hugues Aufray et par Richard Anthony qui en fera un standard sous le titre « J’entends siffler le train ». Entre ces deux dates, une foison de tubes et l’occasion de découvrir en VF puis en VO des chansons qui nous sont familières comme « Souvenirs, souvenirs » par Barbara Evans, « Kili Watch » par le groupe belge Les Cousins, « S [...]

  • « Les beaux soirs des casinos des années 50 » par Je Chante Magazine
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    « Chansons exotiques pour cabarets et music halls » nous invite à un voyage au cœur des années 50 dans cette musique « typique » qui fit les beaux soirs des casinos des villes méditerranéennes au son des rythmes venus du Brésil, de cuba ou des pays arabes… Jean Constantin, Dario Moreno et Bob Azzam sur le premier CD en sont les dignes représentants. Le CD 2 célèbre l’Italie et la « canzonetta » défendue par Renato Carosone, Marino Marini, Fred Buscaglione et quelques autres. Sur le CD 3, rythmes typiques et chanson francarabe sont à l’honneur. Copieux livret signé Phlippe Comoy.Par JE CHANTE MAGAZINE

  • « Ce CD vous plaira ! » par Le Cri du Coyote
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    Comme toujours chez Frémeaux & Associés, le livret accompagnant le CD nous fournit des informations abondantes et claires sur la vie et l’œuvre de cet artiste indissociable du zydeco. On est ici dans la première période de la carrière de Chenier : l’idée consiste tout simplement à interpréter du rhythm & blues à l’accordéon. « Cliston Blues (sic, avec une erreur orthographique d’origine) serait le premier morceau de blues enregistré joué à l’accordéon, en 1954. Le public ciblé est exclusivement Noir et anglophone et les chansons, à une exception près, sont écrites et chantées en anglais, bien que la langue maternelle de Clifton soit le français de Louisiane. Ni valses, ni two-steps parmi les 24 titres présentés. Le seul élément « folklorique » est la présence du « rubboard » de Cleveland Chenier, le frère de Clifton. Coïncidence : j’ai découvert ce CD le jour-même du décès de Fats Domino, autre figure fondatrice de « nos » musiques, et la parenté avec Chenier n’est pas seulement g [...]

  • « Un beau coffret » par Jazz News
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    Dans l’histoire de l’accordéon français, Marcel Azzola est, après Viseur, Priva ou Muréna, sans doute le dernier à incarner le rôle à part de l’instrument créé à peine un siècle plus tôt : le musette et les bals, une vie parisienne qu’il a vue à son corps défendant expirer, la chanson à son meilleur (Montand, Piaf, Bécaud, jusqu’à Nougaro, dont les reprises sont ici ce qui a peut-être le plus vieilli), le Tour de France, etc. La restitution des ses premiers enregistrements était une nécessité heureusement accomplie dans ce beau coffret, aux inédits savoureux de virtuosité et d’arrangements dingues. On espère que l’inéluctable ringardisation de l’instrument qui a accompagné la carrière d’Azzola pourra y trouver une digue solide qui fasse à nouveau honneur à la définition de Queneau du consensus comme accord des on. Ça s’épelle M.A.R.C.E.L. Chauffe !Par Pierre TENNE – JAZZ NEWS

  • « Une séance passionnante » par Jazz News
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    Issue de la collection Jazz Odyssey initiée par Hugues Panassié et son fils Louis en 1969, cette séance pour le moins didactique pourrait rebuter le néophyte et même l’impétrant plus obstiné. Elle se révèle pourtant passionnante de la première à la dernière illustration. Il faut dire qu’avec un professeur comme Jo Jones chaque trait de technique (le premier CD) et d’histoire (le second qui évoque les grandes figures du seul instrument qu’inventa le jazz) prend une saveur particulière. Le batteur de Count Basie savait ce qu’était le swing et son sens de la narration rend la leçon très vivante. Pas de panique, on retrouve dans le livret la traduction du cours qui s’éclaire d’un jour lumineux de la démonstration.Par Bruno GUERMONPREZ – JAZZ NEWS

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