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  • « Irrésistible d’aisance ! » par l’Obs
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    En juin 1962, ce n’est plus un démocrate, mais un républicain qui chante au Lido le temps d’un concert charmeur enregistré sous le titre « Live in Paris ». Frank Sinatra vient de changer de camp politique. Le chanteur de « I’ve Got You under My Skin » s’est brouillé à mort avec le président John Kennedy, qu’il n’a plus dans la peau. On connaît la cause de ce divorce. En mars 1962, le président Kennedy prévoit de passer un week-end à Palm Springs, Californie. Sinatra l’invite à séjourner dans sa demeure. L’année précédente, il a organisé un gala en faveur de Kennedy, avec des places de 100 à 10 000 dollars et un gain d’un million de dollars pour le Parti démocrate. Il a même eu l’honneur de gagner la loge présidentielle du gala au bras de Jackie Kennedy. Pour accueillir son président, Sinatra révolutionne sa villa. Il ajoute des lignes téléphoniques et fait construire une plateforme pour hélicoptère. On dit même qu’il fait poser par anticipation, au-dessus su lit où Kennedy doit do [...]

  • « Une époque bénie » par Le Quotidien du Médecin
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    Dans l’inconscient, évoquer Sidney Bechet (1897-1959), c’est automatiquement se référer à ses dernières années passées en France, quand il faisait casser les fauteuils de l’Olympia, et à ses succès d’alors, comme la célèbre « Petite Fleur ». Certes, ce fut une époque bénie pour le clarinettiste/saxophoniste soprano, qui soulevait et faisait danser les foules, avec son complice Claude Luter et se mélodies aux titres si français (franchouillards ?). Mais il faut également se rappeler les années antérieures et c’est ce que permet « Sidney Bechet – The Quintessence vol. 2 – New York-Paris-Boston 1944-1958 » (Frémeaux & Associés). Si sa collaboration avec Claude Luter et André Réwéliotty, un autre de ses disciples français, est très présente, figurent aussi des rencontres avec Bunk Johnson, Teddy Buckner (trompette), Milton Mezz Mezzrow (un clarinettiste au jeu approximatif), Lil Hardin-Armstrong (piano).Le parcours d'un jazzman hyperpopulaire. Encore aujourd'hui!Par Didier PENNEQUIN – [...]

  • « Un immortel du piano à bretelles » par le Quotidien du Médecin
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    Toujours dans l’inconscient, mentionner le nom de Marcel Azzola. 90 ans, c’est revenir aux Trente Glorieuses, aux bals musette, à une certaine insouciance et à ce cri du coeur lancé par Jacques Brel lors de l’enregistrement de « Vesoul » : « Chauffe Marcel ! ». Cependant, il ne faudrait pas oublier que ce virtuose de l’accordéon a eu l’occasion de jouer avec de grands musiciens comme Stéphane Grappelli, Django Reinhardt, Maurice André, et d’accompagner notamment Yves Montand, Juliette Gréco et Mouloudji. « Marcel Azzola – 1951-1962 (Frémeaux & Assocciés) passe en revue ses propres compositions, les classiques du musette, de la musique dite « savante » qu’il affectionnait, de la chanson, et sa reprise de standards internationaux. Un immortel du piano à bretelles.Par Didier PENNEQUIN - LE QUOTIDIEN DU MEDECIN

  • « Quel casting ! » par Jazz Magazine
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    « Il n’y a pas de précurseurs, il n’y a que des retardataires » (Jean Cocteau). Sous-titrée « Musique expérimentale, génies, visionnaires, révolutionnaires, incompris et innovateurs excentriques », la double compilation « L’Avant-Garde 1888-1970 » (Frémeaux & Associés / Socadisc) réunit entre autres Erik Satie, Duke Ellington, Pierre Boulez, Pierre Henry, Ornette Coleman, Yoko Ono, Sun Ra, John Cage et Frank Zappa. Quel casting ! Liner notes signées Bruno Blum.Par JAZZ MAGAZINE

  • « Il porte au plus haut l’art du trois temps à danser » par Jazz Magazine
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    Marcel Azzola aura toujours défendu la réputation de son instrument face au mépris du classique et du jazz pour lequel il éprouvait la plus grande considération. À lecture de « Marcel Azzola, parcours d’un musicien atypique » de Claude Lemire que vient de publier l’Harmattan, on ne cesse de croiser le jazz, Dizzy Gillespie qu’il entendit à Pleyel à Richard Galliano et Antonello Salis avec qui il croisa le fer en trio. Bien que menant une carrière aux cadences infernales, dans les studios où les directeurs artistiques des séances d’accordéon invitaient leurs poulains à faire de l’abattage, comme sur la route et les scènes de bal, où il fallait tenir la cadence, il a assumé les exigences du métier tout en tenant la vulgarité à distance. Écoutez la mazurka « Rue de la Chine » qu’il cosignait en 1951 avec son ami guitariste Didi Duprat (seul signataire du délicieux « Douce Réflexion »), ses reprises des valses de Jo Privat et Baro Ferret, Michel Péguri ou Gus Viseur. Il y porte au plu [...]

  • « Un bon complément à l’indispensable 1923-1943 qui l’avait précédé » par Jazz M
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    Sous-titré « New York – Paris – Boston », ce volume 2 consacré à Sidney Bechet l’accompagne de ses derniers séjours américains à son installation en France où il enregistre pour Vogue jusqu’en 1958. Voilà donc un bon complément à l’indispensable « 1923-1943 » qui l’avait précédé il y a un quart de siècle dans cette collection alors à ses débuts. Ceux qui dédaignent les années françaises ont là de quoi se procurer des plaisirs nouveaux qu’ils regretteront bientôt d’avoir boudés, car Bechet avait trouvé auprès des orchestres de Claude Luter et André Réwéliotty de quoi mettre en valeur sa musicalité et son charisme. Mais le second des deux CD n’oublie pas d’évoquer les parenthèses américaines chez Blue Note ou le live au Storyville de Boston (1951-1953), occasion de rapprocher les parties de batterie de Manzie Johnson en 1951 et Zutty Singleton en 1952 (formidable trio avec Lil Hardin sur « Limehouse Blues ») de celles de Baby Dodds sur « China Boy » au Town Hall en 1946 et Kenny Cla [...]

  • « Au-delà du portrait, une période passionnante pour les sciences » Par Enseigne
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    Louis Pasteur, fils de tanneur, avait tout loisir d’observer les peaux se transformer sous l’effet des micro-organismes. « Il en retirera la leçon que, même après la mort, les matières continuent de se métamorphoser, d’échanger entre elles et donc de vivre. » Sa passion pour la biologie est-elle née ainsi ? Célèbre pour avoir mis au point le vaccin contre la rage, il a aussi fait avancer la connaissance de la fermentation, des bactéries, de la contagion et de l’asepsie… Au-delà du portrait, l’ouvrage d’Erik Orsenna, lu par le comédien Xavier Béja, permet de revenir sur cette période si productive de la recherche en biologie et en médecine.Par M.B. – ENSEIGNEMENT ACTUALITE

  • « Des volées de notes multicolores » par Jazz Magazine
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    "Stupeur, incrédulité, tristesse. Depuis la mort de Michel Petrucciani, on n’avait pas connu une telle onde de choc émotionnelle à l’annonce du décès d’un musicien de jazz français. Foudroyé par une crise cardiaque dans la nuit de dimanche 18 février, Didier Lockwood revenait du Bal Blomet où il venait de croiser son archet avec celui du violoniste israélien Sanya Kroïtor. Pascal Anquetil se souvient… (…)"Par JAZZ MAGAZINE

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