<< 1 ... 214 215 216 217 218 >>
  • « Des prises de son légendaires » par Jazz Magazine
    Catégories : Article de presse ( Article de presse )

    Musique filmée sans l’image plutôt que musique de film, cette réédition restitue pour la seule oreille les solos de Willie « The Lion » Smith, Zutty Singleton, Cozy Cole, Sister Rosetta Tharpe et John Lee Hooker, les duo Milt Buckner / Jo Jones et Cliff Jakson / Zutty Singleton, Buck Clayton et les Panassié Stompers, le trio Charlie Shavers / André Persiany / Manzie Johnson, le Buddy Tate Celebrity Club et l’office dominical d’une église évangéliste à Philadelphie. Des prises de son légendaires.Par Alfred SORDOILLET – JAZZ MAGAZINE

  • « Ces trois CD sont de véritables trésors » par Classica
    Catégories : Article de presse ( Article de presse )

    Rassembler en un même coffret des enregistrements à l’origine éparpillés amène à une reconsidération bénéfique, à condition qu’un fil directeur thématique mette en valeur le sens du domaine regroupé. C’est le cas avec le formidable coffret qu’Alain Tercinet consacre aux chanteurs et chanteuses de la « West Coast », c’est-à-dire captés à Los Angeles et Hollywood entre 1953 et 1961. Si certains noms sont relativement connus, tels Julie London, Peggy Lee, Mel Tormé, Doris Day, Sammy Davis Jr. Ou… Marilyn Monroe, d’autres le sont moins aujourd’hui, et ce n’est pas justice. Mis en lumière par des arrangeurs qui admiraient Darius Milhaud ou Stravinsky, ces vocalistes étaient souvent moins conformistes que l’on ne le croyait, toujours d’une belle élégance et d’une décontraction qui n’exprimait sans doute pas l’état réel de leur esprit, mais une grâce faite à l’auditeur. Ces trois CD, reflets d’une époque qui baignait dans un optimisme confiant dans l’avenir, sont assurément de véritables [...]

  • « La reprise peut devenir un art en soi » par Dernières Nouvelles d’Alsace
    Catégories : Article de presse ( Article de presse )

    « Ils avaient les oreilles dressées en direction des États-Unis où tout bougeait quand l’Hexagone était encore figé dans une musique d’après-guerre : les Yéyés ont abondamment puisé dans le vivier du rock américain, adaptant à tour de bras les tubes qui au même moment faisaient rage outre-Atlantique. L’exemple avait été donné très tôt, par une Édith Piaf pas vraiment de la même génération que les Johnny Halliday, Richard Anthony, Chaussettes Noires ou Chats Sauvages. En 1955, elle enregistrait ainsi L’Homme à la moto qui n’était autre qu’une adaptation d’un hit des Cheers, intitulé "Black denim trousers andmotorcycle". François Jouffa, pour le compte du label Frémeaux & Associés, signe une anthologie qui compile, en trois CD, les principaux titres des yéyés, couvrant la période 1955-1962, faisant suivre chacun d’eux par le titre original (Yéyé VO/VF). On s’aperçoit que la reprise peut devenir un art en soi. Souvenirs de Barbara Evans, devenu avec Johnny Hallyday Souvenirs, souveni [...]

  • « Historique ! » par Soul Bag
    Catégories : Article de presse ( Article de presse )

    Premiers rockers à venir jouer en France, Bill Haley et les Comets ont mis le feu à l’Olympia les 14 et 15 octobre 1958. Avec le recul, c’est savoureux. Car ce rock and roll qui apparaît comme nouveau aux spectateurs français ne l’est déjà plus d’un strict point de vue musical. Bill Haley et son bien-nommé orchestre n’ont été que des comètes dans la créativité rock and roll, d’abord en avance sur leur temps puis constamment en retard, figés dans une formule rabâchée sur scène comme un disque mais tellement présente dans l’imaginaire rock qu’elle s’est toujours maintenue comme la queue de ladite comète dans l’espace. Habillé en adulte chic, accroche-cœur bien ciré, accompagné par des ex-jazzmen ou countrymen, jouant d’instruments peu rock comme la steel guitar, interprétant un répertoire rempli de « vieilleries », Bill Haley apparaît quand même comme le sommet du rock and roll, apportant une énorme bouffée de liberté à des jeunes qui n’attendaient que ça pour s’évader du carcan soc [...]

  • « Un document à la valeur inestimable » par Soul Bag
    Catégories : Article de presse ( Article de presse )

    Ce coffret enrichit de vingt-cinq titres l’édition originale de la bande sonore de « l’Aventure du Jazz » qui fut à l’époque publiée en LP par le label Jazz Odyssey. Le film fut tourné entre 1969 et 1972 par Louis et Claudine Panassié. Y figurent la formation de Dick Vance, le Celebrity Club Orchestra de Buddy Tate et les Panassié Stompers, un groupe rassemblé pour la circonstance, les pianistes Willie « The Lion » Smith et Cliff Jackson et l’ensemble de Milt Buckner avec Jo Jones. On entend Memphis Slim, John Lee Hooker et Sister Rosetta Tharpe à leur meilleur. La part belle est faite aux batteurs avec des démonstrations de Zutty Singleton, Cozy Cole et Michael Silva. Tous ces musiciens jouent un jazz authentique qui n’a pas pris une ride. Le film présente aussi les formidables danseurs de Lou Parks et démontre ainsi le lien évident entre danse et jazz. Tout n’est pas parfait, comme la fin abrupte de « Tin roof blues », mais ces imperfections mineures n’ôtent rien à la valeur ine [...]

  • « Des enregistrements dignes d’intérêt d’une artiste majeure » par Soul Bag
    Catégories : Article de presse ( Article de presse )

    Deuxième volume, des quatre que le label Frémeaux & Associés consacre – dans le cadre de son intégrale Mahalia Jackson – aux enregistrements télévisés effectués par la reine du gospel à l’été 1961. Durant les vingt titres proposés ici, la section rythmique jazz convoquée pour les séances est en réalité peu sollicitée. L’accompagnement se limite à l’orgue (Edward Robinson, Louise Overall) et au piano (Mildred Falls), sur des tempi majoritairement lents propices au recueillement, avec des moments forts comme « Guide me o thou great Jehovah ». Le répertoire reste largement constitué de vieux hymnes, complétés par quelques negro spirituals et une poignée de titres gospel plus modernes (« Steal away to Jesus », ou « It is no secret » du chanteur country Stuart Hamblen). Si l’intérêt à la fois documentaire et artistique de ces enregistrements particuliers d’une artiste majeure n’échappera à personne, je serais en revanche plus réservé que l’averti Julien Crué dans sa chronique du précéd [...]

  • « Un apport précieux » par Jazz News
    Catégories : Article de presse ( Article de presse )

    Dans les années 50 s’invente tout à la fois un changement d’échelle de la production discographie et radiophonique, une consommation adolescente, et de nouvelles esthétiques. Dans ce fatras, un homme réinvente le jazz commercial : Norman Granz, peut être le producteur le plus influent de l’histoire du genre. Projet phare parmi d’autres, le « meilleur trio du monde » en la personne d’Oscar Peterson, Ray Brown et Herb Ellis, dont on n’avait pas encore entendu l’entièreté de leurs passages à Paris voulus par Granz. C’est chose faite grâce au beau travail de Frémeaux, vers lequel il faut continuer d’aller les yeux fermés pour y trouver ce qu’offre toujours le meilleur de la discographie du pianiste canadien : du classicisme éruptif, des standards incandescents, une touche de « stride » et un swing dément. Un apport précieux. Par Pierre TENNE – JAZZ NEWS

  • « Des pépites jusqu’alors bien cachées… » par Jazz News
    Catégories : Article de presse ( Article de presse )

    Parfaite introduction d’Alain Tercinet, qui signe les notes de ce recueil de chansons suaves et suggestives : « Formellement, le chant relevant du style cool n’atteindra à sa maturité qu’au milieu des années 50, au moment où son équivalent instrumental perdait de sa popularité auprès du public et de la critique en faveur du hard bop ». C’est June Christy et Chet Baker qui mirent en mots les premiers les particularités forgées par le nonet de Miles Davis et Gil Evans une décennie plus tôt et surtout la pléthore d’arrangeurs/orchestrateurs de la trempe de Dave Pell, Marty Paich ou Pete Rugolo. Et puis, l’inventivité et la liberté des formes utilisées, mises en évidence par les apparitions désarmantes de candeur d’artistes venus du cinéma – Julie London, Marylin Monroe, Tony Perkins – ont véritablement bouleversé l’art vocal américain et au-delà car la bossa nova lui doit aussi quelque chose. Trois CD et près de de soixante-dix chansons (dont beaucoup de pépites jusqu’alors bien cach [...]

<< 1 ... 214 215 216 217 218 >>