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  • « Une authentique joie de vivre » par Jukebox
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    Film à succès, « La La Land » (Damien Chazelle, 2016) attire l’attention sur le Caveau de la Huchette, club parisien sis au 5 de la rue éponyme, ouvert en 1948, époque où l’idée de jazz, musique américaine, et celle de la libération (avec ou sans majuscule) se marient naturellement. L’extraordinaire longévité du Caveau est illustrée par cette « Anthologie » (3cd, 55 titres, livret français/anglais 24 p. par Jean-Michel Proust, par ailleurs saxophoniste). Danseur ou mélomane, on vient au Caveau déguster du jazz, qu’il soit d’orientation blues, boogie, Nouvelle-Orléans ou bop, qu’importe s’il swingue. L’esprit Saint-Germain-des-Prés règne toujours dans ce sous-sol devenu un haut-lieu de la capitale. La diversité des musiciens qui s’y sont succédés est illustrée par la sélection qui comprend pas mal de personnalités qui ont marqué le public parisien, Memphis Slim (« Shake Rattle And Roll » avec Michel Denis), Milt Buckner (« Boogie-Woogie Au Caveau De La Huchette »), Wild Bill Davis [...]

  • « Ces trois CDs sont bien faits » par Big Bear
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    Il est bon de revenir en arrière sur cette époque « yéyé » des années 60. À l’écoute de nos chanteurs français, avec le recul, les anglais et américains avaient une bonne avance sur nous. De mon côté, pas facile de donner mon avis car à l’époque et même aujourd’hui, j’ai toujours préféré la musique anglo-saxonne et outre-atlantique qui m’apporte le rêve. Il est bon aujourd’hui de se remémorer ces chansons que l’on a tous entendues, pour ceux qui ont au moins de 70 ans et plus. Ces trois CDs sont bien faits car nous avons à chaque titre la version française et américaine ou anglaise. Nous allons des Chaussettes Noires aux Chats Sauvages, de Long Chris jusqu’aux Pingouins, et oui !  Et ce n’est pas tout ! Et pour la langue anglaise Gene Vincent, les Everly Brothers, Cliff Richard, Jerry Lee Lewis et bien entendu Bill Haley et bien d’autres… Une écoute musicale de cette époque ne fait pas de mal et vous évoque toujours un passé qui n’est plus.Par BIG BEAR

  • « C’est un voyage dans le temps » par Big Bear
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    Comme le note le livret, c’est un voyage dans le temps, de 1954 à 1962, qui vous mène des Music-halls parisiens aux night-clubs de la Riviera, puis dans les cabarets de Naples à travers la Méditerranée jusqu’à Oran, pour revenir dans les cabarets orientaux de la Capitale. Bien que je connaissais les airs, j’en ignorais certains. Évidemment, nous avons le célèbre Jean Constantin, grand talent avec ses chansons parfois loufoques et qui a écrit de nombreux succès. Il fallait à l’époque fréquenter les cabarets parisiens pour mieux s’en rappeler, années où la vespa devenait aussi un symbole de liberté et de jeunesse. Il y avait aussi Dario Moreno qui avait beaucoup de succès à cette période. Avec ces trois CDs, nous revivons une histoire des cabarets rives gauche et droite, époque que l’on appelle aujourd’hui « les trente glorieuses ». Par BIG BEAR

  • « C’était une femme fatale » par Françoise Sagan
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    « … inimitable, le cri d’une personnalité triomphante et despotique, royale dans son parfait naturel, car il n’y avait rien de sophistiqué chez elle, rien d’apparemment compliqué. J’ignorais alors qu’une existence en elle-même pût combler tous les dédales du cerveau le plus renfermé et le plus pervers. (…) C’était une femme fatale, dans le sens où la fatalité s’en était prise à elle dès le départ et ne l’avait jamais quittée »Par Françoise SAGAN

  • « Une merveille d’anthologie » par Jazz News
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    Roborative anthologie, qui vaut déjà son pesant de syncope par les inédits de Roy Haynes, Zoot Sims, Gigi Gryce ou Clifford Brown. Généreuse compilation, qui sera hélas l’une des dernières du regretté Alain Tercinet et son impressionnante érudition. Outre cela qui est déjà sublime, on retient surtout le coup de projecteur sur les musiciens hexagonaux accompagnant ces Américains (Michelot, Wilen, l’immense pianiste Henri Renaud ici omniprésent). Ce que fait entendre le St-Germain de l’époque, en dehors d’un swing cristallisant des mondes de jazz autour du Chat-qui-Pêche, c’est cette histoire souvent tue qui voulut que la France se familiarisa au cool avant le hard bop. Un Paris « Strictly Romantic » et incandescent, dans une merveille d’anthologie.Par Pierre TENNE – JAZZ NEWS

  • « Véritable périple au cœur d’une autre Amérique » par Le Monde Diplomatique
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    « Dans l’actualité des DVD musicaux, surchargée d’objets sans intérêt, se détache un documentaire, véritable périple au cœur d’une autre Amérique, celle de la musique cajun. En 1972, Jean-Pierre Bruneau, amateur de musiques américaines, plonge dans les tréfonds d’une culture alors méprisée par les élites, celle héritée des Acadiens, réfugiés là après le grand désastre de 1755. « Nous sommes encore trois cent mille descendants directs, mais plus d’un million ici parlent français, assure un robuste fermier avec un accent typique de la Normandie. Le pays cajun, c’est soit le bayou, soit la prairie. En tout cas, c’est pas qu’une histoire de sang. C’est surtout une histoire de traditions ! », assure un autre, pour qui « les gens de couleur ajoutent juste du blues... du poivre ». Les images qui suivent le prouvent : on y retrouve les deux frères Chénier, Clifton à l’accordéon chromatique et Cleveland au frottoir, qui entament un zydeco aux couleurs du blues. Et de chanter « Laisse le bo [...]

  • « Des figures inoubliables, qui semblent surgies d’un univers englouti » par Oli
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    « Superbe documentaire de 1972 sur la musique cajun du bayou, filmé et monté de main de maître. Un monde en train de disparaître, une langue fragile et émouvante, et des figures inoubliables, qui semblent surgies d’un univers englouti. Descendants d’esclaves, fermiers, cultivateurs noirs et petits blancs se retrouvent dans un chant rural, âpre et endiablé, teinté de blues et de réminiscences européennes. Le film a su capter un monde sur le déclin, perplexe devant le progrès, qui s’adapte avec difficulté à l’univers de l’argent et de la technologie. Un voyage dans le temps, qui fait surgir de façon stupéfiante à travers sa musique un monde paysan, comme il a dû exister il y a longtemps chez nous. »Par Olivier FOREST, DIRECTEUR DU FESTIVAL « FILMER LA MUSIQUE », PARIS.

  • “My favorite film about Southwest Louisiana” by Cecil Doyle (KRVS/Radio-Acadie)
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    “'Dedans le Sud de la Louisiane' is actually even MORE than simply my favorite film about Southwest Louisiana. It captures it at a very special moment in time - a transitional period when we were still a relatively isolated culture on the cusp of a generation that would not only embrace what came before but build upon it. The film literally captures the very essence and wonder of both the music and lifestyle of prairie Cajun and Creole culture like few others.”By Cecil DOYLE, MUSIC DIRECTOR/PROGRAM PRODUCER AT KRVS/RADIO-ACADIE, LAFAYETTE, LOUISIANA.

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