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  • « Ce coffret est un must ! » par ABS
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    Dès 1962, les American Folk Blues Festivals organisés  par deux allemands, Fritz Rau et Horst Lippmann, ont permis à une masse d’Européens de découvrir enfin en chair et en os un panel d’artistes de blues de diverses orientations, du blues rural et du blues urbain, des solistes, des duos et des groupes… Curieux ou collectionneurs de disques avertis, chacun s’en délectait. Ceci est à la base du fameux Blues Revival anglais des années 60, dont les effets se font encore sentir de nos jours un peu partout. C’est aussi grâce à ces AFBF (1962-1984) que le blues, en tant que style musical à part entière, s’est créé une place solide dans le monde musical mondial. En France, c’est à Paris et en octobre que furent donnés deux concerts de la cuvée 1962. Tous les professionnels prédisaient un fiasco mémorable (« qui veut voir et écouter cela ? »). Pourtant, l’Olympia a été comble pour le premier concert qui démarra à 18h et comble encore pour le second commençant à minuit. Il y avait là beauc [...]

  • « Un coffret à se procurer sans délai » par ABS
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    Une simple chanson populaire dans la Louisiane du début du XXe siècle, « Les Haricots Ne Sont Pas Salés », devenue en français créole Zarico é Pa Sale, allait ouvrir la porte à un tout nouveau style musical propre à l’Etat du pélican – une musique noire Créole appelée à devenir plus tard la musique zarico ou zydeco par fusion de cette musique créole – influencée par la musique cajun blanche – avec le blues. Ce nouveau style conservera l’accordéon cher aux musiques cajun et créole et occasionnellement le violon et y ajoutera des percussions (le frottoir) aux côtés des batteries, et plus tard, des guitares et des cuivres. C’est Jean Buzelin, un spécialiste, qui retrace l’histoire de ce qu’on appelle parfois la « musique la-la » ou le « blues français de Louisiane » dans les notes de pochette très bien documentées et illustrées d’un coffret de deux CD avec 48 faces dont beaucoup sont très rares. Il repart des tout débuts dans les années 20. D’abord la musique créole avec les pionnier [...]

  • « Un magnifique document » par Blues & Co
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    Ce trésor musical, composé de sept bobines conservées en parfait état a été retrouvé dans une maison de campagne de la région parisienne en décembre 2014 par Michel Brillé (réalisateur d’émissions de radio jazz à minuit, Campus…, directeur des programmes d’Europe 1…) Il s’agit des enregistrements des deux concerts à l’Olympia du 20 octobre 1962 de l’American folk blues festival. Cette tournée 1962 a débuté à Francfort le 3 octobre et s’est poursuivie en Suisse, Grande-Bretagne… et bien entendu en France dans le lieu mythique de l’Olympia à Paris. Les organisateurs étaient Horst Lippman (batteur de jazz) et Fritz Rau (avocat et patron de club). Cette épopée qui a débuté en 1962 pour s’achever en 1982 avait pour but de faire connaître aux européens les racines du blues américain. Pour cette première édition, ont été invités Memphis Slim, John Lee Hooker, T .Bone Walker, Willie Dixon, Sonny Terry, Brownie Mc Ghee, Helen Humes et Shakey Jake. Les deux premiers disques de ce coffret (t [...]

  • « De nouvelles compositions originales » par France 3 Alsace
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    « Marcel Loeffler sort aujourd'hui un nouvel album intitulé "Secrets". Cet accordéoniste aveugle depuis l'enfance est originaire d'Haguenau. Il fait une belle carrière internationale depuis le début des années 80. "Secrets" a été enregistré au printemps dernier dans les studios Downtown de Strasbourg. Marcel Loeffler revendique un nouvel album plus classique que jazz... Un album intitulé "Secrets" sur lequel il propose onze morceaux. Sur ce disque, les amateurs trouveront des reprises mais surtout de nouvelles compositions originales. Son fils Cédric a même participé en composant lui même un des morceaux. L'album se trouve dès à présent dans les bacs et sera diffusé dans 90 pays. »Par Philippe Dezempte - FRANCE 3 ALSACE

  • « Formidable et précieux » par Citizen Jazz
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    « Habitués à être gâtés, on en oublierait presque de considérer à quel point le travail qu’effectue depuis quelques année le label Frémeaux & Associés est formidable et précieux. Précieux en ce sens que ceux qui y officient fouillent dans les années passées, souvent très lointaines, et que de leurs patientes et fines extractions ne sortent presque que bijoux, perles, trésors et merveilles dénichés dans de vieux chants yiddish, d’ancestraux ensembles tziganes, ou d’oubliés orchestres de danse des Caraïbes.  Ici, la destination a beau être plus commune – du blues joué… à Paris – et l’antériorité relative – 1962 – la qualité est là, une fois encore. Rien que sur le papier, cet American Folk Blues Festival qu’on redécouvre maintenant – après être resté 52 ans introuvable – fait rétrospectivement saliver : Memphis Slim, John Lee Hooker, T-Bone Walker, Sonny Terry, entre autres. Il fallut pourtant à l’époque le vendre comme un concert de rock and roll.  Les grands noms offrent des prest [...]

  • « Un excellent condensé « trans-catalogue » par Jazz Magazine
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    Si l’on tient compte des dates d’enregistrement, ce survol remonte à 1953. En retenant les dates de parution des morceaux de leur sélection et en lui donnant un ordre chronologique, Téca Calazans et Philippe Lesage défont ce qu’ils réalisent : une chronologie de l’adoption de la bossa par les jazzmen, qui relativise, sans la nier, l’importance de « Jazz Samba », si l’on considère qu’ « Elizete » et « Meditação » de Cal Tjader sont enregistrés alors que l’album de Stan Getz est à peine paru. Bien plus, les enregistrements de Laurindo Almeida et Bud Shank de 1953 et 1958 (et non de 1962) ouvrent un sacré éventail (qui aurait presque pu être déployé jusqu’en 1942 avec le « Brazil » de Jimmy Dorsey, même s’il ne s’agit pas à proprement parler de bossa). De même, il est dommage que le livret ne mentionne pas le coup de foudre des jazzmen pour la musique brésilienne dès un premier passage de Dizzy Gillespie à Rio pour le Département d’Etat en 1956 (dont il reste un « Cepao’s Samba »), l [...]

  • « Un très bel album » par Mad
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    Il y a d’un côté la voix profonde et le timbre doux de Nat King Cole, plus son jeu subtil au piano. Et de l’autre l’enthousiasme pétaradant de ce remarquable orchestre de Quincy Jones, dans lequel on trouve Phil Woods, Sahib Shihab, Les Spann, John Collins… C’est la rencontre entre les deux qui donne le ton de ce très bel album. Bien sûr, les puristes du jazz pourront dire que Nat King Cole s’est parfois trop rapproché des rengaines sirupeuses et de la chansonnette, mais ses arrangements, sa façon de chanter, son style parviennent sans mal à donner de la vigueur à des thèmes parfois trop mous. Et sur cet enregistrement public, réalisé à Paris le 19 avril 1960, il est royal. On goûte sa fausse désinvolture, sa légèreté, sa façon aérienne de poser le tempo, sa volubilité, sa volatilité. Son humour aussi, qui se concrétise dans le sourire qu’on entend, dans la dernière note aiguë sur le piano. Il chante  « The Continental », « Blues in the night », « It’s only a papermoon », « Sweet [...]

  • « Et soudain miracle : » par Jazzmag
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    Dans notre numéro de mai, Nous signalions ce concert de l’Olympia sur live-in-paris.fr, label qui a également ses entrées chez Frémeaux. Le revoici donc en CD avec cette fois un livret fourni par Michel Brillié qui nous raconte par le menu le pourquoi de ce programme où Quincy Jones, avec le quasi-allstars resté en rade à Paris après l’échec du spectacle « Free and Easy », fait flamber le plancher sous le tabouret du crooner qui se souvient, même si une petite section de cordes complète le big band, qu’il fut un putain de jazzman. Et soudain miracle : l’orchestre congédié, après avoir chanté un chorus d’ « Its Only A Papermoon », il se dirige vers le piano pour accompagner son fidèle guitariste, John Collins, puis prend un solo à son tour. Revenu au micro, il enchaîne avec sa seule rythmique sur une version de 5’47 « Sweet Lorraine » : même scénario qu’il reprend encore sur « Route 66 ».Ce n’est plus le grand pianiste des années 40, mais tout de même. Le CD nous livre les deux con [...]

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