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  • « Un ovni musical unique en son genre » par Le Bulletin du Hot Club de France
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    Le jazz connaît quelques principes directeurs, devenus proverbiaux et, naturellement, porteurs de musique : le « It don’t mean a thing if it ain’t got that swing » (Ça n’a aucun sens si ça n’a pas de swing) de Duke Ellington en est l’exemple le plus célèbre, mais « Tain’t what you do, it’s the way that you do it » (Ce n’est pas ce que vous faites, c’est la manière dont vous le faites), composé par MM. Oliver (Sy) et Young (Trummy) pour Jimmy Lunceford  n’est pas mal non plus : c’est ainsi que jazz a fait depuis les origines son affaire de tout ce qu’il rencontrait sur son chemin, depuis les cantiques protestants du siècle avant-dernier jusqu’aux pires chansonnettes de nos contemporains. Avec le swing en guise de mortier, cette musique est aussi l’art de la transmutation d’à peu près n’importe quoi. Cette alchimie comporte quelques chemins plus originaux que les autres… en voici un, particulièrement jubilatoire, tracé par Emmanuel Hussenot et son « Orpheon Célesta ».Du temps de nos [...]

  • « Magnifique entrée en matière » par Jazzmag - Jazzman
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    La réédition dix ans après du premier disque de Laïka (elle avait 36 ans) remet quelques pendules à l’heure dans un paysage vocal féminin sursaturé. Magnifique entrée en matière, « Look At Me Now » (regardez-écoutez-moi maintenant [et quand je dis « maintenant »… NDR]) n’a pas pris une ride et peut se déguster au quotidien. Répertoire ouvert mais choisi, timbre troublant, phrasé taillé dans le diamant… Laïka (n’) a enregistré (que) trois autres disques en une décennie. Qui dit (quantitativement) moins ?Par T.Q. JAZZMAG - JAZZMAN

  • « Des enregistrements remarquables » par La Croix
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    « A la fin des années 1960, alors que s'éteignait la voyageuse orientaliste (Alexandra David-Néel), la jeunesse hippie s'y rendait en masse (...). François Jouffa, jeune journaliste et ethnomusicologue français, en rapporta des enregistrements sonores remarquables, rassemblés en un disque, La Fête de la petite déesse vivante, qui marqua l'histoire de la musique ethnique. » Par Jean-Yves DANA - LA CROIX

  • « Un pur régal » par Jazz Magazine
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    « Ancien collaborateur de Daniel Filipacchi, Michel Brillié propose les grands concerts d’Europe 1. Dernière livraison, Nat King Cole avec Quincy Jones. (…) Quant au récital de Nat King Cole avec Quincy Jones Big Band (plus quintette à cordes) du 19 avril 1960, c’est un pur régal. Le chanteur à voix de velours y gagne une pugnacité que prolongent les trois instrumentaux de l’orchestre au milieu du programme. »Par Franck BERGEROT – JAZZ MAGAZINE

  • « L’œuvre de Gilbert Bécaud a su se maintenir au répertoire » par Classica
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    L’Opéra d’Aran, ouvrage « sérieux » du chanteur Gilbert Bécaud créé sur la scène du TCE de Paris, en 1962, montre que les frontières esthétiques de l’époque étaient plus perméables qu’aujourd’hui. A l’appui, reproduite dans le livret, la une de la « Revue de l’Art Lyrique » mensuelle Opéra qui lui était consacrée. Formé au conservatoire de Nice, Bécaud avait débuté au cinéma, avant d’être le célèbre auteur-compositeur-interprète des années 1960. Doté d’un solide métier, il n’eut aucun mal à doter sa partition de mélodies bien tournées et l’orchestrer avec talent ; aussi, les propos acerbes de Paris-Presse (Claude Samuel) écrivant : « Il paraît que c’est un opéra ! », ou ceux de Pierre Boulez déclarant, sans l’avoir vu (!) : « Bécaud est le maçon qui pense devenir Le Corbusier » paraissent bien dérisoires face à l’accueil enthousiaste de la presse new-yorkaise, belge ou italienne – et, plus encore, à l’aune du succès public obtenu durant plus de trente ans sur les scènes du monde e [...]

  • « La magie des contes des Milles et une nuits » par Classica
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    On sait tout ce que les contes des Mille et une nuits doivent à la traduction et aux ajouts d’Antoine Galland : sans eux, ils n’auraient pas connu le même rayonnement en Occident et seraient amputés du désormais indispensable Ali Baba et les quarante voleurs. Dans son adaptation destinée aux enfants de quatre à huit ans, Eric Herbette a été bien inspiré de retenir cette version si évocatrice menée au début du XVIIIe siècle qui, de la Bible, rappelle les dialogues limpides et le style d’une pureté d’airain. En 54 minutes ventilées sur huit plages, les histoires, à l’instar de Jacques Le Fataliste, s’encastrent les unes dans les autres : à celles de Shéhérazade jouant sa vie devant le roi Schahriar s’ajoutent ses propres récits, en l’occurrence « Le marchand et le génie », « Le vieillard et les deux chiens noirs » et « Le pêcheur et le génie ». La comédienne Rachida Brakni prête sa voix suave à la fille du grand vizir avec ce qu’il faut de souplesse entre les différents registres, d [...]

  • « Faire revivre cette voix inimitable » par Le Journal du médecin
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    Ils se sont rencontrés sur le tournage de Père et fils de Michel Boujenah en 2002. On devine qui jouait le père… mais la filiation ne s’arrête pas là puisque le jeune comédien, qui fut sociétaire de la Comédie française, rencontre de façon hebdomadaire ce monstre du cinéma français au cours de conversations sur le métier, la carrière, celle de Noiret surtout, bien sûr, les rencontres avec Jean Vilar, Bresson, Romy Schneider, sa femme Monique, les révélations au travers de Gabin ou Fred Astaire. Le lillois d’origine, qu’on a trop souvent pris pour un vieux cabot, y parle sans détour de la mort aussi, à quatre ans de la sienne, de la critique, de la chance et du hasard. De ces conversations sortira un livre (Je me suis régalé) en 2007, peu de temps après la disparition de Noiret. Sept ans plus tard, réécoutant les bandes in extenso, le cadet se dit qu’au fond, plutôt que de ressasser une tristesse du passé, il préfère faire revivre cette voix inimitable et propose à Frémeaux & Assoc [...]

  • « Il n’y a ici que du bon ! » par Jazz Magazine
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    Peu de temps après « Four brothers » (album salué dans notre numéro d’avril) où Barney Wilen était aux côtés de Lucky Thompson lors d’un concert à la radio de Hambourg en 1960, le label de Patrick Frémeaux propose une rétrospective des enregistrements du saxophoniste, sélection réalisée avec la pertinence que l’on connaît par Alain Tercinet. Dans ce « Premier chapitre », on retrouve bien sûr des extraits très connus de se participations à « Afternoon In Paris » (John Lewis), « Ascenceur pour l’échafaud » (Miles Davis) ou « Les liaisons dangereuses » (The Jazz Messengers) et des morceaux issus de ses deux premiers disques en leader, alors qu’il avait à peine vingt ans. Mais le grand intérêt de ce coffret réside d’une part dans des extraits live peu ou pas édités (« Tenor Session » au Festival de Cannes 1958 avec Don Byas, Guy Lafitte, Coleman Hawkins et Stan Getz, « Newport 59 » avec Toshiko Akiyoshi, émissions télé ou radio avec Bud Powell, Dizzy Gillespie ou Clark Terry) et d’aut [...]

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