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« De très grands moments musicaux » par Le Quotidien du médecin
Catégories : Article de presse ( Article de presse )« Après New York, Paris est la deuxième capitale du jazz. Mais pas seulement… Miles Davis, Quincy Jones, Georges Brassens enregistrés en concert dans les années 1950 et 1960. (…) La même année, le trompettiste Quincy Jones, âgé de 27 ans, qui est déjà chef d’orchestre et arrangeur mais pas encore l’immense producteur d’aujourd’hui, se retrouve à Paris à la tête d’un big band… sans travail à la suite de la rupture d’un engagement dans un musical. Une fois de plus, le duo Ténot-Filipacchi est sollicité et permet à ces musiciens – notamment la tromboniste Melba Liston, le saxophoniste-alto Phil Woods et le trompettiste Clark Terry, parmi les plus connus – d’entrer en studio pendant trois jours et de donner un concert en direct à l’Olympia. De très grands moments musicaux dans la longue carrière de celui qui allait devenir M. Q. et qui se retrouvent dans « Quincy Jones - 5-7-9 mars/19 avril » (double CD, Frémeaux & Associés). Par Didier PENNEQUIN – LE QUOTIDIEN DU MEDECIN
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« Des classiques de la poésie et de la chanson française » par Le Quotidien du m
Catégories : Article de presse ( Article de presse )« Après New York, Paris est la deuxième capitale du jazz. Mais pas seulement… Miles Davis, Quincy Jones, Georges Brassens enregistrés en concert dans les années 1950 et 1960. (…) Enfin, cette même collection permet de retrouver l’inégalable Georges Brassens à l’Olympia en novembre 1961 et à quatre reprises dans les studios d’Europe n°1 entre novembre et décembre 1955, accompagné de son fidèle et incontournable Pierre Nicolas à la contrebasse, interprétant les morceaux qui vont devenir des classiques de la poésie et de la chanson française. À redécouvrir dans « Georges Brassens - 3 novembre 1961 » (Frémeaux & Associés). Une collection qui devrait s’enrichir à l’automne d’un Ray Charles (3 CD) et d’un Ella Fitzgerald (3 CD). » Par Didier PENNEQUIN – LE QUOTIDIEN DU MEDECIN
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« La période Chess bien résumée » par Blues & Co
Catégories : Article de presse ( Article de presse )xCet étonnant afro-américain a su par ses textes imagés, son humour et son rythme endiablé, enthousiasmer toute une jeunesse : celle des années fifties avide du rêve américain. Si Elvis Presley est devenu le King que l’on connaît, de nombreux artistes ont vu en Chuck Berry le plus prolifique auto compositeur et le plus talentueux showman de la profession. Eric Clapton avait dévoilé « Si vous voulez jouer du rock and roll, vous finirez par tomber dans le style de Chuck Berry » ; Mick Jagger pensait qu’il était le premier songwriter dont les paroles valaient la peine d’être écoutées ; Jerry Lee Lewis le comparait à Hank Williams au niveau du talent ; Little Richard confiait que la couronne devait lui revenir depuis toujours. Quant à John Lennon n’a-t-il pas dit que si on voulait donner un autre nom au rock and roll, il fallait l’appeler Chuck Berry !. Ses chansons ont été reprises par un nombre impressionnant de vedettes internationales : Les Rolling Stones, Les Beatles, Elvis Presl [...]
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« Encore une excellente initiative » par Le Cri du Coyote
Catégories : Article de presse ( Article de presse )C’est à Eddie Cochran que s’intéresse ici Frémeaux dans sa série des indispensables, toujours en 3 CD. S’il est évident que les inconditionnels du chanteur à la Gretsch possèdent sûrement l’intégrale Bear Family (BCD 15989) de 2009 et ne trouveront ici rien de neuf, cette trilogie sera un excellent moyen de découvrir ce chanteur, à la si courte carrière, très bien retracée par Bruno Blum dans le livret, pour ceux qui ne le connaîtraient pas encore. On retrouve au fil des 70 morceaux, ses titres les plus célèbres, ceux enregistrés avec Hank Cochran sous le nom de Cochran Brothers, mais aussi des morceaux moins connus , dont « Don’t bye bye me (que j’ai toujours vu titré « Don’t bye bye baby me). Encore une excellente initiative.Par LE CRI DU COYOTE
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« Les amateurs s’y retrouveront » par Le Cri du Coyote
Catégories : Article de presse ( Article de presse )Ce nouveau volet de compilations Frémeaux en 3 CD est consacré aux racines de la soul. Je ne crains pas d’écouter une belle ballade de ce style, mais je ne prétendrai pas en être un spécialiste, les amateurs de soul et r.n’b. des années soixante (deux choses différentes à mes oreilles) s’y retrouveront donc mieux que moi, bien que, comme sur d’autres coffrets de la série, le lien entre soul et le titres proposés ne soit pas toujours évident. Le livret, toujours très circonstancié, signé Bruno Blum, ne mentionne pas le doo wop, ce qui parait bizarra, et comporte quelques assertions que je ne partage pas. Mais, comme on dit, des goûts et des couleurs…Par B.B. – LE CRI DU COYOTE
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« En Juillet 1961, le sacre du Ray » par Libération
Catégories : Article de presse ( Article de presse )« La vie commune entre Ray Charles et les sommets prend son envol en France. Plus précisément en 1961. Après l'illumination du festival de jazz d'Antibes en juillet, puis l'implosion du Palais des Sports en octobre, le Genius prend ses quartiers dans les cœurs. L'histoire d'amour débordera quarante années. Michel Brillié rédige le livret du coffret de trois CD Live in Paris. Le mélomane rapporte l'incrédulité des musiciens de l'orchestre devant la découverte d'un public parisien en délire. Les organisateurs avaient programmé trois concerts (du 20 au 22 octobre). Ils se précipitèrent pour en rajouter deux, devant l'ampleur de la demande. Ces messieurs auraient anticipé sereinement s'ils avaient suivi le journaliste Frank Ténot, qui traversa l'Atlantique l'année précédente pour assister à un concert du Georgien. Révisons Ténot : "Je fus ébloui... Le Genius, entouré d'un petit groupe, balançait comme un fou". Ravissement identique à l'écoute du coffret. Un effort pour se transporter [...]
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« Un coffret vivement recommandé » par Django Station
Catégories : Article de presse ( Article de presse )« Après le coffret Muréna concocté par bibi, en voilà un consacré à Jo Privat : 3 cds couvrant les années 45 à 62 (et non pas 45 à 58 comme indiqué sur la pochette ? !). Le disque 1 débute par Sa préférée, magnifique valse qui sort en 78 tours en sept 45, premier succès d’un jeune accordéoniste qui sera vite surnommé le « roi de la valse » ; Privat va en effet en aligner un paquet, tant en majeur qu’en mineur, comme Nuit blanche, Mystérieuse, Cauchemar ou l’emblématique Balajo , autant de perles qui figurent sur cette anthologie supervisée par Dany Lallemand, également auteur d’un livret résumant la bio de Privat. Sur ces premiers titres, Privat est accompagné par Lucas à la clarinette, jacques Petitsigne à la contrebasse, Paul Boisgrosset au piano, Gaston Durand et Didi Duprat aux guitares ; on reconnait aisément la pompe imperturbable de ce dernier, l’accompagnement subtil (cf sur Cauchemar par exemple) et les petits chorus délicats (cf Douce ambiance, Atomic swing ou Souvenez-v [...]
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« … Voici de véritables jazzmen Français AOC » par Django Station
Catégories : Article de presse ( Article de presse )« J’ai écouté GOAT RHYTHM, le dernier cd du RP Quartet. Le groupe formé par le violoniste BASTIEN RIBOT, le guitariste EDOUARD PENNES, le guitariste rythmique RÉMI OSWALD et le contrebassiste DAMIEN VARAILLON. Ils se sont attaché les services d’une section de cuivres et le rendu est très réussi... Ceux qui fréquentent les bœufs des clubs de la capitale les connaissent déjà. Quatre jeunes gens issus de la très courue CMDL tous les quatre épris de swing. Ils s’étaient réunis pour un premier opus il y à quelque temps qui nous avait fait découvrir leur engagement dans le jazz acoustique « à la Django », le tout déjà agrémenté d’un vocabulaire emprunt de bop qu’ils affectionnent aussi tout particulièrement ! Aujourd’hui ils se haussent sur le devant de la scène manouche avec un nouveau cd qui n’en est toujours pas justement…du gypsy ! Du moins ce n’est pas le qualificatif qui me vient à l’esprit quand j’écoute Goat Rhythm, leur tout dernier enregistrement. Certes il y a toujours la pré [...]