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  • « Voilà une musique et un disque qui rendent heureux » par Djangostation
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     « Si vous n’étiez pas au Duc des Lombards, club où les conditions sont idéales (proximité, intimité, ambiance, communication entre public et musiciens), et bien précipitez vous sur ce live ; vous y retrouverez (…) une version de 9’ de Dear Old southland, morceau emblématique des jazz funérailles à la Nouvelle Orléans, d’abord interprété comme un cantique religieux puis à la manière des vieilles fanfares, One for the Duke de Johnny Hodges, dans un traitement bluesy, Mamanita et The crave, deux compos pour piano de Jelly Roll Morton représentatives de la syncope latine (dixit JRM cité par Evan dans les notes de pochette) que le groupe interprète à sa manière. Voilà une musique et un disque qui rendent heureux et devraient être remboursés par la sécurité sociale. »Par Francis COUVREUX - DJANGOSTATION

  • « L’œuvre d’Henri Bergson paraît à nouveau centrale » Par Le Monde
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    Frédéric Worms, né en 1964, est philosophe. Professeur à l’université de Lille, directeur du Centre international d’étude de la philosophie française contemporaine (CIEPFC) à l’ENS (Paris), c’est un des grands spécialistes français de l’œuvre de Bergson"(…) Etonnant destin que celui de l’œuvre d’Henri Bergson (1859-1941). Dès de le début, elle rencontre une audience inhabituelle. Durant les premières années du XXe siècle, cet homme frêle, modeste, presque timide, devient une star. Le mot n’existe pas encore, mais ce philosophe, qui scrute la conscience comme le chimiste explore une molécule, est soudain au centre de tous les débats. Dans la France des années 1960 et 1970, à l’apogée du structuralisme, en effet, c’est le rejet. On écoute Paul Nizan ou Georges Politzer, qui le traitent de « chien de garde » et de « valet de la bourgeoisie ». Alors que le marxisme triomphe et que le matérialisme domine sans partage, le malheureux Bergson passe pour un spiritualiste réactionnaire et o [...]

  • « Un delicioso compacto » Por Tango Reporter (USA)
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    Respaldado por un competente cuarteto integrado por Felix Belleau (acordeón), David Gastine (canto y guitarra), Sebastien Gastine (contrabajo) y Samuel Lerner (piano), el guitarrista Rodolphe Raffalli, como un homenaje a la canción popular francesa, interpreta temas de reconocidos compositores, como Trenet, Aznavour, Brassens, Legrand, Moustaki, Ferré y otros. De entre sus canciones, se pueden escuchar, vertidas con insuperable swing, muy buenas versiones de « Padam… padam, Les oiseaux de Paris, Sur ma vie, I will wait for you, Le vieux piano de la plage, La chansonnette, Milord, Les moulins de mon cœur, Sa jeunesse, y La mauvaise herbe ».La maestría instrumental de Raffalli y su atrapante musicalidad recorre los 17 surcos que componen este delicioso compacto. Nacido en 1959, Raffalli se inclinó hacia la guitarra a la temprana edad  de 8 años siguiendo la huellas de Django Reinhardt, las canciones gitanas y los músicos de Montmartre, antes de mezclarse con el auténtico jazz.Por TA [...]

  • « Ca roule et ricochète sur un tempo qui vous envoie dans les îles en moins de d
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    « Je connais Crackin' up par les Stones, mais où l'ai-je entendu ? Sûrement un de ces bootlegs que mon frère collectionnait. Le jaune citron avec cliché noir et blanc des jeunôts en gilet cuir ? Il y avait aussi Diddley daddy, I need you baby (aka Mona)… Ils avaient vraiment chopé le virus. Bo a joué avec les Stones en Angleterre à leurs débuts, il les aimait beaucoup. Même s'il trouvait qu'à un moment le public a « poussé Mick à devenir vulgaire sur scène ». Maintenant, quand j'entends Crackin' up, l'original, je ne peux pas m'empêcher de penser aux Specials. Qui ne l'ont pourtant pas repris, que je sache. Mais c'était un truc pour eux. Bo Diddley aussi avait le goût du damier. On a dit qu'il fut un papa pour les rappers (Say man, 1958). Il aurait donc aussi inventé le reggae ? Crackin' up n'est pas encore de la jamaïcaine pure. Mais ça roule et ricochète sur un tempo qui vous envoie dans les îles en moins de deux. Ne pas oublier : Ellas Bates est, comme le rappelle Bruno Blum da [...]

  • « Un remarcable compacto » Por Tango Reporter (USA)
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    El virtuoso de la guitarra clásica, el argentino Máximo Pujol, ha incursionado en el tango desde la década de 1970. Acompañado por la guitarrista María Isabel Siewers, graba este nuevo disco compacto con composiciones originales de su autoría. Escritas para dos guitarras entre 1979 y 2005 como un homenaje a la música de Buenos Aires, mezcla temas inspirados tanto en la música popular ciudadana como en la clásica. Ambos guitarristas, bien amalgamados, se lucen en este remarcable compacto vertiendo los temas con gran soltura. Entre los más destacados se encuentran sus versiones de : « Un domingo en la Boca, Palermo », les cuatro temas que integran la « Truco Suite (Primera, Falta envido, Truco, Vale cuatro) », y los tres temas de « Tango, milonga y final (Tango de abril, Milonga de junio, Final Feliz) ».Por Elsa FACIO y Carlos G.GROPPA  - TANGO REPORTER (USA)

  • « L’enthousiasme, l’écoute mutuelle, l’improvisation subtile sont les atouts pri
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    « Je suis allé, avant l’ouragan Katrina, dans le quartier de Treme (ou Tremé, de toutes façons, prononcez Twemay), du nom de Claude Tremé, promoteur immobilier du XVIIIème siècle. Pour y entendre une trumpets’ battle entre Kermit Ruffins, John Mayfield et Kid Chocolate. C’était un quartier dangereux de la Nouvelle-Orléans et on ne pouvait y aller et en revenir qu’en taxi. Mais quelle pépinière de jazzmen ! Parmi eux, le Brass Band de Tremé, comme le Funky 7, le ReBirth, le Chosen Few, le Dirty Dozen, animait et continue d’animer les innombrables parades, qui servent également d’écoles musicales, de la vie néo-orléanaise. L’ouragan Katrina a été une catastrophe majeure pour la ville et notamment pour ce quartier à majorité pauvre et noire (1836 morts, dont le père de John Mayfield, un million de personnes déplacées dont beaucoup ne reviendront pas à New Orleans). Le Tremé Brass Band est un des organisateurs de la reconstruction. A sa tête, il y a le fondateur, Benny Jones Sr, au ta [...]

  • « Cette virtuosité sans affèterie qui n’appartiennent qu’à lui » par On Mag
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    « Le guitariste Rodolphe Raffalli (avec deux “f” et deux ailes, comme il aime à le dire) a du talent aussi bien dans le jazz que dans la musique sud-américaine, mais là où il excelle, c’est dans la transposition en swing manouche (son swing manouche à lui), de la chanson française. Et je suis d’autant plus à l’aise pour le dire que c’est moi qui l’ai incité à réaliser un concert instrumental de Brassens à la bibliothèque de Villejuif, ce qui a donné dans la foulée le fameux CD instrumental Hommage à Brassens. J’ai dit « son swing manouche à lui » car le swing de Rodolphe a ce lyrisme, cette empathie avec l’humanité de Georges Brassens, ce sens de la poésie, cette décontraction, cette virtuosité sans affèterie qui n’appartiennent qu’à lui. Cette fois-ci, c’est la chanson française en général, celle des années soixante, celle d’Edith Piaf, de Charles Aznavour, de Mouloudji, de Cora Vaucaire, de Charles Trénet et, bien sûr, de Georges Brassens. Quatre nouvelles chansons du géant de l [...]

  • « Un jazz qu’on est obligé d’écouter » par On Mag
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    « Le pianiste Francis Lockwood, dont nous avons déjà chroniqué les albums « Round About Bach » et « Jimi’s Colors » dans ces mêmes colonnes, nous a toujours énormément séduit par son phrasé sans chiqué et son authenticité. Et voici que ressort son disque « Nostalgia », de 1988, celui, sans doute, qui le fit connaître. Il est accompagné de manière parfaite par le bassiste Gilles Naturel qui, il y a vingt-cinq ans, était beaucoup moins connu qu’aujourd’hui, mais qui montrait déjà toutes ses qualités. Ecoutez son chorus sur « Two in One » et vous constaterez qu’il fallait avoir les oreilles bouchées pour ne pas se rendre compte de la grandeur de l’artiste. Le batteur est Peter Gritz, qu’on retrouvera sur l’album Jimi’s Colors, et c’est Aldo Romano sur deux morceaux « The Last Knight » et « Too Much Coffee » (très beau chorus sur ce dernier titre). Le phrasé élégant de Francis Lockwood, qui ne cherche jamais l’esbroufe se discernait déjà dans ce CD de son début de carrière, ainsi que [...]

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