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  • « Pour une fois le terme de télépathie, se justifie pleinement » par Jazzmag - J
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    Une rencontre fraternelle dont on s’étonne qu’elle n’ait pas inspiré plus tôt les producteurs de disques. Voilà pourtant plus de trente ans que les frères Lockwood occupent la scène française. Les voici donc réunis dans cet album enregistré en 2008 pour le label Ames et dont le titre dit tout sans qu’il soit besoin d’ajouter une quelconque glose. Il sous-entend la connivence entre le violoniste et le pianiste, connivence qui va au-delà de la simple empathie musicale et se manifeste de bout en bout, dans les dialogues comme dans les improvisations ou l’entente et la similitude d’inspiration sont proprement éclatantes. Ainsi de « Impro Opus1 » et « Opus 2 », exercice périlleux s’il en est, où l’écoute mutuelle suscite le jaillissement commun d’idées qui se mêlent et s’entrecroisent, sans hiatus ni rupture. Pour une fois, le terme de « télépathie », si galvaudé en pareille occurrence, se justifierait pleinement. Comme du reste, dans les autres morceaux signés alternativement par l’un [...]

  • « Ce CD devrait vous plaire » par le Cri du Coyotte
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    Vous êtes friand des musiques à l’ancienne ayant précédé le bluegrass ? Alors ce CD devrait vous plaire. Ce quatuor, formé par Dominique Depret (gtr), Stephen Harrison (cbs), Ilan Moss (bjo) et Ian McCamy (vol, voc), a fouillé dans les piles de vieux 78t pour trouver des gigues, breakdowns, ragtimes, tous ces styles acoustiques du début du siècle précédent outre-Atlantique. Comme il y a très peu de morceaux chantés, cela permet d’apprécier la dextérité de Ian au violon. Pour ma part, ce sont les trois valses, « The faubourg waltz », « The courting day waltz » et la lente « The Saturday night waltz », ainsi que les deux titres entre bluegrass, ragtime et hillbilly bop, « The Milwaukee blues » et « Curly heade women », qui m’ont fait dresser l’oreille.Par B.B. – LE CRI DU COYOTTE

  • « Par l’historique du jazz trad » par Jazzmag - Jazzman
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    Par l’historique du « jazz trad » à la française, les classiques de la chanson francophone (Gainsbourg, Annegarn, Hallyday, Aznavour, Delpech, Sœur Sourire…). (…)Par – JAZZMAG-JAZZMAN

  • « Les Haricots Rouges ont traversé l'art du vingtième siècle » par Libération
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    « Partis en 1963 du village sans prétention, les Haricots Rouges ont traversé l'art du vingtième siècle. En 50 ans de carrière, les jazzmen ont figuré en première partie de Louis Armstrong, des Beatles, des Rolling Stones... et de Georges Brassens. Comme à son récital de Bobino en 1972, où l'orchestre lui réserva une surprise d'anniversaire sur Les Copains d'Abord! On doit aux ambassadeurs du New Orleans en béret bien de chez nous près de 5000 concerts. Ils nous balancent cette fois un CD de French mélodies. L'on retient l’étonnante version de La Prière, musique de Brassens mâtinée par les soins de nos lurons de groove latino. » Par Bruno PFEIFFER - LIBERATION

  • « A ranger parmi les interprétations marquantes. » par Libération
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    «  Avant de devenir célèbre, la Dame en Noir chantait Brassens dans les cabarets de la Rive gauche. A ranger parmi les interprétations marquantes. »Par Bruno PFEIFFER - LIBERATION

  • « Recommander les yeux fermés » par Les Immortels
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    « Si vous n’êtes pas babyboomers difficile de vous recommander les yeux fermés ce triple album. Certes les découvertes sont nombreuses. Qui connait aujourd’hui encore El Toro et les Cyclones (Jacques Dutronc à la guitare), les Loups Garous, les Bourgeois de Calais, Teddy Raye et les Teddy Boys, Gélou ou Rocky Volcano et son fameux costume laqué ? On ne mourra pas idiots de les avoir ignorés. Et certains morceaux sont authentiquement improbables : « Si tu crois » de Long Chris, « Le twist familial » de Claude et ses tribuns par exemple. Il existe pourtant des incontournables et des surprises sinon divines du moins agréables. Elles illustrent une certaine qualité instrumentale et parfois vocale au rock hexagonal débutant. Côté incontournables : Hallyday, Eddy Mitchell (encore Chaussettes Noires) et Dick Rivers (encore Chats Sauvages). Côté surprises les presque oubliés Pirates et Vautours. Mais aussi Nancy Holloway dont les premiers morceaux sont loin d’être anecdotiques tout comme [...]

  • « Reconnaissance d’une histoire aussi intéressante que l’histoire officielle » p
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    « Frémeaux et associés nous propose un voyage dans les temps. D’abord en compagnie de l’orchestre de Ray Ventura, en trois CD et trois périodes : « 1928-1934 » soit les prolégomènes, « 1935-1940 », la gloire, l’esprit des temps avec « Tout va très bien Madame la Marquise » un véritable hymne national et « 1946-1956 », une sorte de fin en feu d’artifice avec l’arrivée d’un guitariste plein de jazz, Sacha Distel, le neveu. Une plongée nécessaire, une reconnaissance d’une histoire aussi intéressante que l’histoire officielle. Dany Lallemand nous présente Ray Ventura et quelques-uns des collégiens – c’est le nom de l’orchestre souvenir de jeunesse à Janson De Sailly – ainsi que Paul Misraki, compositeur de génie qui a su saisir les sentiments de la période de ces années 1930. On ne peut comprendre ni le Front Populaire ni la chanson française de l’après guerre comme la force du jazz, son importance dans la culture française sans écouter cette musique à la fois joyeuse et triste comme [...]

  • « L’entrée dans cette nouvelle ère pour la France » par l'Ecole émancipée
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    « Frémeaux et associés nous propose un voyage dans les temps. (...) une «  anthologie du rock français 1960-1962 », pour nous plonger dans ces années qui a vu l’émergence des « teens », de ces ados construits autour de l’obligation scolaire en quête d’une reconnaissance sociale qui passera par cette musique qualifiée de sauvages. Mai 68 aurait sans doute été différent sans le rock – à ne pas confondre, les auteurs du livret et de la sélection, François Jouffa et Pierre Layani y insistent à juste raison avec les « yéyés » qui arriveront après -, sans ces jeunes gens et jeunes filles, sans ces groupes portant des noms de publicité comme « Les chaussettes noires » subventionné par Stemm. Johnny Hallyday, sur Vogue, un label dédié au jazz, marquera l’entrée dans cette nouvelle ère pour la France. »Par Nicolas BENIES - L’ÉCOLE ÉMANCIPEE

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