-
« Encuentro con Jean-Claude Roché » (Extracto) Blanco y Negro Cultural
Catégories : Article de presse ( Article de presse )Hice discos de Polonia, Grecia, Escandinavia, y también uno, llamado « Baladas andaluzas », resultado de un viaje a Andalucia, donde encontré ciertos ambientes sonoros muy bellos y muy particulares porque, aunque se trate de aves medirerràneas, son muy distintas a las de Francia. En España hay algùn tipo de alondras y otras aves que no existen en mi pais. Y en general, son muy hermosos les sonidos que se encuentran en los estanques y en las lagunas españolas.Juan Antonio LLORENTE – BLANCO Y NEGRO CULTURAL
-
“One of the founding fathers of modern jazz” par The New York City Jazz Record
Catégories : Article de presse ( Article de presse )“Even casual jazz fans know that alto saxophonist Charlie “Bird” Parker was one of the founding fathers of modern jazz, that his career was cut short and that most contemporary players are still working through things that he introduced to the music. Many would also be aware that he produced many of his most famous recordings during the late ‘40s. Several of these appear on this set, about half of which comes from Bird’s last three studio sessions for Savoy, one of the two fledgling indie labels that held “exclusive” deals with him at the time. Shortly after the last of these sessions, Parker signed with Mercury and producer Norman Granz, with whom he would remain until the end. And while he certainly recorded a lot of significant music for Granz, his legacy is defined by the Savoy and Dial work and the best of his live recordings. That brings us to the fact that this “complete” set really makes no pretense at being so, though it does aim to steer a sensible course through waters [...]
-
« Des ambiances sonores d’une grande richesse » par Les Quatre Saisons Du Jardin
Catégories : Article de presse ( Article de presse )Neufs petits concerts, sans commentaire et sans autre musique que celle de la vie nocturne enregistrée en stéréo dans différentes régions du monde. Grâce à la grande qualité des enregistrements, on a le temps de s’immerger totalement dans ces ambiances sonores d’une grande richesse, de savourer cette calme beauté…Par LES QUATRE SAISONS DU JARDINAGE
-
« Ce coffret nous fait voyager » par le Journal de Montréal
Catégories : Article de presse ( Article de presse )Comment résumer, sans trop arrondir les coins, la chanson québécoise de 1900 à 1960 ? C’est ce qu’a réussi de main de maître l’équipe de production de ce coffret qui nous fait voyager, non pas dans un univers monolithique d’une petite société tranquille et sans histoire, mais à travers tous les courants qui traversaient la France et l’Amérique de ces époques. D’Hector Pellerin, le chanteur plus populaire des quarante premières années du siècle, jusqu’au Vaudeville, à la « Bonne Chanson », au folklore, à l’opérette, au western, aux « Nuits de Montréal », aux crooners et aux chansonniers, le Québec bouillonnait beaucoup plus que l’on a tendance à le croire, et ce répertoire le montre bien.Par Y.B.- LE JOURNAL DE MONTREAL
-
« Une machine à swing saupoudrée de gospel » par Blues & Co
Catégories : Article de presse ( Article de presse )« J’ai l’impression que nous allons vivre la grande aventure du Godfather à la voix exceptionnelle en plusieurs épisodes. James Brown est certainement l’un des plus grands artistes de la musique afro-américaine du XXe siècle. Ce premier coffret évoque la révélation de cette machine à swing saupoudrée de gospel. Avant de découvrir son propre style, il va s’inspirer en partie du vocal de Little Richard. Écoutez « I don’t know » ou encore « Chonnie on chon » pour en être convaincu ! Tout n’a pas été facile pour le natif de Caroline du sud qui a été abandonné par sa mère à l’âge de quatre ans, puis par son père parti s’engager dans la marine, laissant le fiston à une tante tenancière d’un bordel. Livré à lui-même et pour survivre, le petit James doit travailler dans des champs de coton, faire le cireur de chaussures et autres petits boulots. Encore adolescent, il sera arrêté pour tentative de vol de voitures et il va se retrouver derrière les barreaux. Au pénitencier il se consacre a [...]
-
« Le dernier coffret consacré à Sister Rosetta Tharpe...» par Blues & Co
Catégories : Article de presse ( Article de presse )« Ce coffret serait le dernier de Sister Rosetta Tharpe édité par Frémeaux et Associés car la nouvelle législation européenne a fait reculer de vingt ans le domaine public sur les enregistrements phonographiques qui empêchent entre autre ce label de poursuivre l’œuvre de l’artiste citée. Malheureusement, il faudra se contenter des rééditions ne dépassant pas les années 60. Ce volume 7 comprenant trois disques ne concerne pas uniquement Sister Rosetta Tharpe. On y trouve aussi sa mère Katie Bell Hubin et l’orchestre de Dizzy Gillespie avec des titres enregistrés à New York entre janvier 1960 et avril 1961, ainsi que Marie Knight accompagnée par le trio du pianiste Sam Price de la période allant de 1948 à 1959. Native de Sandford en Floride Marie Knight à la voix de contre alto s’est exprimée, la plus part du temps, dans le gospel avec une ferveur hors du commun. L’amie de Sister Rosetta Tharpe nous interprète en « bonus » neuf titres, dont l’une de ses compositions « The Florida St [...]
-
« D’émouvantes retrouvailles » par France Info
Catégories : Article de presse ( Article de presse )Ils sont frères et musiciens. Didier est au violon, Francis pianiste. Quatre années les séparent et c’est Francis qui fut le mentor de Didier. Dans les années 70, les frangins Lockwood ont joué et enregistré ensemble puis chacun a suivi sa carrière. Aujourd’hui, ce sont d’émouvantes retrouvailles que l’on peut entendre sur le bien nommé « Brothers ». Un album de complices et de finesse.Par Anne CHEPEAU – FRANCE INFO
-
« Les réussites de cet album sont nombreuses » par Jazzman
Catégories : Article de presse ( Article de presse )Cela faisait longtemps que l’on attendait un vrai disque de jazz de la part de Didier Lockwood. Il nous l’offre en compagnie de son frère, un complice avec lequel il improvise en toute confiance. Didier n’aurait probablement pas fait un meilleur disque avec un autre pianiste, tant les réussites de cet album sont nombreuses. Les compositions ont toujours leurs moments de grâce. Habilement troussé sur une grille de blues, « I Don’t Think Anymore » génère des échanges drôles et joyeux. « October Waltz », une jolie valse triste, renferme un chorus de violon mémorable. « A Day in London, Above the Clouds » sont de touchantes ballades. A un violon virtuose, sensible et lyrique répondent les justes accords d’un piano constamment à l’écoute. Francis ajoute un profond sens du tempo aux belles couleurs d’un piano qui commente, relance, éblouit et met surtout en valeur un violon enchanteur. Dans « Tu me l’avais dit », presque une chanson sans paroles, les deux frères se racontent une vérita [...]