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  • « Parfums capiteux du jazz néo-orléanais » par Jazz News
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    « Soutenue par la pompe élégante d’un Bucky Pizzarelli en guitariste plus qu’octogénaire, la clarinette d’Evan Christopher ondoie vers ce royaume magique où Sydney Bechet est le plus grand jazzman  de l’univers, et Barney Bigard son signalé prophète. Avec deux autres compères également remarquables (le guitariste  James Chirillo et Greg Cohen, aussi confortable auprès de Woody Allen  qu’avec Ornette Coleman, à la contrebasse), le quartette goûte aux parfums capiteux du jazz néo-orléanais, sans fixation passéiste. Dans ses compositions, au gré de quelques reprises (Jelly Roll Morton), il tente de réhabiliter  la distinction  et la sensualité de ces sons échappés du Quartier-Français. Léger, paisible et enjoué, cet album y parvient parfaitement. »Christian LARREDE – Jazz News

  • « Guitariste musculeux et sensible » par Jazz News
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    « Formé au côté de Tchavolo Schmitt, le Sarregueminois Christophe « Mayo » Hubert, bien décidé pour son coup d’essai en leader à ne pas s’inclure dans la cohorte des héritiers de Django, a convoqué ici l’harmoniciste chromatique Laurent Maur, lui offrant sa première incursion dans l’univers du jazz manouche. Ce quatuor  inédit (Francko Mehrstein à la guitare rythmique, Gino Roman à la contrebasse), extension virevoltante de ce que l’on entendait quand s’époumonait l’accordéon, laisse les mélodies s’envoler et les improvisations ébouriffer le swing naturel d’un guitariste, musculeux et sensible, qui prouve, en onze originaux et une reprise de Loulou Gasté, qu’il est tout aussi capable de galopade torride sur le manche que de tendresse assumée. »Par Christian LARREDE – Jazz News

  • « Une impeccable sélection de Gérard Herzhaft » par Jazz Mag – Jazz Man.
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    Ses premières faces de 1940 montrent un musicien prisonnier du carcan du « Blue-bird Sound » imposé par le producteur Lester Melrose, mais dont Memphis Slim s’affranchit dès 1946 en passant sur les labels indépendants qui prospèrent. Sa voix s’affirme, le boogie-woogie aussi, l’interaction du piano et de la contrebasse slappée fait merveille et la présence de saxophonistes donne un vernis rhythm and blues emprunté à la côte Ouest. Dès le début des années 1950, Slim, en phase avec son époque, s’attache les services de Matt Murphy, jeune prodige de la guitare alors inconnu qui va donner une expressivité nouvelle à sa musique. Les années 60 venues, sans rien renier, il se tourne vers le public du « blues revival » new-yorkais ou anglais, plus avide d’albums que de 45 tours. C’est ce parcours que retrace l’impeccable sélection de Gérard Herzhaft qui s’écoute avec un intérêt constant. Entre morceaux de bravoure pianistique, chant habité et solos de guitare brillants, on apprécie quelqu [...]

  • « Coup de chapeau à Frémeaux & Associés pour ce formidable travail … » par Music
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    Sister Act 7. Voici le dernier volet de la formidable intégrale sur la Dame Gospel, cette « sœur » à qui l’Amérique puritaine reprochait d’être attirée par les démons du blues. Voix gospel et guitare blues, cette pionnière du cross-over a façonné la musique actuelle, loin des chapelles. Les trois premiers coffrets, compilés sous la direction de Jean Buzelin et dont beaucoup de titres furet donnés par Chris Barber, tromboniste et chef de l’Orchestre de l’artiste, nous avaient déjà bluffés. Celui-ci propose en bonus des enregistrements blues avec la chanteuse Marie Knight des années 50. Coup de chapeau à Frémeaux & Associés pour ce formidable travail de recherche de bandes-son.Par MUSIC

  • « Trois frères guitaristes, trois personnalités. » par Jazz news
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    « En trois CD, le parcours de l’autre grande famille qui, parallèlement à Django, contribue à l’éclosion du jazz gitan. Trois frères guitaristes, trois personnalités. Pierre « Baro » virtouose étourdissant et « mec à la redresse », Etienne « Sarane » roi de la valse swing et, meilleur des trois,  le « gillespien » Jean « Matelo », décalé, complexe et audacieux. »Par Jazz news

  • « Moment d’histoire » par Jazz News
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    « Ellas McDaniel est le plus grand oublié des fondateurs blacks du rock’n roll. Autant Chuck Berry séduisait les midinettes et Fats Domino rassurait les parents par sa bonhomie, autant la pulsion afro-sudiste de Bo Diddley intriguait et déroutait en dehors des ghettos. Cette incompréhension  explique l’apparition tardive, mais salutaire, de ce coffret qui résume en 3 CD une carrière parfaitement hors norme. Au-delà de la sonorité immédiatement identifiable de ses enregistrements, l’humour au second degré de ce créateur unique aura assuré le continuum du blues en échappant  à la censure puritaine par ses évocations en filigrane de l’expérience afro-américaine urbaine de l’Après-guerre. Ce coffret est non seulement une partie de plaisir, mais un moment d’histoire. »Par Jazz News

  • « Des musiciens, chanteurs qui nous séduisent toujours… » par Trad Magazine
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    La Sainte Trinité, c’est bien sûr les fondateurs de la bossa nova : le carioca Antonio Carlos Jobim (pianiste et compositeur), le poète diplomate Vinicius de Moraes et le guitariste bahianais João Gilberto (Frémeaux ressort en un CD ses trois premiers disques introuvables, ref. FA5216). Les années 1960 voient cette mouture particulière de la musique populaire brésilienne (MPB) qui a pris naissance dans la moyenne bourgeoisie blanche de Rio de Janeiro, dans les quartiers chics de Copacabana et d’Ipanema, conquérir le monde à la vitesse d’un raz de marée. La mode du tropicalisme passera mais la bossa nova restera et deviendra un genre musical très original en empruntant des éléments musicaux formels qui viennent du jazz. « Officiellement », la bossa nova naît avec la publication de « Chega de saudade » (ça suffit de nostalgie) en 1958, même si on peut faire remonter les innovations douces et la transformation du samba plus haut dans le temps, comme l’a bien montré dans l’album « Les [...]

  • « Finesse a tout ce qu’il faut de délicatesse… » Par L’Express
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    Disciple  de Barney Bigard et Edmund Hall, Evan Christopher s’est taillé un franc succès avec son « Django à la créole » en mêlant les effluves néo-orléanaises de sa clarinette au parfum des guitares manouches. Comme si Sidney Bechet avait rencontré Django, lui aussi aimait la clarinette mais ne joua jamais avec le plus français des musiciens louisianais. Leur « finesse » a tout ce qu’il faut de délicatesse et d’indolence pour n’être pas usurpée.Par L’EXPRESS

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