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  • « Trio Camara de nouveau disponible » par Médiapart
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    1966. Pierre Barouh, plutôt que de vivre de ses rentes, invente, en poète, un label de disques : Saravah. Ce mot lui va comme un gant, puisqu’en portugais du Brésil il signifie un peu l’adieu, beaucoup le salut fraternel. Quelques mois plus tard, trois musiciens brésiliens, fuyant la dictature, s’installent à Paris : Fernando Martins, pianiste, Edson Lobo, bassiste et Nelson Serra, batteur. Ils forment le Trio Camara. Pierre Barouh leur propose en 1968 d’enregistrer au  studio Davout, sous la direction d’Yves Chamberland. L’aventure ne dure qu’un printemps. Sans doute émane-t-il de ce disque, enfin réédité, la vitalité de la jeunesse et de l’engagement. Mais c’est aussi la qualité musicale qui nous embarque : il y a du Bill Evans première manière dans les harmonies de Martins, des pulsations formidables de la part de la rythmique. A déguster de toute urgence !  Par Frédérick CASADESUS – MEDIAPART

  • « Beaucoup de titres étaient introuvables » par L’Affranchi de Chaumont
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    « Le coffret contient 38 chansons servies par 17 interprètes (parmi lesquels Mouloudji, Aznavour, Montand, Gréco, Jean-Claude Pascal, Jacqueline François, Ferrat, Zizi Jeanmaire, Les Frères Jacques... et même Bourvil). Les notes écrites sont particulièrement intéressantes et le son d'une étonnante qualité. Il sera distribué dans les jours qui viennent aussi bien chez les libraires que chez les disquaires. Une trentaine de pays en seront destinataires. Le projet présentait un réel intérêt dans la mesure où beaucoup de titres étaient introuvables. La plupart des chansons de l'époque ont même été oubliées. L'autre intérêt pour lui, c'est que l'éditeur (Frémeaux et associés) sait toujours mettre en valeur les oeuvres sorties du passé. Il ne travaille d'abord qu'à partir d'enregistrements vinyles de bonne qualité qu'il façonne ensuite minutieusement. Puis il enrichit le coffret d'un livret très détaillé. C'est sa contribution à la mise en valeur du patrimoine. » par Lionel THOMASSIN – [...]

  • « A couper le souffle » par Le Quotidien du Médecin
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    « Nostalgiques de l’ère soviétique, amateurs de chant choral viril, les Choeurs de l’ex-Armée rouge (120 choristes, musiciens et danseurs) seront en France pendant tout un mois (du 10 mars au 9 avril). Depuis 1928, ce corps d’élite perpétue une tradition de chants patriotiques, de danses folkloriques, de mélodies de la Russie éternelle (« Plaine, ma plaine », « Kalinka », « Troïka », « la Sonnerie du soir », « Oh ma vaste steppe ») avec leurs superbes bayans, accordéons chromatiques russes, qui teintent les orchestrations d’une indicible nostalgie. Par ailleurs, la magnifique collection de musique du monde de Frémeaux et associés nous restitue, dans un son de qualité, les enregistrements du fils d’Alexandre Alexandrov, le fondateur de cet ensemble emblématique de la Russie de toujours, treize chants en tout, triés sur le volet (1 CD Frémeaux et associés). Un professionnalisme à couper le souffle. » Par Olivier BRUNEL – LE QUOTIDIEN DU MEDECIN

  • « Le bonheur du jazz à l’état pur » par Le Quotidien du Médecin
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    « Cofondateur avec Art Blakey des fameux Jazz Messengers, le pianiste Horace Silver, âgé aujourd’hui de 83 ans, fut une des figures majeures de la scène jazz hard bop et du label Blue Note. Compositeur, le répertoire jazz lui doit de très nombreux standards au swing, souvent funky, affirmé. Un superbe florilège (3 CD, « Horace Silver - The Quintessence - New York : Hackensack, 1952-1959 » (Frémeaux & Associés), revient – avec le pianiste en compagnie d’autres solistes de l’époque, comme Lou Donaldson (saxe alto), Art Blakey, Kenny Dorham, Art Farmer et Clifford Brown (trompette), Hank Mobley (ténor-saxe) – sur ces années de braises qui furent d’une richesse exceptionnelle et fondatrices. Le bonheur du jazz à l’état pur. » Par Didier PENNEQUIN – LE QUOTIDIEN DU MEDECIN

  • « Vous va en plein cœur » par On Mag
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    « Quelle angoisse intime, quelle terreur morale, quelles blessures psychologiques, quel tourment intérieur tenaillaient ce saxophoniste-clarinettiste extrêmement doué qu’était Art Pepper pour l’amener à se faire piéger comme il l’a été par l’héro, avec toutes les conséquences qui s’ensuivirent, années passées en taule, vies sociale et sentimentale ruinées, etc ? Pourtant, cela avait bien débuté, sur la côte ouest. Ce double album de Quintessence nous offre l’Art Pepper des années cinquante et soixante, nous les remémorent. Art Pepper, de son vrai nom Arthur Poivre (même pas d’Arvor comme d’autres) possédait un son bien à lui, avec des nuances de fragilité, de drame intérieur, qui faisaient que, même au milieu d’un air joyeux et guilleret, son saxo alto prenait des airs tragiques. Et le mouvement de jazz qui naissait sur la côte ouest, le westcoast, se voulait décontracté, désinvolte et joyeux, précisément. Art Pepper lui ajoutait la profondeur qui lui aurait manqué. Déjà, chez Sta [...]

  • « Eminemment tonique et requinque le moral » Par On Mag
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    « On connaît la boutade, très juste, de Clemenceau : « Il suffit d’ajouter « militaire » à un mot pour lui faire perdre sa signification. Ainsi la justice militaire n’est pas la justice, la musique militaire n’est pas la musique ». Si nous ne devions garder qu’un seul groupe qui illustrerait l’exception à la règle, ce serait celui des Chœurs de l’Armée Rouge. Certes, la musique, c’est avant tout du sentiment, et les impressions que suscitent les chansons des célèbres Chœurs de l’Armée Rouge sont très martiales : le patriotisme, la force, la détermination, le courage, l’amitié virile, la camaraderie, l’optimisme, l’enthousiasme. Mais, créés dans le but de soutenir le moral des révolutionnaires dans une guerre extérieure et intérieure, les Chœurs d’Alexandre (puis de Boris) Alexandrov ont su puiser dans les traditions musicales russes (voix de basses conjugués habilement à celles des ténors, présence de balalaïkas, d’accordéons diatoniques, sifflements) si bien, qu’ils sont un des s [...]

  • Une sensibilité jazz à fleur de peau. par On-Mag
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    "(...) Francis Lockwood, en traitant la musique du sulfureux guitariste en trio piano-basse-batterie, voulait démontrer que cet artiste, certes rocker hors normes, cachait, derrière ses explosions guitaristiques et scéniques hors du commun, une sensibilité jazz à fleur de peau qui ne demandait qu’à être révélée, et qu’il procédait, en ce sens, au même titre que nombre d’artistes célèbres de rhythm ‘n blues, de la même démarche jazz. Traitée en piano-basse-batterie par Francis Lockwood derrière le clavier, par Gilles Naturel à la contrebasse, et par Peter Gritz à la batterie, les musiques de Jimi Hendrix, celles qu’il a composées (« The Wind Cries Mary » ou « Little Wing » par exemple) ainsi que celles qu’il a chantées et qui étaient de Bob Dylan, d’Eric Clapton ou de Billy Roberts (« Hey Joe ») apparaissent sous un autre jour, plus mélodiques et plus mélodieuses, marquées du sceau du blues et des racines jazz. Cerise sur le gâteau, et pour se (nous) faire plaisir, Francis Lockwood [...]

  • « On y apprend mille choses » par Lire
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    « A l’aise à l’oral, d’une grande clarté, d’une drôlerie parfois qui ravit un public dont on se demande s’il est acquis au philosophe ou s’il se méfie du sujet traité. En un mot, brillant. Peut-être trop. Quoi qu’il en soit, Michel Onfray a véritable talent de pédagogue. Quatre cents personnes s’étaient pressées à Cannes en avril 2011 pour le voir et l’entendre. « Il nous ouvre enfin les portes des musées et des collections d’art contemporain » lit-on au dos du coffret. […] La conférence s’écoute cependant avec profit. On y apprend mille choses sur le marché de l’art, sur ses coteries, sur le mouvement des Incohérents, sur la connaissance qu’en avait Marcel Duchamp, sur l’origine nietzschéenne du ready-made, etc. Tout cela suscite l’intérêt […]. »Par Jérôme SERRI – LIRE

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