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  • « Naissance d’un phénomène » par Vibrations
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    « Quoi de neuf en ce printemps ? Serge Gainsbourg. Encore un « nouveau » disque de Gainsbourg dans les bacs. Et, en même temps, encore un nouveau film sur Gainsbourg au cinéma. Si c’est une blague elle est de mauvais goût. N’a-t-on pas déjà tout vu, tout entendu, tout lu et tout écrit sur l’homme à la tête de chou ? Personne n’ignore plus rien sur sa vie, son œuvre, ses frasques, alors laissez-nous maintenant apprécier ses chansons en paix. Ginsburg saturation : basta ! Le cinémaniaque se méfie. Comme toujours, il se trompe énormément, le disque et le film ne sont absolument pas de trop. Le coffret édité par Frémeaux & Associés s’intitule « Intégrale Serge Gainsbourg et ses Interprètes ». Soixante-six titres dont treize inédits. Loin d’être une arnaque, cette compilation soigneusement établie par Olivier Julien et Frédéric Régent restitue l’intégralité de ses premières créations, interprétées par lui-même ou par ceux qui l’ont fait connaître (Greco, Jean-Claude Pascal, Lucien Atta [...]

  • « L'érudition du maître d'œuvre de la réédition régale l'amateur » par Libératio
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    « Les Dieux du jazz soient loués, l'éditeur Patrick Frémeaux et Associés édite en avril le onzième volume de l'intégrale de leur premier génie, Louis Armstrong. Un génie ? Le Larousse nous apprend ceci : "une personne naturellement apte à créer des choses exceptionnelles". Premier soliste du jazz, le Louisianais déborde la définition. De 1925 à 1945, la moindre note de sa trompette décroche le paradis. Pas un de ses contemporains n'a échappé à l'influence. Le constat vaut pour les successeurs. Citons Miles Davis : "Vous savez, on ne peut rien jouer à la trompette que Louis Armstrong n'ait déjà joué - y compris le jazz d'aujourd'hui. J'aime sa conception moderne du jeu de la trompette, jamais il ne sonne. mal. Il joue sur le temps. On ne peut pas mal jouer quand on joue sur le temps avec un tel feeling".Comme chanteur, Satchmo (son surnom) influence les musiciens de son temps. Lionel Hampton avoue qu'il se promenait sans manteau en hiver pour attraper froid. Avec la laryngite, le v [...]

  • « Des moments de vie aussi légers que profonds » par Routard.com
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    « La vie de Pierre Barouh est remplie de ces aventures qui n’arrivent qu’aux saltimbanques dans son genre. Un jour de 1969, ou plutôt une nuit, le cinéaste Pierre Kast lui propose de le rejoindre à Rio où il va tourner un film documentaire sur les rites macumba et cambomblé. Grâce à ce passionné de samba et de bossa nova qu’est Barouh, on pourrait en effet réunir quelques-uns des meilleurs chanteurs et musiciens brésiliens du moment. Barouh débarque le jour dit de l’avion pour apprendre que le cinéaste va quitter la ville afin de rejoindre Bahia. Qu’à cela ne tienne, ayant devant lui quelques jours, Barouh entraîne le cameraman et l’ingénieur du son de Kast auprès d’une poignée d’artistes. Filmé en totale improvisation, « Saravah » est la réunion de séquences pleines de vérité. Voici d’abord les deux anciennes grandes vedettes populaires que sont Pinxiginha et João da Bahiana. Bien entendu, ceux-ci chantent. « Saravah » n’est pas à proprement parlé un film documentaire. On n’y exp [...]

  • « Une interprète authentique et sobre » par Le quotidien du médecin
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    « Née Jeanine Marcelle Saunier, Catherine Sauvage (1929-1998) méritait bien son surnom de « l’amie des poètes ». Léo Ferré surtout, qu’elle rencontre à la fin des années 1940 à Paris, au point d’être affublée d’un deuxième surnom, « la voix Ferré ». Mais aussi Raymond Asso, Louis Aragon, Francis Lemarque, Pierre Mac Orlan, Georges Brassens, Jacques Prévert, Serge Gainsbourg et Charles Trénet. Au service de très beaux textes qui se retrouvent dans le double album « Catherine Sauvage interprète Ferré, Lemarque, Aragon, Brassens, Caussimon…1951-1959 » (Frémeaux & Associés), accompagnés par les grands orchestres de Michel Legrand, Frank Aussman et Alain Goraguer. Une interprète authentique et sobre. »Par Didier PENNEQUIN – LE QUOTIDIEN DU MEDECIN

  • « Un grand soliste déchiré et déchirant » par Le quotidien du médecin
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    « Archétype du jazzman à la West Coast, Art Pepper (1925-1982) fut un musicien frappé par la malédiction d’une vie chaotique – drogues, cures de désintoxication, délinquance et nombreux séjours à la prison de San Quentin – comme il en existait, malheureusement beaucoup dans les années 1950-1960. Saxophoniste-alto écorché vif, inspiré par Benny Carter et l’immense sonorité de Lester Young (ténor), il commence une carrière – souvent interrompue – dans le big band du chef Stan Kenton, puis au coté de Shelly Manne (batterie) et Marty Paich (piano) avec l’élite des instrumentistes californiens, vant de diriger ses propres groupes. « The Quintessence – Los Angeles – 1950-1960 » (Frémeaux & Associés) est un double CD qui rend un vibrant hommage à un altiste, alors au sommet de son art, animé par l’envie et la rage de jouer, de se surpasser, de chasser les nombreux doutes et incertitudes qui allaient empoisonner sa vie personelle et son parcours. Un grand soliste déchiré et déchirant. »Pa [...]

  • « Un période musicalement riche et entrée dans la légende » Par Le quotidien du
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    « Frémeaux & Associés poursuit la réédition d’intégrales de plusieurs jazzmen historiques, à l’image de Louis Armstrong. Concocté par l’historien et collectionneur Daniel Nevers, les N°10 et 11 viennent de paraître. Le premier volume, intitulé « Radio Days – 1941-1944 & Complément (Cotton Club) », débute quelque temps avant l’attaque de Pearl Harbor et se prolonge surtout avec des diffusions données par l’AFN (American Forces Network) pour les troupes US engagées d’abord dans le Pacifique, puis en Europe. Le second, « Jack – Armstrong Blues – 1944-1945 » couvre la fin du conflit et permet de (re)découvrir des monuments absolument fabuleux donnés par un orchestre de pointures de l’époque, rassemblées par le magazine « Esquire », comprenant notamment, outre Satchmo, Roy Eldridge (trompette), Jack Teagarden (trombone), Barney Bigard (clarinette), Coleman Hawkins (ténor sax), Art Tatum (piano), Oscar Petitford (contrebasse), ou encore Sidney Bechet (soprano-sax), Lionel Hampton et Red [...]

  • « Indispensable. » par Reggae.fr
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    « Jamaica Mento est une excellente compilation qui regroupe des titres fondateurs du style musical qui a dominé la culture jamaïcaine des années 50. Souvent confondu avec le Calypso originaire de Trinidad, le mento jamaïcain est le précurseur de ce qui sera le ska et un peu plus tard, le reggae. Cette compilation, composée de deux CDs de 18 titres, est sortie chez Frémeaux & Associés, au sein d’une collection consacrée aux origines de différents genres comme la Bossa Nova, le Mambo ou la Biguine. La direction artistique de ce double opus incombe à Bruno « Doc Reggae » Blum, journaliste musical spécialiste du reggae qui a aussi rédigé le très intéressant livret de quarante pages fourni avec les cds. Il permettra à tous ceux qui ne connaissent pas ce style musical de le découvrir un peu plus et d'y apprendre notamment que le mento fut popularisé par l’américain Harry Belafonte, qui vendit 1 millions d’unités de son album intitulé Calypso (ce qui contribuera fortement à entretenir la [...]

  • Complètement dans la tradition pure et dure du swing manouche par On Mag
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    "Voici le quatrième volume de l’œuvre du guitariste de swing manouche Patrick Leguidcoq, plus connu sous son nom de voyage « Romane », que réédite pour notre plus grand bonheur le label Frémeaux.Ce CD de 1997 date en fait de 1992 et a été enregistré à Nashville. Il se veut, et il est, un CD complètement dans la tradition pure et dure du swing manouche reinhardtien, histoire de montrer au public américain que ce style était bien vivant. Car, à l’époque, les fossoyeurs patentés du jazz à la française étaient légion, y compris en France, et ne se cachaient pas (j’ai les noms). La virtuosité et le cœur dont Romane fait montre sur ce disque sont exceptionnels. Il est accompagné par Laurent Bajata à la pompe et par un local, Bob Burns, à la contrebasse. Au programme, uniquement des morceaux de Django ou qu’a joués Django, sauf une seule composition, mais qu’il aurait aimé jouer, j’en suis sûr. Une composition de l’ami Bajata, et là, on reconnaît le générosité de Romane, qui s’efface dev [...]

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