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  • L’album est imparable ! par Paris Move & Blues Magazine
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    "C’est livré ‘brut de fonderie’ car enregistré ‘live’ dans un temple du jazz et donc du jazz manouche, et rien à dire d’autre, car l’album est imparable ! Le virtuose de la guitare manouche s’est entouré d’un quatuor de musiciens impeccables pour nous offrir un florilège de ses dernières compositions. Christophe Cravero à l’orgue et au violon, Mathieu Chatelain et Christophe Lagane aux guitares rythmiques ainsi que Henri Dorina à la basse électrique nous embarquent tous dans une déambulation musicale qui n’est pas sans rappeler ces ballades que l’on faisait dans les Puces de Saint-Ouen, là où les sonorités des guitares manouches sortaient des bistrots où l’on allait se délecter d’une frite saucisse et d’un demi en musique. Chaque fin de semaine était une fête, et nous sommes tellement nombreux à regretter cette époque là…Nous vous avions annoncé la prochaine publication de l’Intégrale de Romane chez Frémeaux & Associés, vous précisant par la même occasion que ce label était sa nou [...]

  • L'ensemble est élégant par Télérama
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    "Si vous adorez Gainsbourg […] vous pouvez desserrer gaiement les cordons de la bourse pour vous offrir ces beaux objets commémoratifs – presque votifs. Car si les inédits restent anecdotiques (version de travail, voix témoins, instrumentaux…), l’ensemble est élégant. Daté certes, mais pas si démodé. A noter aussi deux autres sorties […] et un triple album centré sur les premières années et ses interprètes (Gréco, Aufray, Michèle Arnaud…)."Par TÉLÉRAMA

  • « Un album qui ne saurait laisser indifférent » Par Jazz Mag-Jazzman
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    «  Insolite, pour le moins, l’idée d’adjoindre au trio sans batterie de Nicolas Montier l’orgue de barbarie de Pierre Charial. Un instrument de « 42 touches à 114 flûtes, lecture mécanique, tessiture de 3 octaves et une quarte- 1 module de 12 basses 8 pieds », ces détails pour les spécialistes. Quant au profane, il ne saurait affirmer que cet apport fournisse un surcroît de swing à un groupe qui, réduit à lui-même, est loin d’en être dépourvu, comme permet d’en juger l’interprétation de quelques standards. Born To Be Blue, Gone With The Wind ou Too Close For Comfort, autant de réussites nées de la connivence entre un ténor au son chaleureux, nourri de la grande tradition, un pianiste aussi attentif et précis dans son accompagnement qu’imaginatif en solo et un bassiste à l’inébranlable sûreté. Cela dit, Charial apporte des couleurs inédites à Ballad de Stan Laferrière et à la Ritournelle de la petite cracheuse de feu composée par le leader. Son développement sur Armando’s Rhumba ma [...]

  • Un jazz d’un dynamisme extraordinaire par On-Mag
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    "Très brillant, le trio Camara ! Pourtant, il n’aura gravé qu’un seul disque, en 1968, en France, pour le jeune label de Pierre Barouh, Saravah. Le trio Camara, c’étaient Fernando Martins au piano, Edson, plus connu sous le sobriquet d’Edu, Lobo à la basse et Nelson Serra à la batterie. Ils travaillaient ensemble depuis quelques années quand le coup d’Etat du traîneur de sabre Castelo Branco mit fin à la belle embellie qu’avait été la période de Juscelinho Kubitschek, le président qui avait lancé Brasilia, entre autres.Eclatement du trio Camara. Edu Lobo rentre au Brésil, les deux autres restent en Europe. C’était l’époque où, parallèlement à la bossa nova, se développait un autre genre, la samba-jazz, celui, précisément, de ce disque. Le CD commence sur un « Berimbau » d’enfer (la fameux « Bidonville de Nougaro) et, de Baden Powell à Caymmi, à Carlos Jobim, à Sergio Mendes et Joao Donato, nous présente ce qui se faisait au Brésil à l’époque, quand on parlait jazz. Quatre composit [...]

  • « Du grand art » par Jazz News
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    « Résurrection assumée, mais réactualisée, des pourpres et or du Quintette du Hot Club de France, et alors que Romane le principal protagoniste de l’aventure reste vif et vibratile, comme en témoigne son récent duo avec Stochelo Rosenberg. Ici, Philippe Doudou Cuillerier assure sa part à la guitare rythmique, le violoniste Florin Niculescu a plus d’une corde à son archet pour laisser accroire que Grappelli est immortel. Mais l’essentiel, reste le bonheur intrinsèque de goûter le suc des racines plénipotentiaires (Django), à l’aulne d’une sensibilité contemporaine, inventive dans la composition et dans le choix des couleurs (électricité ou pas). Une version de « Swing For Ninine », élégante et racée, constitue un vrai bonheur. Du grand art. »par Christian LARREDE – JAZZ NEWS

  • « Une invitation à éclairer un malaise, une heureuse surprise, à la lumière du p
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    Des haïkus, on en a lu, on en a aimé certains plus que d’autres, on a pu désirer en écrire soi-même et croire que cette forme brève était à notre portée. Avait-t-on cependant imaginé qu’il eut été possible d’en lire à voix haute et qu’on pût même avoir l’idée d’enregistrer Bashô, Busson, Issa ou Shiki comme on enregistre Hugo, Baudelaire, Verlaine ou Rimbaud ? Leur lecture exige une certaine lenteur, entre chacun un long silence et, de façon générale, une disposition d’esprit à laquelle leur trop grand nombre pourrait être fatal.Le lever du jourTournoyant dans la brume,La voix de la cloche.On n’a pas oublié le très beau texte que Philippe Jaccottet consacra en 1960, dans la Nouvelle Revue française, à l’anthologie du haïku en quatre volumes de l’érudit R.H. Blyth, texte repris en 1987 dans Une transaction secrète. Les haïkus, dans notre mémoire, lui doivent une part de leur lumière. Ecartant tout ce qui nous sépare de ces poèmes (langue, culture, religion, histoire) Philippe Jacco [...]

  • « L’âge d’or du calypso » par Mondomix
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    "Consacrée à l’âge d’or du calypso (1939-1959), cette double compilation répertorie  quelques-uns des plus grands succès de ce genre chanté apparu à Trinidad au XIXe siècle, dans un foisonnant brassage  de populations et de traditions musicales. On retrouve ainsi le Mathilda que popularisa plus tard Harry Belafonte, le Rum and Coca-Cola de Lord Invader ou le Big Bamboo de The Duke of Iron. Souvent critiques, les textes de ces chansons renvoyaient avec humour les auditeurs à leur réalité. Il y était évidemment question d’esclavage, de colonisation, de créolité et de sujets moins « conscious ». Marqueur pour une génération, le calypso restera populaire jusqu’à ce que le ska, le reggae, le son ou la salsa prennent la relève au firmament des musiques caribéennes."SQ – MONDOMIX

  • « Copieuse compilation » par L’Enseignement
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    "A vingt ans déjà, il y a cette voix au grain reconnaissable entre mille chanteurs de blues. La voix de Ray Charles. On le vérifie dans les deux premiers CD de cette copieuse compilation qui suit Brother Ray (son surnom préféré) /The Genius (son surnom commercial) de 1949 à 1960. Ou la naissance d’une légende  dans l’ordre chronologique : du trio  des débuts dans les clubs de Seattle jusqu’au grand orchestre à cordes avec chœurs. Des premiers succès calibrés pour le public noir – tel I Got A Woman (des paroles profanes sur un hymne religieux, il fallait oser !) –  au classique planétaire Georgia On My Mind. Dans le livret inclus dans le coffret, Jean Buzelin survole la biographie artistique et entre dans le détail des séances d’enregistrement. Sur le troisième CD, Ray Charles chante moins. Au piano ou à l’orgue, il fait jeu égal avec Milt Jackson, Oscar Pettiford et autres pointures qui l’accompagnent. Quel joueur de jazz !  Il aurait pu faire carrière. Mais il y avait cette voix… [...]

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