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“ Pourquoi ne pas redécouvrir ces magiciens que furent les frères Ferret »Par Le
Catégories : Article de presse ( Article de presse )« Pour souligner le 14 Juillet, fête nationale de nos cousins français, pourquoi ne pas redécouvrir ces magiciens que furent les frères Ferret. Dans la mouvance du génial Django Reinhardt, dont tout un chacun souligne le centième anniversaire de naissance, il ne faut pas oublier les petits maîtres. Du swing manouche dans tout ce qu’il y a de plus classique, mais avec, un petit brin de Paris qui sent la fête foraine et les bals musette. Une fois de plus, saluons le dévouement de Patrick Frémeaux et ses confrères qui font un véritable travail d’historien en sauvant de l’oubli ces musiciens géniaux, trop rapidement oubliés. »Par LE JOURNAL DE MONTREAL
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« Anthologie de prestige » par le Journal de Montréal
Catégories : Article de presse ( Article de presse )« Dans l’Intégrale de Trénet, les années 1952-53 qui couvrent des chansons telles La mer, La Valse des amours passées, Pavane des patronages, Les olivettes, etc. Il y a aussi des lectures, entrevues et témoignages qui contribuent à recréer une atmosphère, le charme d’une époque. De toute évidence, cette anthologie de prestige s’adresse à des nostalgiques d’un Paris et d’une France qui n’existent plus. »Par LE JOURNAL DE MONTREAL
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« Joyous fusion of jazz, soul and African rhythms.” By Sunday Times Culture Maga
Catégories : Article de presse ( Article de presse )« Fashion come and go, but the crowd-pleasing saxophonist Manu Dibango has spent half a century perfecting his joyous fusion of jazz, soul and African rhythms. This infectious little times capsule samples his output from the 1970s and 1980s. If some of the weaker numbers sound like precursors of that blander-than-bland modern-day phenomenon known as smooth jazz, the best bear his unmistakable imprint, fluent born riff blending with seductive vocals. The presence of the Brecker brothers, Michael and Randy, is one selling point, but the real meat is to be found in the collaboration with the Jamaican studio double act Sly and Robbie.”By CD — SUNDAY TIMES CULTURE MAGAZINE
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« l’ambiance de cet album est unique » par Reggae Vibes
Catégories : Article de presse ( Article de presse )“ J’ai tout de suite kiffé Gone Clear premier des deux albums reggae du légendaire saxophoniste camerounais Manu Dibango, qui vient de fêter le 12 décembre 2009 son 76e anniversaire. Sur Gone Clear, enregistré avec Sly & Robbie, quelle drôle d’idée pour le pape de l’afro jazz d’aller fricoter avec des musiciens jamaïcains qui à l’époque n’avaient pas 30 ans et se moquent comme d’une guigne de la musique africaine, lui préférant la soul et le funk de Philly Sound… C’est d’ailleurs cette passion pour la musique américaine qui les rapproche. Manu n’étant lui non plus pas insensible aux accents funky, comme en témoignent de nombreuses compositions au premier rang desquelles le célébrissime « Soul Makossa ». L’alliance d’une technique irréprochable aux sonorités mêlant Afrique et jazz avec des rythmiques reggae aurait pu facilement mal tourner. Pas dans le cas présent : l’ambiance de cet album est unique, respirant une joie et un entrain qu’on retrouve dans peu d’autres disques. Que l [...]
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« Voyage imaginaire » Par Lylo
Catégories : Article de presse ( Article de presse )« Voyage imaginaire, à vent et à cordes, de Django aux Antilles, un sourire complice accroché à sa moustache fine et ondulante, à l’image du swing décontracté de ce fin quartet »Par LYLO
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« La trilogie marseillaise » par Lire
Catégories : Article de presse ( Article de presse )« Fanny et César, qui forment avec Marius la trilogie dite « marseillaise », peuvent être lus comme le récit des étapes du châtiment de Marius qui doit payer pour ses rêves d’exotisme et pour avoir fui celle qu’il aime. Il s’en faut cependant que Pagnol ait eu, dès le début, le projet de composer un tel ensemble. Lorsqu’il a écrit Marius, Pagnol avait en tête une pièce qui se suffisait à elle-même et, malgré le succès, il était réticent à l’idée même d’écrire une suite : « Un auteur qui écrit une suite risque de donner l’impression qu’il est à bout de souffle, qu’il tire sur une même ficelle d’imagination » lui aurait déclaré le directeur du Figaro, Pierre Brisson. Ayant surmonté ses réticences, il sut montrer qu’il ne manquait pas d’imagination pour tirer parti avec bonheur d’un fil dramatique assez solide pour porter l’intrigue d’une suite qui se maintienne au niveau de son commencement. Dans Fanny (crée le 5 décembre 1931), Marius, omniprésent dans les conversations des autres [...]
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« Jetez-vous dessus pendant qu’il en reste… » par Actualité Juive
Catégories : Article de presse ( Article de presse )« Autrement dit, voilà une bonne occasion de rattraper ses erreurs, si erreurs il y a eu, et puis, zut, il n’y a jamais un bienfait de trop, plutôt deux fois qu’une. Ces pièces sont d’une fraîcheur telle qu’on les dirait écrites de la veille. Ne nous y trompons pas, ces compositions s’échelonnent tout au long de la carrière de Darius Milhaud, qui fut, on le sait, fort longue (environ cinq cent numéros d’opus…)Partagé entre les Etats-Unis, où par bonheur il trouvera refuge, ainsi qu’une formidable extension de sa carrière alors qu’on s’entretuait dans notre continent – de même qu’en Amérique du Sud où il glana des « Scaramouche », « L’Homme et son Désir » et autres précieuse merveilles, en sa qualité de diplomate de profession – ce cycle incroyable d’inventions musicales menées en compagnie de sa cousine devenue son épouse à laquelle il demeurera attaché à sa vie durant… Et qui vient de disparaître à son tour largement centenaire après avoir laissé un livre de souvenir, cependant q [...]
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« Elle a collectionné les tubes aux accents soul » Par Le Quotidien du médecin
Catégories : Article de presse ( Article de presse )« Un penchant swing. Nicole Croisille a toujours partagé sa carrière entre une chanson française de grande qualité et ses penchants pour le jazz et le swing. Après avoir débuté à Broadway, c’est par le biais des standards anglo-saxons que la chanteuse se fait connaître en France dans les années 1960. Mais la consécration et la renommée mondiale viendront avec le fameux « Chabadabada » du film « Un homme et une femme » de Claude Lelouch (1966). Ce qui ne l’empêche pas de se produire et d’enregistrement avec l’élite du jazz français à l’image de Jean-Luc Ponty, Michel Portal et Bernard Lubat. En 1987, alors qu’elle a collectionné les tubes aux accents soul – « Parlez moi de lui », « Téléphone moi »… -, elle grave « Jazzille » (Frémeaux & Associés), qui vient d’être réédité. Accompagnée d’une rythmique de pointure du jazz hexagonal — André Ceccareli (batterie), Jean-Marc Jafet (basse), Thierry Elliez (orgue), Paco Sery (percussions)- et d’invité de marque — Toots Thielemans (harmoni [...]