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  • « Impossible de quitter ces enregistrements » par Lire
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    «  La première rencontre de Robert Arnaut avec l’Afrique date, comme il le raconte dans son introduction, de 1958. Les pays africains, avaient, lors d’un colloque qui se tenait à Yuaoundé, demandé aux pays riches de les aider à faire la collecte de leurs traditions orales. On pensa à tort que ce travail ne prendrait que quelques mois voire quelques années. Il y aura fallu des siècles. « Médecins et guérisseurs », « Religions et croyances », « La vie quotidienne » sont les trois volets qui composent cette sélection d’archives sonores. Cela commence par une visite à un guérisseur.  On est sur les bords du fleuve Niger où se trouve sa cabane, plantée au ras même de l’eau. Bocaux de racine ou de feuilles séchées entourent un vieillard édenté, la pipe aux lèvres, assis dans la pénombre. A la demande de guérison qui lui est faite, il répond par la consultation d’un fétiche qui lui indique quel arbre choisir… Impossible de quitter ces enregistrements. On est pris au piège d’un monde fasc [...]

  • « Cette interprétation est éblouissante. » Par Lire
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    « Edmond Rostant connut la gloire en 1897 avec Cyrano de Bergerac et entra à l’Académie française en 1900 avec l’Aiglon. Lorsque Sarah Bernhardt créa le rôle, la salle la rappela plus de trente fois et, le lendemain, on put lire dans la presse : « Oh, l’inoubliable date dans l’histoire de l’art français… » Il faudra attendre Pierre Vaneck en 1962, au Théâtre du Châtelet, pour retrouver pareil succès. « C’est la meilleure interprétation de tous les temps », déclara la critique unanime. Aussi devons-nous être reconnaissants à son ami Moshé-Naïm de nous l’avoir conservée en réunissant à nouveau les acteurs pour l’enregistrement en studio. Cette interprétation est éblouissante. Avoir demandé à Maurice Clavel de présenter et de commenter la pièce était, après celle de la création sonore, la deuxième belle idée. Sa voix profonde, que précède une introduction mouvementée de Beethoven, constitue un somptueux lever de rideau. »Par J.S.  — LIRE

  • De l'amour fou au fol amour Par Tango Reporter (Usa)
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    « Siempre se puede decir algo nuevi sobre el amor, por lo mejor de ello se halla en las letras de las canciones romanticas que al amor le cantan. Basta escuchar este album doble conteniendo 36 canciones de amor para comprobarlo. Los mejores intérpretes franceses del dénero estan representados aqui en una selccion de primera. Abre la coleccion la calida voz de Lucienne Boyer con Parlez-moi d’amour, cancion que le valio recibir ek Primer Premio del Disco en 1930, a la que le siguen, entre otros, La Romance de Paris por Chakes Trénet, C’est suffisant pour the amants por Jean Sorbier, J’attendrai por Rian Ketty, Bohémienne aux yeux noirs por Tino Rossi, Mon amant de Saint –Jean por Lucienne Delyle, La petite tinkinoise por Joséphien Baker et faite pur l’homme por Arletty, Vous qui passez sans me voir por Jean Sablon, C’est moi le mari por jean Gabin, Attente por Fernandel, La vie en rose por Edith Piaf, y cerrando la coleccion Allez donc faire ça plus loin por Ray Ventura. Resumiendo, [...]

  • « Le soleil a rendez-vous avec la lune » Par Tango Reporter USA
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    « El sol, la luna y las estre llas, misteriosos vecinos de nuestro planeta que parcen tan cerca, cuando no tan lejcs de nosotros, han inspirado a poetas, escritores, pintores, musicos y artistas en general. Basandose en este concepto este album doble contienen 38 canciones francesas inspiradas, o que incluyen en sus letras, a los mencionados del firmamento celeste. Tomando el album el titulo de un verso sacado de la popular cancion de Charles Trenet Le soleil et la lune, aqui incluida, se destacan en el Brillantes interpretaciones de Yves Montand (Du  soleil  plein la tête). Jacqueline François (Au soleil de mai, Pluie d’étoiles), Eddie Constantine (Bientôt le soleil), Lucienne Delyle ( Le soleil a sauté dans ma chambre), Patachou ( Avec ce soleil), Leo Marjane (La Chapelle au clair de lune), Jean Sablon ( Mon village au clair de lune), Lucienne Boyer (L’hôtel du clair de line), Tino Rossi ( Une étoile d’amour, Tant qu’il y aura des étoiles), George Guetary (Comme une étoile), Dan [...]

  • « Album-anniversaire » Par So Jazz
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    « De tout temps, les jazzmen ont ressenti des affinités avec les compositeurs polonais. Récemment le Français Serge Forté a rendu une copie intéressante, quoique un peu sage, de pièces chopinesques jazziflées (Jazzin’ Chopin). Nina Simone, sans doute la plus grande admiratrice de Chopin dans l’histoire de la musique afro-américaine, commençait rarement un concert sans l’évoquer. Jusqu'à un Art Tatum, qu’on a pu entendre, sur un enregistrement crapoteux, s’attaquer à une vitesse supersonique à sa « Valse en do mineur, Op.64 No 2 «  (Tatum jouait aussi Dvorak à ses heures perdues). Rien de tout ça dans cet album-anniversaire qui se concentre sur quelques enregistrements historiques allant de 1885 à 1947, où le meilleur alterne avec le kitschisime. On peut apprécier l’orchestre de John Kirby dans un genre proche de Raymond Scott, quoique moins inventif. Le disque vaut surtout pour la « Valse No 2 en do mineur » de la pianiste Hazel Scott, qui parvient à faire swinguer le mélancolique [...]

  • « Un bel objet d’érudition et de curiosité » Par Classica
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    « Voici un bel objet d’érudition et de curiosité illustrant les rapports de Frédéric Chopin avec le Jazz et la musique de genre. De la Valse du Petit Chien provenant d’une boîte à musique Stella en 1885 à une Polonaise interprétée en fox-trot au piano par Carment Carvallaro et son orchestre en 1947, l’empreinte du grand Polonais se révèle d’une grande diversité : jazz des plus classiques avec la formidable petite formation de John Kirby, Chopinata, sorte de piano stride par Clément Doucet, l’Etude en mi mineur avec refrain chanté, une série d’œuvre orchestrées par Bronnislav Kasper, avec baryton et soprano, ou par le grand orchestre (sous-estimé) d’André Kostelanetz, la 3e Etude chantée par Ninon Vallin. On a plaisir à y retrouver aussi Hazel Scott interprétant la Valse en do dièse mineur, exemple précoce et méconnu de détournement jazz de pièces classiques. Un album qui ravira les curieux et les fidèles de Pierre-Marcel Ondher. »Par Jean-Pierre Jackson - CLASSICA

  • « Idéal pour quincher en amoureux ou au bord de la Seine. »
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    « Chaque jeudi du mois, les amateurs (ou professionnels) du ukulélé se donnent rendez-vous au bar Le Colimaçon, au 107 rue de Ménilmontant, à Paris. Pas besoin d’être tahitien pour venir partager son amour du petit instrument. Il suffit d’en jouer, bien ou pas bien, pour se pointer. A l’origine de cet engouement, il y a Cyril Lefebvre, membre fondateur avec Dominique Cravic, Joseph Racaille et Tony Truant du merveilleux Ukulélé Club de Paris. En 2002, Manuia paraissait chez Universal Jazz. Objet difficile à « marketer » chez une major, il reparaît aujourd’hui chez Frémeaux pour une deuxième vie bien méritée. Si vous êtes las des petites ritournelles tristounettes des hérauts de la chanson française actuelle, ce disque est pour vous. Le collectif sait partager son gai savoir -  du blues au bollywood en passant par la javanaise – à coup de cordes tintinnabulantes. Idéal pour quincher en amoureux ou au bord de la Seine. »Par P.J.C. SO JAZZ

  • « Compilation très spécialisée » Par Soulbag
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    « Compilation très spécialisée puisque concentrée sur le banjo à cinq cordes et de fait limitée dans le panorama possible. On entend plusieurs musiciens anglais, fabricant souvent leurs propres instruments, et des artistes blancs américains relevant de la variété ou de la country. Peu d’artistes afro-américains, le jazz ayant plutôt utilisé le banjo à quatre cordes. Il y a de belles choses mais le son rude de l’instrument, la qualité variable des enregistrements et le peu de notes bleues réserveront de double CD aux spécialistes. »Christophe Mourot — SOULBAG

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