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  • « Les allumés du Jazz » par Jazz Magazine
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    On ne sort pas forcément indemne de l’écoute d’un tel travail de fond L’enregistrement réalisé « live en studio » trace un sillon d’exigence dans l’attention, la disponibilité nécessaires Corneloup dans ses partitions, ses directions, ses échappées volontaires, ouvre les vannes à une musique bien imbibée de peaux et métaux soufflés ou frappés. Séquences qui se suivent et ne se ressemblent pas, disposition en motifs géométriques serrés puis minimalistes, histoire de laisser à ces figures (libres plus qu’imposées) le temps de s’imprimer.Robert LATXAGUE - JAZZ MAGAZINE

  • Le choix du disquaire Fnac par Blah Blah
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    Du sextet de Texier au duo Kassap et autres multiples rencontres, Corneloup signe son deuxième opus, en trio. La batterie élague l’espace pour propulser les envolées irréductibles de Corneloup, sur un terrain vierge, inlassablement tourmenté par la basse complice de Tchamichian.Un jardin balayé par une brise incontrôlable, où nos trois défricheurs tracent leurs sillons au gré des intempéries. Un paysage peuplé de cailloux et de sable fin. Les huit compositions sont signées par Corneloup. L’inépuisable gaillard à l’allure de lutteur improvise les reliefs, et laisse jaillir les altérations avec entrain. Un disque que l’on écoute d’une traite, fasciné par sa nature débordante. Un acte de pure générosité…BLAH BLAH

  • « Pourquoi avoir attendu cinq ans avant de publier ce petit chef d’œuvre ? » pa
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    « Pourquoi avoir attendu cinq ans avant de publier ce petit chef d’œuvre ? »  par Jazz HotFrançois Corneloup est certainement l’un des plus brillants saxophonistes baryton d’aujourd’hui, capable aussi bien d’en jouer d’un phrasé fluide, doux ou rugueux, ou de s’en servir comme instrument rythmique : il utilise toutes les possibilités du baryton avec un lyrisme et un feeling réjouissant.Tcamitchian est une basse profonde, qui sait faire oublier l’absence de piano, qui à la fois colle le trio à terre  et l’envoi au ciel. Échampard, magnifique d’aisance et d’invention, tricote des entrelacs rythmiques qui font de ce trio un orchestre parfait où les énergies ce décuplent dans la beauté des sons.Tous les morceaux, d’une grande originalité et signé Corneloup, sont à citer. Écoutons « Intouchables » qui débutent par une sorte d’unisson basse/baryton, puis c’est le baryton qui assure la pompe tandis que la basse développer la mélodie à l’archet. Les deux sons se confondent : impressionnan [...]

  • « Dialogue avec les métaux et les peaux effleurés » par Le Monde de la Musique
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    Un saxophone baryton (François Corneloup) d’une belle graisse sonore, qui sait se faire léger, duveteux, fluide lorsque, en ouverture de la maison dort, il dialogue avec les métaux et les peaux effleurés d’Eric Echampard, mais dont la masse est dotée d’une énorme capacité d’entraînement quand, aux faux ostinatos qu’il déroule en ligne de fuite, se joignent les deux autres mélodiques du quartette : tromboniste Yves Robert et le guitariste marc Ducret. Quatuor, serait-on plutôt tenté de dire, tant la répartition des responsabilités s’écarte de la traditionnelle fonctionnalité du jazz quartet. Par les modes de jeu et les combinaisons qu’elles multiplient, par les déclinaisons de l’articulation collectivité-insividu qu’elle proposent, les compositions de Corneloup soudent une passionnante complicité dont les structures socialisantes se font et se défont sans jamais laisser se figer les rôles au sien de cette camaraderie en marche sur des chemins escarpés. Le lyrisme généreux de ces or [...]

  • « Corneloup c’est forgé un son reconnaissable entre tous. » par Jazz Around
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    Alter ego de Kassap dan un duo très soudé, membre du quartet Opéra de Marais, du Grand Lousadzak de Tchamitchian comme du septet Mad Nomad de Texier, mais aussi invité régulier des Zhivaros et de la Compagnie Lubat, Voilà déjà longtemps que Corneloup occupe le devant de la scène française. Malgré cela, voici seulement que paraît son premier album personnel, tout entier consacré à neuf composition originales, S’il est déjà très convaincant au soprano pour sa tonalité ample et fougueuse, C’est au baryton que s’exprime le mieux sa forte personnalité. Sur ce mastodonte, Corneloup c’est forgé un son reconnaissable entre tous, grâce à une attaque franche et vigoureuse qui recourt souvent a la technique du slapping. Avec Tcamitcian, contrebassiste découvert par André Jaume, et Échamprd, le batteur du Système Friche de Jacques Di Donato, il forme un véritable trio un véritable au sein duquel les rôle s’inter changent avec un contrebassiste très présent à l’archet, et où les climats se suc [...]

  • « Orchestre national de Jazz » par Jazz Notes
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    Superbe CD de l’O.N.J sous la direction de Didier Levallet qui avait été salué d’une façon unanime par la presse Il faut bien dire que l’ensemble se surpasse pour créer un univers toujours changeant, tout en étant d’une cohérence subtile et onctueuse. Plus une Jeanne Lee qui vient donner l’éclat au débat. Il n’est pas trop tard pour l’apprécier.JAZZ NOTES

  • « Un des plus beaux adieux que pouvait nous dire cet ONJ. » par Jazz Magazine
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    Plus qu’un testament, c’est un approfondissement que Didier Levallet nous livre pour son dernier enregistrement en tant que directeur musical de l’orchestre national de jazz. On y retrouve en effet ce qui avait fait la qualité et l’originalité des deux premiers cd signé avec cet orchestre : l’évocation de la tradition des big band qui permet de s’en évader, une pâte sonore mobile et subtile, une dynamique rythmique en cohérent mouvement de nébuleuse. Souvent les pièces sont amorcées par un ou plusieurs instruments de la rythmique, non pour assoir ou fixer, mais pour lancer l’évolution d’ensemble. Les mélodies sont rarement énoncées d’un seul tenant mais émergent des appels et répons, des tuilés, des jonctions entre lignes jouées par des section qui ne sont pas toujours instrumentalement homogènes et le sentiment de mouvement est, bien sûr, accentué par la complémentarité des deux batteries. Le sens des couleurs donne un son très personnel à cette dense polyphonie : la gageur tenue [...]

  • « Vivre comme cet orchestre joue » par Libération
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    "Mai 1998:l’ O.N.J, en tournée, débarque à Kiève pour deux concerts à l’Académie de Musique. Rien ne peut rendre compte de ce que nous avons ressenti là, à la rencontre d’un public neuf, donc sans préjugés, et disponible. Rien sauf peut être la parole d’un homme, anonyme dans la salle, s’écriant entre deux morceaux : « nous voulons vivre comme cet orchestre joue ». Une parole comme celle-ci peut suffire à contenter ne vie de musiciens. » Ainsi Didier Lavallet pressente-t-il Deep feelings, ultime CD enregistré par l’Orchestre National de Jazz (aux destinées duquel il préside pour la troisième et dernière saison, comme le veut l’usage maison) et dédié à ce thuriféraire ukrainien par ailleurs immortalisé l’espace de 6,01 minutes sous l’intitulé l’homme de Kiev (solistes : Sophia Domancich au piano, Phil Abraham au piano au trombone). Le mélomane inconnu a bien de la chance, qui bénéficie là de la dédicace du disque le plus abouti d’une formation qui a décidément accompli un sacré bou [...]

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