-
« Dynamique, coloré et délicieux » par Le Soleil (Montréal)
Catégories : Article de presse ( Article de presse )"Et swingue la tortue rose ! Sept musiciens français issus d’un groupe éphémère des années 60 et qui avaient repris du service en 2008 remettent ça avec un album de la même monture que leur premier disque, il y a deux ans. Comme la formule de puiser dans la pop et le rock des années 70 et 80 fait fureur, pourquoi s’en passer ? Les revoici donc avec des relectures de titres comme Maniac, Roxanne, (I can’t Get No) Satifaction - avec un rythme latin et quelques couplets en espagnol ! -, We Will Rock You, Billie Jean et Hey Jude des Beatles, entre autres. Swing et jazz remplacent audacieusement les arrangements d’origine, avec des solos éblouissants. Parmi les sept musiciens, Patrick Bacqueville et Christophe Davot assurent la partie vocale avec un savoureux accent qui ajoute à la french touch qu’ils cultivent avec ce qu’on pourrait appeler le son Pink Turtle. Un disque sympathique, dynamique, coloré et délicieux."par Michel TRUCHON (collaboration spéciale) - LE SOLEIL (MONTREAL)
-
« Que de grands standards... » par Le Journal de Montréal
Catégories : Article de presse ( Article de presse )"Un ensemble néo-swing, jazz et lounge qui excelle dans le pastiche ; combo élargi et cuivré qui fait dans l’humour et la reprise, avec un goût certain. Que de grands standards, tels que Money, Satisfaction, Roxanne, Black Magic Woman, Billy Jean, Nights in white Satin, Hey Jude, etc., revisités, détournés et retournés sauce salsa, mambo et cool jazz, de manière très intelligente et efficace. Sans dénaturer la version originale et froisser les créateurs. Compétent et amusant. Pour les fans de The Lost Fingers."par le JOURNAL DE MONTREAL
-
« On ne peut faire autrement que d’en croire ses oreilles… » par Le Républicain
Catégories : Article de presse ( Article de presse )"Satisfaction : tout est dans tous et réciproquement, ce pourrait être la devise des Pink Turtle. Ce septet d’impeccables musicos est capable de transformer n’importe quel tube pop en, au choix, salsa, bossa, swing ou new orleans. Ainsi leur Satisfaction, de Jagger et Richards bien sûr, qu’on croirait joué par un orchestre de mariachis ! Il faut écouter, aussi, André Minvielle scatter en occitan sur Sir Duke de Steve Wonder. On ne peut faire autrement que d’en croire ses oreilles…"par LE REPUBLICAIN LORRAIN
-
« Après le succès de leur premier album » par Le Quotidien du médecin
Catégories : Article de presse ( Article de presse )"Peut-on tout swinguer ? Assurément. Après Moustache, qui avait repris du Brassens ou Jacques Loussier et J.S. Bach, revoici le groupe Pink Turtle, qui réinvente la pop et le rock swing. Après le succès de leur premier album voici deux ans, les sept mercenaires, conduits par le tromboniste et chanteur Patrick Bacqueville, récidivent avec un nouveau CD, «Back Again» (Frémeaux et Associés). Recette identique : reprendre des tubes du rock («(I can’t get no ) Satisfaction», «We Will Rock You»), de la pop («Nights in white satin», «Hey Jude»), de la soul («Billie Jean»), voire du disco («Born To Be Alive», «Money, Money, Money»), et les réinterpréter avec des harmonies et le swing du jazz. Le tout augmenté de quelques invités comme Didier Lockwood, Jean-Jacques Milteau et André Minvielle. Résultat garanti : du divertissement à l’état pur, si typiquement français. [...]"par Didier PENNEQUIN - LE QUOTIDIEN DU MEDECIN
-
Le jazz de la côte Ouest par la Quotidien du Médecin
Catégories : Article de presse ( Article de presse )[...] Le jazz de la côte Ouest était, lui, typiquement californien. « Jazz West Coast-From Hollywood To Los Angeles (1950-1958) » (Frémeaux et Associés) est un double CD qui montre à quel point cette forme de jazz, essentiellement blanche, née au début des années 1950 en Californie, a marqué l’histoire de la musique afro-américaine. Sous la direction d’un spécialiste du genre, Alain Tercinet, sont ici réunis les principaux acteurs - Stan Kenton, Shorty Rogers, Gerry Mulligan, Art Pepper, Chet Baker, Jimmy Giuffre, Lennie Niehaus (compositeur et arrangeur des bandes sons des films de Clint Eastwood), Barney Kessel, Bud Shank, Shelly Manne et tant d’autres – qui ont fait la spécificité et la particularité d’un style qui a, depuis, gagné en légitimité et sa place dans le jazz contemporain. Didier PENNEQUIN - LE QUOTIDIEN DU MEDECIN
-
« Bravo ! » Par Revue des Médiathèques et des Collections Musicales
Catégories : Article de presse ( Article de presse )« Lu par Ariane Ascaride et Rolland Giraud. Le principe des correspondances aura été un magnifique artifice d’écriture, permettant une expression contrastée et sur le ton de l’intime et de la sincérité. Les Lettres de mon moulin peignent une terre luxuriante et chantante, objet de passion pour les poètes. Et un tableau de société. Daudet réalise bien plus qu’une comédie provençale, une comédie humaine. La lecture de Rolland Giraud et Ariane Ascaride donne à voir une prose profonde et stylistique. Bravo ! »Par Jeanne-Marie Belledejour — REVUE DES MEDIATHEQUES ET DES COLLECTIONS MUSICALES
-
« Un document intéressant » Par Revue des Médiathèques et des Collections Musica
Catégories : Article de presse ( Article de presse )« Table ronde autour d’Albert Camus, avec Jean Daniel, Michel Onfray, Bernard-Henri Lévy. Organisé par Le Monde et la Fnac, cette réunion de philosophes, écrivains et éditorialistes autour de Camus, dont la pensée est si souvent résumée pour souffrir de détournements ou de simplifications, permet d’élargir le débat et de questionner enfin son œuvre. La table ronde permet non seulement d’approfondir les connaissances sur son œuvre littéraire, mais aussi de mieux connaître l’homme. Un document intéressant. 2CDs et un livret de 12 pages. »Par Pierre Denuis — REVUE DES MEDIATHEQUES ET DES COLLECTIONS MUSICALES
-
« Un pont dans le temps » Par Revue des Médiathèques et des Collections Musicale
Catégories : Article de presse ( Article de presse )« Pour le bicentenaire de la naissance de Chopin, il a été concocté par Frémeaux & Associés une petite compilation de morceaux réorchestrés entre 1904 et 1947 où l’on constate avec plaisir que la musique du grand romantique sert aussi la cause du jazz primitif, du swing. Jusqu’à la comédie musicale. Un pont dans le temps qui montre encore une fois ce que les classiques peuvent avoir de moderne. Intéressant ! »Par Lucas Falchero — REVUE DES MEDIATHEQUES ET DES COLLECTIONS MUSICALES