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  • « Le Magicien » par CMTRA
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    De l’argentine à la France, Raul Barboza s’est construit un genre musical rempli de mélanges. Né d’un père Guarani, il s’inspire de sa culture villageoise en la fusionnant avec le tango ce qui donne un mélange séduisant. Il est le maître incontournable du chamané, chant d’exil, résultat de l’amour et de la mixité des cultures (garanis, espagnoles, italiennes). Cette musique est composée de rythmes binaires et ternaires qui se mélangent de façon sensuelle. A sept ans, ce musicien fusionne déjà avec son premier accordéon diatonique qui deviendra par la suite sa seconde peau. Il est surnommé dès son plus jeune âge « Raulito el mago » : petit Raul, le magicien. Ce musicien aborde l’accordéon comme le prolongement de son esprit, ce qui lui permet d’établir une réelle communication avec le public. S’inspirant des chants des oiseaux, le galop des animaux, le souffle du vent, le clapotis de la pluie, son accordéon est comparable à l’écho de la nature. La noblesse de sa présence scénique, [...]

  • « Renversant » par Jazz Magazine
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    […] Ce cinquième [coffret] commence par le renversant duo avec Hearl Hines Weather Bird oublié dans le précédent volume. On y trouve encore ces merveilleux Savoy Ballroom Five de Chicago qui accouchèrent de Tight Like This et qui assurent la transition entre les Hot Five et la suite. Un premier essai plutôt réussi avec des membres de l’orchestre de Luis Russel porté par le merveilleux ressac du tandem Pops Foster-Paul Barbarin sur I Can’t Give You et Mahogany Hall Stomp, rejoint par son quasi disciple, le tromboniste J.C. Higginbotham et la guitare hors norme de Lonnie Johnson. Le même jour, on assiste à la rencontre avec un autre tromboniste qui comptera, Jack Teagarden (Knockin’ a Jug). Armstrong enregistre encore quelques faces avec l’équipe chicagoane de Carroll Dickerson, mais à partir de décembre 1929, il confie son accompagnement à la baguette de Luis Russel et à son équipe new-yorkaise, puis au Mills Blue Rhythm Band. L’âge d’argent succède à l’âge d’or. L’époque incite au [...]

  • « Le succès est au rendez-vous » par Le Cri du Coyote
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    Eh oui, vol 5 : Jean Buzelin poursuit tranquillement sa route vers l’intégrale. Ces deux CD concernent les années marquées par le changement de label (1955) et le réenregistrement sur 33 tours. Rosetta, près de vingt ans après ses débuts, c’est toujours du « deux pour le prix d’une » : une chanteuse de gospel s’accompagnant en guitariste de blues. Bien sûr, les années ont passé, le succès est au rendez-vous, elle est partout accompagnée (Marie Knight, la complice de toujours, le Leroy Kirkland Orchestra, les Harmonizing Four of Richmond) et la modernité touche peu à peu ses prestations : traits de saxo ou de trompette pour souligner une phrase. Pas besoin d’être une grenouille de bénitier pour comprendre les transes où entrent parfois les communautés noires chrétiennes en l’entendant chanter Everytime I Feel The Spririt, par exemple. On retrouve (avec plaisir !) quelques standards (When The Saints Go Marchin In, When They Ring The Golden Bells ou Mary Don’t You Weep, I’ll Fly Away [...]

  • « Pink Turtle » par Stéphane Koechlin
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    Ce groupe est un vrai juke-box, capable de nous servir, avec bonne humeur, de la pop, dans une forme jazz, de Paul Simon à AC/DC, les Bee Gees… Sept musiciens talentueux pour une vraie fête. Musiciens : Patrick Bacqueville, chant, trombone; Michel Bonnet, trompette, choeurs; Pierre-Louis Cas, saxophone, clarinette, flûte, choeurs; Christophe Davot, chant, trombone; Jean-Marc Montaut, piano, percussions; Stéphane Roger, batterie, chant; Laurent Vanhee, contrebasse. Stéphane KOECHLIN - LE FIGAROSCOPE

  • « Intégrale Louis Armstrong, vol.5, 1928-1931 » par Lylo
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    Ces enregistrements montrent qu’Armstrong, s’il n’a pas inventé le jazz, l’a porté en spirales étourdissantes à un niveau tel que ses contemporains, en jouant cette musique, devaient tenter de s’y hisser. LYLO

  • « Son et livret sont impeccables » par Le Cri du Coyote
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    J’avoue avoir oublié son existence depuis un bon moment et ce double CD rétrospectif est une bonne occasion de rafraîchir ma mémoire, car Dinah, surnommée la « Reine du Blues », est considérée comme la plus grande chanteuse de Jazz à chanter le blues. Ce serait Lionel Hampton, qui l’engagea comme chanteuse en 1942, qui lui aurait suggéré de changer de patronyme pour celui de Dinah Washington. C’est donc dans le domaine du jazz qu’elle connaît ses premiers succès. Ce n’est qu’en 1959 qu’elle sera considérée comme la reine du Blues. Mais elle connaîtra aussi un beau succès dans le domaine de la variété jazzy, ce qu’illustre bien la compilation : il faut, par exemple, savoir qu’il s’agit bien de Am I Blue ou Weeping Willow si on est familier avec les versions qu’en firent Eddie Cochran et Gene Vincent. Côté Rockin’ Blues/Rockin’R’n’B lent ou medium, l’amateur trouvera quand même de quoi satisfaire ses oreilles avec une bonne moitié des 42 titres relevant de ces styles. On retiendra I [...]

  • « Pépites sonores à déguster! » par L’Alsace
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    Lorsqu’il donne le fameux Soul Makossa, Manu Dibango a 40 ans et sa carrière s’envole vers les cimes des charts. Ce tube vient concrétiser les expériences élaborées dans les années 60 par le fils de Douala. Avec African Woodoo, qui compile 17 titres inédits enregistrés dans des séances à Paris en 1971 et à New York en 1975, on dispose d’un intéressant témoignage sur le travail de ce jazz-man de formation, curieux de toutes les musiques et converti à ce que l’on nommera le « rare groove », un son afro funk, relevé d’un brin de « clave » latine. Pépites sonores à déguster! L’ALSACE

  • A revolutionary blend of Africa and psychedelic funk by The Times
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    "These 17 tracks were recorded in the first half of the 1970s, when the Cameroonian saxophonist was hoping to score money by providing music for adverts, films and television. Although the perfectly titled Groovy Flute was used to sell chicken, the progressive jazz-rock of Du Bush, A Bush was unlikely to shift much soap powder: Dibango was too far ahead of the game. Just as his 1960s recordings were a revolutionary blend of Africa and psychedelic funk, he was now pre-empting the disco explosion by five years and the trippy electro of Air et al by 25. And all the while remaining rooted true to the nightclub maxim that if you don't get people dancing, you don't get paid." by DAVID HUTCHEON - THE TIMES

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