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C’est un vrai plaisir de les entendre par l'ADEM
Catégories : Article de presse ( Article de presse )"Ce disque, réalisé par un professeur de musique et sa classe, reprend certaines chansons de Claude Bolling réappropriées par les enfants, avec le solide accompagnement du trio Claude Bolling! Il y a même "Au clair de la lune", "Frère Jacques" et "Fais dodo", arrangées par Claude Bolling, et qui sont très plaisantes à écouter.C’est frais, bien chanté, avec une excellente articulation, les chansons sont intéressantes et les enfants adhèrent avec enthousiasme. C’est un vrai plaisir de les entendre.Le livret reprend les textes des chansons, avec quelques partitions.Un superbe travail !"par l'ADEM (Association pour le Développement de l'Eveil Musical)
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Le chant extatique de vingt-trois mois de passion par l'Evenement du Jeudi
Catégories : Article de presse ( Article de presse )"André Velter, à la forge de son chant, prolonge la note d'un amour de haut lignage, tisse le chant extatique de vingt-trois mois de passion... Une voix d'élégie calcinée, à l'acmé de la douleur."par PATRICE DELBOURG - L'EVENEMENT DU JEUDI
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C'est le cri d'amour d'un homme qui croit encore à la parole par Le Monde
Catégories : Article de presse ( Article de presse )"C'est un tombeau, bien sûr, ce recueil qui rassemble poèmes en prose et en vers, trois élégies et une magnifique "Litanie de toi". C'est un livre de neige, mais jamais de grisaille, un souvenir d'altitude, poésie, insouciance, goût du risque, étreinte à se briser les os, coeur à coeur. C'est le cri d'amour d'un homme qui croit encore à la parole : non pas pour dire la mort, pour l'accepter, pour l'aimer en s'en désolant, mais pour la combattre."par JOSYANE SAVIGNEAU - LE MONDE
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L'invisible syntaxe d'une présence rayonnante par Le Mensuel littéraire et poéti
Catégories : Article de presse ( Article de presse )"En quelques mots, André Velter sait agencer l'invisible syntaxe d'une présence rayonnante, et chaque texte est comme le précipité d'instants de haute intensité déclinant en images de douleur et de beauté la violence enchanteresse d'un amour s'affermissant encore de ce qui le ruine. Écriture dont l'essentielle nudité accueille l'écho d'un souffle originel, recueille la ferveur présente et passée ainsi que toutes les brûlures d'une mémoire en feu."par RICHARD BLIN - LE MENSUEL LITTERAIRE ET POETIQUE
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Grand voyageur, il a passé la moitié de sa vie au Tibet et en Afghanistan Le Nou
Catégories : Article de presse ( Article de presse )"Grand voyageur, il a passé la moitié de sa vie au Tibet et en Afghanistan. Sa poésie en a gardé les couleurs de l'ailleurs : qu'il invente des "phrases-embarcadères, des noms aimantés, des chansons qui d¹avance larguent nos amarres", ou que, tenté par d'anciens rythmes, il mêle sa voix à celle des troubadours, toujours André Velter tente l'ascension du mont Amour."par DIDIER JACOB - LE NOUVEL OBSERVATEUR
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Poésie lyrique et généreuse, fine et passionnée par Le Nouvel Observateur
Catégories : Article de presse ( Article de presse )""Tu es venue et je me suis voué à cette venue..." Honneur à elle, amour pour elle : voici les poèmes qu'a écrits André Velter, lui-même grand montagnard, pour l'alpiniste Chantal Mauduit, emportée par une avalanche en 1998. Il fallait à cette poésie lyrique et généreuse, fine et passionnée, un grand souffle sonore; Duchâble le donne, sur un étrange piano Pleyel de 1937, clair et peu enclin aux épanchements. Toujours sur le fil, ce disque parvient à tisser la difficile toile de l'amour et de la musique : "Ce qui est après ce qui n'est plus..." (Frémeaux)par JACQUES DRILLON - LE NOUVEL OBSERVATEUR
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De la très grande poésie amoureuse de langue française par Serge Bourjéa
Catégories : Article de presse ( Article de presse )"Dire seulement : il y a là trois poèmes immenses, extrêmes, d'une élévation d'âme exceptionnelle, qui participent de la très grande poésie amoureuse de langue française, j'évoquais Eluard, on devrait penser à Aragon, sous d'autres formes peut-être. Tombeau, mais fête funèbre, mystique et magique, de l'amour à mort, de l'Amour majuscule qu'il faudrait lier à ce que Derrida appelle lavielamort, en un seul et impensable (impossible) mot. Le septième sommet (1998) ; LAmour extrême (2000); et Une autre Altitude (2001) composent ce retable profane, qui est aussi un chant élégiaque, extatique, un véritable hymne à l'amour humain. Oserais-je dire que j'ai lu dans ces livres quelque chose comme une invitation à reparcourir le mythe d'Orphée, jusqu'à me persuader que ce n'est pas dans le royaume des ombres que l'on peut retrouver Eurydice, mais sur des sommets de neiges éternelles, inondés de clartés ? Orphée s'élève par son chant et non sombre aux enfers; alors Orphée peut se retourner : [...]
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Ms. Orbeck Ortega's writing talents are represented as well by All About Jazz
Catégories : Article de presse ( Article de presse )"You know you're talking about a jazz musician when the artist in question has played and recorded with Elvis, Streisand, Sinatra, Lalo Schifrin, the Lighthouse All-Stars, Quincy Jones, Gerald Wilson, Clifford Brown, Maynard Ferguson, Lionel Hampton, Paul Bley, Dinah Washington and Frank Zappa, to name a few, while still finding time to record soundtracks, release highly regarded and collectible sessions as leader, experience a resurgent wave of acclaim in Europe and despite it all remain virtually unknown in the US. (...)After debuting on Central Avenue at 16, Ortega soon found his way into Lionel Hampton's band. On a tour of Norway, Ortega met and married pianist and composer Mona Orbeck. During a late '50s-early '60s stay in New York he recorded My Fair Lady Loves Jazz, A Man and His Horn, Jazz For Young Moderns, Earth Dance and New Dance!, when not working with Maynard Ferguson. A move back to LA saw years of work in film and TV, as well as long stints with Gerald Wilson's [...]