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  • « Le nec plus ultra » par Diapason
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    A l’heure où l’on publie le moindre éternuement de Charlie Parker devant un micro et les prises que les musiciens ne voulaient surtout pas voir publier, cette nouvelle collection, où Alain Gerber pioche le nec plus ultra, dans la discographie des maîtres du jazz, paraîtrait presque surprenante. Armstrong, Basie ou Morton ne se sont jamais déshonorés, même avec le matériel le plus futile. Mais, à défaut d’être battus par d’autres, ils se sont surpassés en maintes occasions. Chaque volume propose 36 coups de cœur, comme autant de chandelles.DIAPASON

  • « Les premiers accords d’Aznavour » par Marianne
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    J’ai reçu par la poste un album illustré portant le titre ronflant d’Histoire de la chanson française. J’y ai cherché un début, quelque chose comme « nos ancêtres les Gaulois… » Pourtant, dès les premières pages, il semblait clair que tout commençait dans les années 60, avec la vague yé-yé. A peine un bref chapitre d’introduction évoquait-il une poignée de précurseurs : Brel, Brassens ou Edith Piaf, quelques statues plantées dans le désert du passé. Quant à Charles Aznavour, il faisait ici figure de « crooner à la française », - comme si la dernière grande figure internationale du music-hall parisien ne pouvait être qu’une déclinaison locale de Dean Martin ou Frank Sinatra ! Autant l’avouer : j’ai bazardé cette anthologie orwellienne pour me pencher, avec davantage de profit, sur le nouveau trésor fourni par l’excellent label Frémeaux et Associés : un double CD intitulé Aznavour et ses premiers interprètes. Ce choix de chansons rassemblées par l’érudit collectionneur André Bernard [...]

  • « Selected logically and with taste » par Jazz Journal International
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    It is inevitable that there should be varied opinions about the choice of 36 Ellington selections from 1926 to 1941 : the compiler himself hints that another complete list of titles could easily have been chosen. In the main the pieces have been selected logically and with taste. Personal predilections must intrude and in this respect it would have been pleasing to have barney’s concerto – the natural complement to Cootie’s Concerto from the same date (1936) included). More serious, however, is the « splitting » of the new Black And Tan Fantasy of 1938. Parts 1 & 2 constitute one of the most masterful of Ellington re-crreations and to omit Part 1 is musical sacrilege (perhaps the compiler Alain Gerber had no say in this strange deletion). In all cases, Frémeaux & Associés must be complimented on the quality of transferts. The musics rings bright and clear ; sometimes a little treble filtering is required but this only emphasises the brightness and sharp quality of frequency spectr [...]

  • « Le siècle d’Ellington » par Télérama
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    L’année Ellington s’achève en même temps que le siècle d’Ellington, puisque le Duke était né en 1899 ? Alain Pailler a sorti, chez Actes Sud, un livre inspiré et plaisamment écrit, Plaisir d’Ellington, où il soutient que les grandes années de l’orchestre sont 1940, 1941 et 1942. Pour le plaisir de se contredire, il choisit dans la compilation qui fait pendant au livre des morceaux élargissant le spectre de 1937 à 1945. Tous mettent aussi en valeur les hommes du Duke, sans lesquels il n’y aurait pas eu l’œuvre ducale : les grands solistes qui donnent, au sein de leurs section, sa couleur à l’orchestre.TÉLÉRAMA

  • « Éternel » par Jazz Notes
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    Trente-six chefs d’œuvres qui se dégustent comme un savoureux breuvage dans un ordre parfait. Tout a été dit sur ce compositeur génial dont le principal instrument était l(orchestre. Pour ceux qui n’ont pas, pour différentes raisons, écouté le Duke, faites l’effort et vous comprendrez pourquoi cet homme est tout à fait unique, proposant par sa musique un monde à part. Éternel. Pochette toujours en français et donnant des précisions savoureuses et judicieuses.JAZZ NOTES

  • « Se sentir vraiment universel » par Jazzman
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    Ellington savait bien qu’il était un grand compositeur, mais il s’est toujours inscrit dans cette tradition populaire des negro minstrels. Il se reconnaissait l’héritier d’une culture douloureusement enracinée dans l’obscurité de la mémoire, et au lieu de s’en plaindre, il se sentait d’autant plus libre. Fier de son origine Africaine, il revendiquait pleinement sa citoyenneté américaine ; fasciné par la culture européenne mais aussi par l’Orient, il a été l’un des premiers musiciens à se sentir vraiment universel. Le mot jazz le gênait aux entournures. Il ne cessait de répéter : « il n’y a que deux catégories de musique, la bonne et la mauvaise ». La bonne, c’était cette maîtresse qui ne l’a jamais déçu, et au soir de sa vie, il lui dédiait ce poème d’adolescent : « Errant dans la jungle cacophonique en quête d’un bruit plus agréable, je vis la vie d’un primitif avec une âme d’enfant et rien n’étanchera ma soif de dièses et de bémols. Je suis presque un ermite, mais dans ma cavern [...]

  • « Au mieux de sa forme » par Le Journal
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    Si vous voulez re(découvrir) Duke au sommet de son art, au milieu des siens, il faut vous procurer sans plus tarder les 2 CD publiés par Frémeaux & Associés (FA 170), ce double album restitue l’univers Ellington dans sa somptuosité sonore, à travers ses plus beaux enregistrements gravés entre 1937 et 1946. Duke s’impose définitivement comme le maître de l’orchestration, à l’affût de nouvelles combinaisons de timbres, qui varient à l’infini grâce à l’usage intensif des sourdines, l’origine du style « Jungle ». Ellington a surtout été inspiré par les musiciens de son orchestre, pour lesquels il composait, « Les hommes du Duke » parmi ces hommes, le trombone Tricy Sam Nanton, dont Alain Paillet, l’auteur du remarquable livret (30 pages) qui accompagne l’album, se demande par quel procédé, il parvient à serrer d’aussi près le grain de la voix humaine. Autre « homme de Duke », Harry Carney, véritable inventeur du saxo baryton qui, solide comme un roc, officia pendant près de 50 ans dan [...]

  • « Son plaisir est le nôtre » par L’Express
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    Et s’il fallait réitérer l’importance des musiciens de génie qui, comme Hodges, ont servi d’inspiration et de voix aux plus beaux tableaux du Duke, on n’aurait qu’à se ressourcer dans ce Plaisir d’Ellington – The Duke and his men (Frémeaux & Associés FA 170 / Distribution  SRI), le plus récent coffre à trésors à nous arriver de la maison Frémeaux, maître es rééditions. Ce n’est pas qu’on soit tombé sur la caverne d’Ali Baba, puisque l’essentiel de ces 36 titres cueillis au fil des années 1935-46 se retrouvent dans le coffret The Blanton-Webster Band et les innombrables volumes de la série Classics. Mais la principale vertu de Plaisir d’Ellington est de recomposer par touches bien choisies le portrait musical d’une formation à son zénith. Disposant d’une extraordinaire palette de timbres et de sensibilité – l’alto de Johnny Hodges, la clarinette de Jimmy Hamilton, le ténor de Ben Webster, la contrebasse de Jimmy Blanton, pour ne nommer que ceux-là -, Duke et son alter ego Bill Stra [...]

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