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  • « La sobriété et la clarté» par Écouter Voir
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    Enregistrement numérique 1994, orchestre de chambre de Prague sous la direction de Michaël Zuber. Les cinq concertos pour violon de Mozart (1756-1791) composés en 1775 (joués ici avec un stradivarius de 1704 utilisé par Paganini lui-même) sont contemporains de la période de l’adolescence. Mozart a 19 ans, il achèvera sa production concertante pour violons deux ans plus tard. Des sept ou huit concertos pour violon écrits par Mozart (et pour certains la paternité a été contestée) cinq datent de 1775. Marqués 218, 207, 216, 219 et 211 au catalogue Köchel (KV), ces concertos pour violons seul et orchestre (l’Orchestre de Chambre de Prague en l’occurrence) sont tous composés de trois mouvements et en mode majeur (en ré, en sol et en la). Ils sont ici brillamment interprétés et dirigés par Michaël Zuber, jeune violoniste d’origine Alsacienne qui excelle dans la sobriété et la clarté. Le coffret de deux disques et le livret se veulent de caractère scolastique d’où, dans le phrasé et l’in [...]

  • « La lettre des partitions » par Le Temps
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    On se souvient de la prestation de Michaël Zuber au Festival de Strasbourg dans ses concertos de Bach, accompagné par Menuhin. Le jeune violoniste alsacien poursuit sa carrière en la construisant pas à pas. Après nous avoir fait plaisir avec les concertos de Mozart et (surtout) après un disque Vierne-Debussy de toute première force, Michaël Zubert affronte aujourd’hui une discographie « bachienne » où les plus grands noms de l’archet se bousculent : Perlmann, Menuhin, Suk, sans compter les innombrables tentatives sur instruments anciens. Zuber se place dans la tradition, tout en respectant la lettre des partitions. J’apprécie particulièrement le style italianisant du soliste ; son style, l’élégance naturelle de son jeu rendent Bach humain et simple. L’accompagnement de l’orchestre de chambre de Prague est pertinent. Une belle version d’un musicien dont nous aurons l’occasion de parler.P.B. – LE TEMPS

  • « Une musique de chambre plus raffinée » par Écouter Voir
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    Les trois concerti pour flûte et orchestre et le couple de quatuor pour flûte et cordes datent de la période où Mozart est installé à Mannheim et qui voit naître son amour pour la cantatrice Aloysia Weber (entre Octobre 1777 et mars 1778). Les quatuors pour vent et cordes correspondent à l’horizon d’attente du public de bonne société qui souhaite une musique de chambre plus raffinée que la sérénade symphonique, dans un style parfois galant. Contrairement à celui en ré majeur (KV 285), les quatuors en sol (KV 285a) et en ut majeur (KV285b) sont de coupe archaïque en deux mouvements. A Paris, l’année suivante, il écrit pour le Concert Spirituel un Quatuor pour flûtes et cordes en la majeur (KV 370) qui complète le premier des deux disques, il est présenté par les Solistes de Cannes dans une version pour flûte et cordes. Le deuxième disque est composé des trois concerti KV313 (en sol majeur), KV 314 (en ré majeur) complété par un andante en ut majeur (KV 315) et un rondo en ré majeur [...]

  • « Noël en Provence » par L’homme Nouveau
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    Vous souhaitez retrouver la magie de Noël, écouter quelques histoires au coin du feu ou partager les fameux treize desserts au son des instruments traditionnels ? Pas de doute : ce disque est fait pour vous. Chanteurs et conteurs de l’ensemble Jehan de Channey redonnent vie aux Noëls de Notre Dame des Doms (XVIe siècle) et  ceux de Nicolas Saboly (XVIIe siècle). La harpe, le cistre, la mandore se marient aux violons et viole de gambe. Les flûtes et les tambourins répondent avec élégance aux cornemuses, cromones et autres instruments de la Renaissance. Un vrai Noël provençal !L.G. – L’HOMME NOUVEAU

  • « Mélodieuse aventure » par L’Alsace
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    Disque référence, « Noël en Provence » donne le sentiment de se dérouler au coin du feu avec des musiciens, des chanteurs et des conteurs…En effet, l’Ensemble Jehan de Channey redonne vie aux Noëls de Notre Dame des Doms (XVIe siècle) en Avignon et à ceux de Nicolas Saboly (XVIIe siècle). Et toute cette mélodieuse aventure commence par : «  Quelle belle nuit il va faire… ».L’ALSACE

  • « Mélodique et gracieux» par Musique Classique
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    Fernando Sor occupe une place à part dans l’histoire de la guitare. Plus d’un siècle et demi après sa mort (il s’est éteint à Paris en 1839), il demeure l’un des compositeurs les plus originaux de cet instrument, tant par la qualité et la diversité de son écriture que par la richesse et l’élégance de son inspiration. Les treize « Fantaisies » qu’il a écrites entre 1814 et 1836, réunies dans un coffret de deux CD, constituent l’apogée de son art, à la fois au niveau harmonique et mélodique que sur le plan formel. Les thèmes à partir desquels Fernando Sor improvise sont tirés de mélodies populaires ou du répertoire des opéras de l’époque. L’artiste émeut par la science de son écriture et la magnificence de ses mélodies. Sa musique, toujours gracieuse, parfois enjouée, incite à la Rêverie…On appréciera particulièrement la sérénité et la délicatesse de l’Opus 40, écrit à partir d’un thème populaire Écossais, très nostalgique, ainsi que le dernier mouvement de l’opus 46 sous-titré « So [...]

  • « Une interprétation fidèle » par Écouter Voir
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    Après l’intégrale des études du catalan Sor, le guitariste Alain Prévost excelle dans un répertoire de fantaisies composées entre 1814 et 1836. En se basant sur la réimpression de l’édition d’origine parisienne (Meissonier), Prévost donne une interprétation fidèle à la haute conception qu’avait Sor de son instrument de prédilection, faisant valoir une fois de plus l’importance de l’Espagne dans le répertoire pour guitare, même si la forme « Fantaisies » avait déjà était pratiquée par Bach et Mozart notamment. Prévost de surcroît fournit une analyse interne méticuleuse des partitions qu’ils interprètent dans un livret bilingue qui décrit chacune des fantaisies et dans lequel il ne manque pas de faire appel à la critique de l’époque. Sor exploite les diminutions ou variations sur un thème de sa composition ou une mélodie populaire ou du répertoire vocal de l’époque. Les treize fantaisies pour guitare de Sor varient de 5’33 à 24’01 et sont présentées dans un coffret de deux disques d [...]

  • « Sonorité splendide et délicate » par Écouter Voir
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    Par Frédéric Ben Attar. Une production de la maison Frémeaux & Associés qui ressemble de beaucoup à cette autre nouveauté de l’éditeur, en l’occurrence le disque de Guy Trouvon interprétant des études françaises du vingtième siècle pour trompette. Ici, un seul compositeur romantique peu connu est mis à l’honneur. Certes, on est loin de partitions majeures ou essentielles à la littérature de ce noble instrument qu’est la guitare. Mais Frédéric Ben Attar réussit ce pari toujours difficile de bien interpréter des études au contenu souvent peu considérable. Le style de Napoléon Coste est typique de la musique romantique pour guitare avec une écriture conventionnelle qui ne surprendra pas beaucoup. Mais c’est toutefois une belle performance du guitariste qui pourra nous faire découvrir cet auteur tombé dans l’oubli. Notons enfin que ce disque aidera certainement les apprentis guitaristes studieux en leur permettant d’entendre des études très bien interprétées et jouées sur un instrumen [...]

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