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  • « La symbiose entre jazz et biguine » par Jazzman
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    Une réédition formidable qui met enfin en lumière l’éclosion de la biguine à Paris dans les années trente ( « Biguine 1929-1940 », Frémeaux)… […] La biguine est née dans ces terres néo-colonisées que sont les Antilles français (Guyane, Guadeloupe, Martinique). Les musiques issues de ces « poussières d’îles », métissages complexes et spécifiques, seront les fers de lance de la reconstitution de communautés fragmentées et déracinées. Une musique, une dérision du quotidien, une déviation des codes culturels coloniaux par l’accentuation rythmique (et polyrythmique), la fusion de l’emprise du terroir et de la palilalie des musiques à tradition orale. Biguine et jazz, tous deux afro-américains, reposent sur les mêmes fondements sociaux. Il semble à tous ces titres que jazz et biguine soient des musiques jumelles. Elles ne l’ont que tardivement reconnu. Nos îles, isolées l’une de l’autre et toutes tendues vers leurs métropoles respectives, vivront un développement culturel à « faible con [...]

  • « Henri Salvador – Sa dernière Révérence » par Point de Vue
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    […] Au Jimmy’s bar de Montparnasse, Henri enchaîne les jam-sessions avec Lester Young, Benny Carter ou Eddy Louis. Avec un succès certain. Mais au moment où il commence à devenir professionnel, il est mobilisé à Jouy-en-Josas. Démobilisé en 1940 à l’issue de la drôle de guerre, il s’enfuit en zone libre, grâce à des faux papiers. « Noir de peau », Henri Salvador porte sur lui son « étoile jaune ». Il s’embarque avec l’orchestre de Ray Ventura pour une tournée en Amérique du Sud. « Il avait réussi à négocier, à Vichy, 25 passeports pour ses musiciens. Cela m’a sauvé la vie. Nous jouions au casino d’Urca. On passait après les cracks comme Bing Crosby. Au début, l’accueil a été glacial. Puis on a fini par faire un triomphe. » […]Thomas PIGNOT - POINT DE VUE

  • « La prise de conscience » par le Journal du médecin
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    « En 1945 déjà, Paul Valéry disait : " Le temps du monde fini de commencer  " ». De sa voix un peu chevrotante et presque mal assurée, Albert Jacquard fait l’air de rien depuis des années oeuvre de vulgarisateur scientifique engagé dans une exploitation responsable des ressources limitées de notre Terre, et leur partage équitable. Dans cette conférence, enregistrée en 2004, le polytechnicien donne dans l’imprécation tranquille lorsqu’il nous parle du futur fort peuplé de notre planète bleue, et de l’avenir que l’espèce humaine s’y prépare. Et de choisir la prise de conscience plutôt que la peur panique… B.R.- LE JOURNAL DU MEDECIN

  • « Approfondir ses connaissances » par L’Alsace
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    Si vous savez ce que sont un chorus, un riff ou le scat, vous avez déjà une certaine expérience du jazz… Pourtant , on peut toujours approfondir ses connaissances et c’est bien ce que proposent, dans leur belle collection consacrée au patrimoine musical, les éditions Frémeaux et Associés. Voici donc un travail fort pédagogique où se combinent un CD avec une vingtaine de titres de grandes figures comme Duke Ellington, Count Basie, Sidney Bechet ou Louis Armstrong et un livret de 24 pages où Jacques Morgantini analyse les différents thèmes de jazz. Pour écouter autrement…- L’ALSACE

  • « Inventive biguines » by RocknReel
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    Clarinettist and bandleader Ernst was a leading figure on the French Carribean music scene in Paris by the 50s, having been a member of Stellio’s band when the music first got onto wax at the end of the 20s. The first CD of this two-disc collection is a textbook example of how good this music can be, a collection of mainly driving, endlessly inventive biguines, including some older items from the Antillean repertoire. Unfortunately the second CD is much more inconsistent, featuring the band playing « tropical » music (a hazard for Carribean bands in the 50s) behind a succession of vocalists of varying ability and aptitude ; Gilles Sala and André Salvador (brother of the better known Henri) are fine, but the others … Buy this one of the first CD ; the second is for historical interest rather than listening pleasure. Norman DARWEN – ROCKNREEL

  • « The Ambassador of Chamamé » by Dirty Linen
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     […] Much more easily described is En vivo en la Argentina, wich is a straightforward concert video of composer/accordeonist Raùl Barboza and his group. Barboza is billed as the « Ambassador of Chamamé, » a style associated with his native region that has developed and extended. There are some Indian elements and some that sound similar to tango, and as that music ha found a warm reception internationaly here it might worth quoting the great Astor Piazzolla on the subject of Barboza and chamané : « Only Barboza can have the incredible « Correntino swing » with Cocomarola, Santa Ana - his predecessors - had. He is a fighter, highly deserving of my respect and admiration. » Here Barboza is joined by guitar, harp, bass, and percussion to create music that utilizes nicely turn impressionist soul-baring that is similar to Piazolla’s tango. It seems this virtuoso can something striking and unexpected with every musical idea ; just when you think he has gotten out of something he delves [...]

  • « Claude Bolling Big Band - Cinema Hits » par Le Journal de Montréal
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    Le pianiste et chef d’orchestre français Claude Bolling est surtout connu pour sa participation à quelques grands films. Que l’on songe à la trame sonore de Borsalino (Alain Delon/Jean-Paul Belmondo), Le Magnifique (Philippe de Broca), Le Mur de l’Atlantique (Marcel Camus), sans oublier tous les Lucky Lucke. Avec Cinéma Hits, nous revivons ces grands moments et même plus, puisqu’il rend hommage à Michel Legrand (Les Demoiselle de Rochefort), Henry Mancini (La Panthère rose), David Raskin (Laura) et l’incontournable As Time Goes By tiré du film Casablanca. Un grand classique qui avait disparu depuis longtemps. LE JOURNAL DE MONTREAL

  • « Ces héros du blues » par Lylo
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    Une compilation pour (re-)découvrir la force swinguante de ces héros du blues aux voix aussi énormes que les succès bien tardifs d’un Elvis… Gloire aux héraults « colorés » morts pour le rock’n’roll. LYLO

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