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  • A suivre... par Centre Ouest / Ouest France
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    « “Comment classer un garçon comme Henri Salvador, qui sait tout faire et qui fait tout parfaitement ?” se demandait Boris Vian dans “En avant la zizique”.Aujourd’hui encore, cinquante ans après ce compliment, l’Académie Charles Cros ne sait pas s’il faut privilégier le chanteur créole, le guitariste swing ou le premier rocker français en lui décernant son grand prix “pour l’ensemble de son œuvre” !Ce deuxième album de “l’intégrale” abonde en vieilles choses comiques ou tendres, souvent reprises d’émissions de radio en direct. C’est l’époque où Henri Salvador cesse peu à peu de faire le clown dans l’orchestre de Ray Ventura pour s’afficher comme la vedette principale de ses tours de chant. A suivre… » Christophe Deshoulières – Centre Ouest / Ouest France

  • Frémeaux & Ass. poursuit ses investigations dans le répertoire ancien par le Mon
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    « Après un premier volume qui levait le voile sur beaucoup de plages oubliées des années 1942-48 (Le Monde de la Musique n° 243, mais 2000), Frémeaux & Associés poursuit ses investigations dans le répertoire ancien de Salvador. Enfin, répertoire ancien… Car on trouve dans cette période de 1948-1950 beaucoup de ses chansons qui deviendront des classiques et qu’il réenregistrera à plusieurs reprises, à commencer par Le loup, la biche et le chevalier (“Une chanson douce / Que me chantait ma maman / En suçant mon pouce / J’écoutais en m’endormant”). Période pendant laquelle il endosse souvent le rôle du chanteur “typique”, affirme sa passion du jazz et se livre à ses plaisirs de chanteur sentimental sans paraître jamais rompre l’unité de son art. Entre autres instants stimulants, son interprétation de Saint-Germain-des-Prés, écrit par Léo Ferré. » Bertrand Dicale – Le Monde de la Musique

  • Un délice ! par Le Nouvel Observateur :
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    « Tous ceux qui pensent qu’avec “Jardin d’hiver”, Henri Salvador aurait publié le meilleur album de sa carrière n’ont pas tout à fait tort mais ils devraient se ruer sur le volume 2 (et reprendre le volume 1) de cette intégrale. On y trouve entre autres les morceaux enregistrés en compagnie de Ray Ventura et son Orchestre, avec le trio d’Emil Stern et encore les premières versions de quelques chansons immortelles comme “Maladie d’amour” ou “le Loup, la biche et le chevalier”. Un délice. (Frémeaux & Associés.) » S.D. – Le Nouvel Observateur

  • Ce volume 2 est loin de décevoir par Platine
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    « Après un volume 1 déjà bourré de surprises, ce volume 2 est loin de décevoir. On y retrouve des titres enregistrés en radio : six de 1946 (notamment l’enregistrement de Popeye que l’on croyait à jamais perdu et une version antérieur au disque de Maladie d’amour), un autre de 1948, quatre de 1949. Egalement A la mi-août du film Nous irons à Paris. Il y a aussi tous les titres gravés sur 78 tours de 1948 à 1950 : Cheveux dans le vent de Coquatrix, Parce que ça me donnne du courage de Mireille et Nohain, Adieu foulards, adieu madras, St-Germain-des-Prés et Le scaphandrier de Ferré, Si jolie de Philippe-Gérard et Eddy Marnay, Le loup, la biche et le chevalier (une chanson douce) signée avec Maurice Pon, C’est le be bop et La vie grise de Jack Dieval et Boris Vian, Ciel de Paris et Monsieur le bon dieu de Pierre Dudan… Si le livret est toujours de 40 pages, il est cependant moins affirmatif que celui du volume 1. On y regrette cependant le peu de photos d’Henri (celle avec Maurice Ch [...]

  • Le genre jazz-swing-be-bop, le style rigolo et la chanson exotique Libération
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    « Mais aussi Le loup, la biche et le Chevalier, que l’on retrouvera dans le double CD édité parallèlement chez Frémeaux & Associés.Entre ces archives chinées dans l’après-guerre et Chambre avec vue, le lien s’établit par le biais de quelques auteurs communs. Rencontrés au début des années 40 dans l’orchestre de Ray Ventura, Paul Misraki et Bernard Michel ont façonné la chanson tendre d’Henri Salvador. Mais comme il est souligné dans le livret fourni, Maladie d’amour n’est qu’une des facettes du personnage, les trois autres étant le genre jazz-swing-be-bop, le style rigolo (impayable imitation dans Popeye) et la chanson exotique, qu’elle soit antillaise ou brésilienne. Le son délicieusement craquelé, ce deuxième volume d’intégrale propose, entre autres signatures prestigieuses (Francis Lemarque, Mireille et Jean Nohain), celle de Léo Ferré (Le Scaphandrier, Saint-Germain-des-Prés) que Salvador contribua à populariser en son temps. » Ludovic Perrin – Libération

  • 38 de ses plus beaux titres en un double album par Centre France
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    « C’est parce que la chanson était populaire qu’elle fut un art. Auquel s’essayaient aussi les plus grandes voix.“Je leur laisse tout Wagner pour une chanson de Vincent Scotto”, avouait Brassens, conscient quand même du séisme que ne manquerait pas de provoquer pareil propos. Ce père de la chanson populaire écrivit quelques 4 000 de ses célèbres refrains, sans compter 350 musiques de films et 46 opérettes !De la “Java bleue” au “Plus beau tango du monde” à l’immortel “Sous les ponts de Paris”, parions qu’il y a infiniment plus de ténors de salles de bains qui vous en fredonneront volontiers un air, que vous ne trouverez de candidats pour les adieux de Wotan ou la méditation de Hagen. Et c’est moins pour repasser les plats d’une énième séquence nostalgie que véritablement rendre hommage à l’immortel auteur de “J’ai deux amours” et “Marinella”, que Frémeaux & Associés a réunit 38 de ses plus beaux titres en un double album.Mayol, Georgel, Joséphine Baker, Ray Ventura et ses Collégie [...]

  • Un ouvrage prafait par Le Figaro
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    « Plus spectaculaire à lui seul que Goldman, Barbelivien et Obispo réunis, Vincent Scotto donna à la France un nombre saisissant de chansons immortelles : Sous les ponts de Paris, La Petite Tonkinoise, Adieu Venise provençale, Prosper (yop la boum), Le Plus Beau Tango du monde, Les Pescadous ouh ouh, J’ai deux amours, Marinella, Tchi-Tchi, Les Mômes de la cloche, Où est-il donc ?, Ramuntcho, et on en oublie forcément, puisqu’il en a écrit au moins 4 000. Cette compilation due à l’inlassable gourmandise de Frémeaux & Associés essaie de résumer son œuvre immense avec autant de surprises (Tchi-Tchi chanté par le fameux Chanteur sans Nom, Marinella par Ray Ventura et ses Collégiens) que d’évidences (Prosper par Chevalier, etc.) Un ouvrage prafait. » Le Figaro

  • Son nom sonne comme une ritournelle par Chorus
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    « Son nom sonne comme une ritournelle. Prince de la mélodie, Vincent Scotto est l’auteur, dit-on, de plus de quatre mille chansons dont plusieurs dizaines de tubes. Près d’une quarantaine d’entre eux figurent sur ce double CD de compilation où, preuve en mains, on s’aperçoit combien ce diable de Marseillais savait s’adapter au style de ses interprètes (Elyane Célis, Tino Rossi, Réda Caire, Edith Piaf, Alibert, Fréhel, Mayol, André Dassary, Esther Lekain, Maurice Chevalier, Georgel, Joséphine Baker, Andrex… entre autres têtes d’affiche).Sans épate, cet artisan du couplet bien troussé passait de la romance sentimentale au comique, du drame réaliste à la carte postal exotique, de la musique de film à l’opérette à accent. Avec bonheur. Autrement dit avec joie et enthousiasme. Un émerveillement dont l’origine remontait à son premier succès “La petite Tonkinoise”, créé par Polin, dont les (modestes) droits d’auteur lui avaient ouvert la route de la capitale.La simplicité, pourtant, ne f [...]

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