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  • Le comique irrésistible des scènes de la vie quotidienne par Le Monde
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    « “On n’est pas des imbéciles, on a même de l’instruction, au lycée Papa, au lycée Papi, au lycée Papillon.” Qui n’a pas un jour fredonné ce refrain fantaisiste, sans doute le plus célèbre écrit par Georgius ? Qui n’a pas en mémoire Sur la route de Penzac, interprété par les Charlots en 1968 ? Là encore, un succès du même amuseur public, pourfendeur de la morosité pendant plusieurs décennies, avant que Pierre Perret ou Bobby Lapointe ne prennent la relève. S’il a écrit et chanté tous les genres, Georgius, acteur, auteur de sketches, de pièces de théâtre et de sept romans policiers publiés dans la “Série noire”est surtout connu pour ses chansons comiques et parodiques. Dans ce registre, La Plus Bath des javas et On l’appelait Fleur des fortifs proposent de savoureux pastiches de la chanson réaliste. Tous ses titres les plus connus sont présents dans cette anthologie regroupant des chansons enregistrées entre 1924 et 1943, remarquablement restaurées. Des fox-trots, des javas, des ta [...]

  • Excellent repiquage des 78 tours originaux par Je Chante
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    « Complément indispensable au livre de Jean-Jacques Chollet (JC n° 22), cette compilation de 36 titres de Georgius permettra de “juger sur pièces” la verve, le punch et la folie verbale (Ça, c’est d’la bagnole, accompagné par Pierre Chagnon et son orchestre, avec ses parties parlées très caractéristiques) de cet auteur prolifique (près de 1 500 chansons, dit-on) qui marqua les esprits des années 20 et 30 et notamment Robert Desnos, qui fut un de ses “fans”.Ses enregistrements du début des années 40 décrivent l’état d’esprit de la population : Dans la cave de sa maison est une des rares chansons d’époque – avec Il n’est pas distingué qu’a chantée Edith Piaf – à attirer l’attention sur Hitler… Il n’en était et Elle a un stock évoquent, bien sûr, les restrictions. “Depuis Paulus, nul artiste n’a eu autant d’influence sur le public”, écrit Gérard d’Houville. Pierre Barlatier voit en lui un “Jarry de la chanson, unique et inimitable pitre et poète à la fois. ” Et pour Patrick Walberg, [...]

  • Excellente sélection par le Monde de la Musique
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    « Né en 1891, Georges Guibourg est un homme de transition. S’il fit entrer un jazz (ainsi appelait-on les nouveaux orchestres avec batterie) dès 1925 au café-concert, son esthétique de référence reste pourtant celle du XIXe siècle : plus polka (au mieux plus fox-trot) que swing, il méconnaît le micro et sait se faire entendre jusqu’au poulailler grâce à une diction aisément datable (mais d’autant moins datée qu’elle n’est jamais forcée). C’est dans ses textes qu’il prend ses distances avec le siècle précédent. Débutant vers 1908 avec un répertoire de romances, opérettes et chansons réalistes pour ne pas faire honte à ses parents (c’est pour les épargner qu’il prit le pseudonyme de Georgius), il prit celui-ci en horreur en même temps qu’il en découvrait les mécanismes. Aussi était-il tout désigné pour en réaliser la plus exacte parodie. Renonçant aux accessoires et aux effets de la tradition satirique et comique, habillé d’un simple frac noir puis d’un habit blanc, il sut captiver [...]

  • Le public, finalement, fut bon juge par Chorus
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    « Lorsque Montant commence à enregistrer pour Odéon en 1945, il a déjà gommé un certain nombre des tics de ses débuts. Bref, il a un style bien à lui. Les chansons que Piaf lui confie alors révèlent néanmoins combien celle-ci a été déterminante dans cette rapide évolution. L’influence de la Môme, en effet, déclenche à la fois une libération et un mimétisme. Instinctivement, le jeune homme adopte les intonations, le phrasé de la vedette.Son répertoire lui-même va puiser dans les richesses des auteurs-compositeurs maison : Contet, Emer, Monnot… Dans ses prestations scéniques, en revanche, il utilise une gestuelle où sa dégaine de prolo (chemise, pantalon) annonce une autre transformation – de fond, celle-là –, mettant à l’honneur la condition ouvrière qu’il vient de quitter.A cet égard, la rencontre avec Francis Lemarque sera déterminante. En l’espace de quelques mois, il enregistre plusieurs titres (“A Paris”, “Mathilda”, “Je suis venu à pied”, “Ma douce vallée”) de ce nouveau venu [...]

  • A suivre ! par Centre Ouest
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    « Yves Montant déjà historique…Montant ? Il a commencé tout de suite à fond, le bougre ! Protégé de Piaf, il connaît le succès dès son arrivée à Paris en 1944. Ses premières chansons sont des monuments historiques, oui, comme “Les feuilles mortes” !Car Jacques Prévert est l’autre enchanteur qui veille, avec la fée Piaf, sur le prodige de la chanson, du music-hall et bientôt du cinéma. Ici, on écoute Montand réciter “Barbara” de Prévert…A suivre ! » Christophe Deshoulières – Centre France Ouest

  • L'incomparable Lucienne Boyer par Ecouter Voir :
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    « Pour nous parler d’amour avec cette voix au timbre ouaté et plein d’émotion, il y avait Lucienne Boyer qui fera de ce refrain un des plus célèbres au monde. Lucienne Boyer fut aussi l’interprète d’un auteur inconnu : Jean Tranchant, puis Jean Delettre, son compagnon d’alors, composera des musiques pour celle qu’on surnommait “la dame en bleue”, laquelle épousera plus tard Jacques Pills. Après Parlez-moi d’amour, son second grand titre de gloire sera Que reste-t-il de nos amours, signé Charles Trenet. Dans ce double album, on retrouvera 36 titres de l’incomparable Lucienne Boyer. » Ecouter Voir

  • Moins tragique que Damia, intense aussi dans un registre plus léger par Télérama
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    « C’était une très belle dame aux yeux très bleus. Lucienne Boyer, née Emilienne-Henriette en 1903, fut modiste, modèle (notamment pour Foujita), doublure au music-hall avant de gagner le devant de la scène. Toujours vêtue de bleu (on l’appelait “le bleu Royer”), la ravissante, en qui Vian voyait Eve elle-même, créa des succès intemporels comme Parlez-moi d’amour. Broadway, Hollywood lui firent un triomphe. Elle revint quelque vingt ans plus tard chanter à Carnegie Hall, accompagnée par Toscanini. A Paris, l’Olympia la fêta une dernière fois en 1976, sept ans avant sa disparition. Cette anthologie, qui ne couvre qu’une partie de sa carrière, donne à entendre ce qui fit de la dame une vamp : cette note voilée dans la voix, qui accentue sa sensualité ; ce répertoire énormément amoureux, mélanco, malicieux, épicé de quelques kitscheries, fantaisies d’opérettes ou vignettes coloniales (Estampe marocaine). Moins tragique que Damia, intense aussi dans un registre plus léger, Lucienne Bo [...]

  • Triomphe international dans les années 1930 par Le Figaro
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    « Lucienne Boyer a connu un triomphe international dans les années trente, en interprétant Parlez-moi d’amour. Elle a ensuite accumulé les succès. L’intégrale de ses chansons enregistrées entre 1930 et 1948 vient de sortir en CD. » Le Figaro

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