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  • Abondamment illustré par Ecouter Voir :
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    « Né à Carpentras dans le Vaucluse en 1889, Alibert est, avec Tino Rossi, l’un des chanteurs qui ont fait connaître le soleil méditerranéen. D’une voix joyeuse, d’une diction parfaite qui lui vaut de s’illustrer dans l’opérette marseillaise, Henri Allibert dit Alibert use volontiers de l’accentuation provençale dont il était fier. Souvent relégué au rang de second, il accède au vedettariat dans les années 1930 au moment où les Marseillais comme Pagnol se font connaître à Paris. Le Trio Vincent Scotto (qui lui écrit la majeure partie des chansons), René Sarvil et Alibert triomphe dans La Revue Marseillaise. Mais c’est Un de la Canebière qui battra des records de popularité avec notamment Cane… Cane … Canebière. Des deux disques du coffret, le premier est consacré aux bouquets de chansons qui firent les belles heures de ses opérettes ensoleillés alors que le deuxième est composé de chansons beaucoup moins connues mais qui contiennent quelques joyaux comme Le Noël des petits santons. [...]

  • Le talent du chanteur à la voix de soleil par Viva
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    « Grâce à André Bernard, grand amateur-collectionneur de chansons marseillaises, voici réunis en un double CD tous les succès d’Henri Alibert : Cane… Cane… Canebière, la Chanson du cabanon, Adieu Venise Provençale, Le Plus Beau Tango du monde… – la plupart écrits par le duo Scotto-Sarvil –, ainsi que quelques raretés (dont quatre ou cinq avec l’accent pointu), qui témoignent du talent du chanteur à la voix de soleil. » Viva

  • Un charme éblouissant par Télérama
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    « Récemment, Bruel l’a conviée à participer à son album de reprises. Ce garçon a bonne mémoire : l’hirondelle Darrieux, qui fit le printemps du cinéma français ne charma pas que la pellicule, mais aussi la bande-son. C’est qu’à l’époque, peu après les débuts balbutiants du cinéma parlant, la chanson y allait de soi. Et la jeune Bordelaise, fille d’une pianiste et chanteuse, elle-même pianiste et violoncelliste, orna de son timbre ailé bien des scénarios plus ou moins mémorables. Ses toutes premières chansons filmiques étaient signées de l’auteur des insubmersibles Gars de la Marine. Mais l’actrice dut attendre 1941 pour connaître son premier “tube” : ce swinguant Premier Rendez-vous, tiré du film éponyme, qui a gardé toute sa fraîcheur. Dans cette intégrale qui s’arrête au début des années 50 ne figure évidemment pas la contribution de Danielle Darrieux aux Demoiselles de Rochefort, de Jacques Demy – le rédacteur du livret plein d’infos et d’humour qui accompagne ce double album n [...]

  • Remarqué et remarquable par Ecouter Voir :
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    « Cette grande comédienne et célèbre artiste de cinéma fut aussi côté chanson une interprète remarquée et remarquable. Avec sa jolie voix, la créatrice du Premier rendez-vous et Les fleurs sont des mots d’amour fut une des grandes vedettes des disques Polydor avant d’enregistrer chez Decca puis Pathé Marconi. Ce double album est donc l’intégrale des chansons qu’elle interprète. » Ecouter Voir

  • Fort bien documenté et illustré par Phonoscopies
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    « C’est ici l’intégrale qu’on nous propose, complétée par 4 faces Chant du Monde. L’immense talent de comédienne de Danielle Darrieux a fait un peu oublier qu’elle aurait pu faire une belle carrière de chanteuse légère, grâce à la musicalité de sa voix et à son sens du rythme. Daniel Nevers a également incorporé douze extraits de films, ce qui nous permet d’entendre des versions parfois très différentes des disques. Livret de 32 pages, fort bien documenté et illustré. » Phonoscopies

  • Un regard d’azur qui vous transperce jusqu’aux cieux par Chorus
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    « C’est le charme à l’état pur ! Danielle Darrieux règne alors sur les cœurs masculins. Sentimentale certes mais avec ce piquant – il n’était pas encore question d’émancipation… – propre aux jeunes filles indépendantes de l’avant-guerre. Un regard d’azur qui vous transperce jusqu’aux cieux. Jolie façon d’accéder au septième degré de la félicité ! Car la comédienne ne se contente pas de son joli minois.Dès son premier rôle cinématographique (elle n’a pas encore 14 ans), Danielle Darrieux se découvre des talents de chanteuse. Le film s’appelle Le Bal. Il date de 1931, c’est-à-dire des débuts du parlant. D’autres films suivront, avec des romances comme il se doit. Certaines, signées Werner Richard Heymann (l’auteur de “Avoir un bon copain”), se tailleront même un petit succès. Ce qui incitera Polydor à les graver pour le phonographe. Très vite, Mlle Darrieux devient une habituée des studios. Les duos se multiplient – avec albert Préjean, partenaire à l’écran, mais le plus souvent ave [...]

  • Ce sont les belles heures des Frenchies en Amérique par Ecouter Voir :
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    « Dans les années 30, le chanteur au canotier faisait la joie d’Hollywood. Ce sont les belles heures des frenchies en Amérique (Sablon, Trenet, Piaf). Les succès cinématographiques se cumulent : Innocents Of Paris, Love Parade et The Big Pond et les chansons Prosper (1935), Ma Pomme (1936), Ça fait d’excellents français (1939) le font connaître. Les deux disques de ce coffret font découvrir les succès de la période faste de l’auteur-interprète Chevalier. Le répertoire de Maurice Chevalier est composé par les grands paroliers et compositeurs de chansonnettes de son temps : Borel-Clerc, A. Willemetz (qui lui compose notamment Ah ! Si vous connaissiez ma poule récemment reprise par Bruel), Vincent Scotto, Georges van Parys, etc. Chevalier qui fait déjà carrière depuis plusieurs décennies enregistre quelques pots-pourris dont l’un accompagné de l’orchestre de Jack Hylton. Le succès nord-américain, en particulier étasunien, du titi de Ménilmontant alimente celui du public français malg [...]

  • Ce que fut Godard au cinéma ou Duras à la littérature par Le Figaro
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    « Ce que fut Godard au cinéma ou Duras à la littérature, Pierre Barouh le fut pour la chanson en cédant la parole à des dizaines d’interprètes poursuivant l’économie de moyens et un métissage d’avant la lettre. Deuxième compilation de son étiquette Saravah en 35 ans, celle-ci s’ouvre sur les passions de son fondateur pour le Brésil pour ensuite couvrir assez abondamment les superbes frasques intimistes du trio Higelin-Areski-Fontaine. Elle rappelle que quelques-unes des valeurs sûres telles que Mauranne et Françoise Hardy firent des débuts modestes chez Saravah, que Jean-Roger Caussimon y consuma ses plus belles années en quarante chansons splendides, que Carole Laure (Lullaby) et Philippe Léotard (Ch’te play plus) y connurent un succès très passager et que les chuchotements de David McNeil, fils de Chagall, y tombèrent malheureusement dans l’oubli. Après des années à ne rien faire, comme le dit la devise de l’entreprise, les années 2000 assistèrent à un retour en vogue de l’étiqu [...]

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