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C’est sûr, la magie fonctionne ! par Ecoute
Catégories : Article de presse ( Article de presse )« Paname et ses titis, sa tour Eiffel, ses bals-musettes, ses p’tites femmes de Pigalle… Ce double CD vous convie à un voyage sentimental, du Paris nostalgique des années folles jusqu’à celui de l’après-guerre. 36 chansons à la gloire de la Ville lumère sont chantées par des voix connues et moins connues. Vous entendrez Joséphine Baker, Maurice Chevalier, Fréhel, Arletty, Mistinguett, Charles Trenet et – bien sûr – Edith Piaf. C’est tout juste si l’on n’entend pas grincer les sillons. C’est sûr, la magie fonctionne ! » Ecoute
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Des chansons de toujours par L'Alsace
Catégories : Article de presse ( Article de presse )« Paris, c’est connu, est la plus belle ville du monde. En tout cas, on l’a chanté sur tous les tons. Voici une sympathique compil où l’on retrouve Fréhel et Paris la nuit, Arletty et A la Villette, Georges Ulmer et Pigalle, Trenet et Ménilmontant, Piaf et Paris. Tout simplement. Des chansons de toujours. A Fredonner. » L’Alsace
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A prescrire contre la déprime par Famille Chrétienne
Catégories : Article de presse ( Article de presse )« “J’aimerais ouvrir une école où on suspendrait le sérieux à un clou et où l’on glorifierait tout ce qui est puéril, inconsistant, bagatelle, bricole de la pensée, fantaisie, frivolité et mensonge systématique. L’imagination sur l’estrade.”Facétieux à souhait, Henri Salvador appartient aux grands noms du music-hall. Comique à ses heures, il fut également un chanteur et un musicien de talent qui participa à la grande aventure du jazz.Outre cette grande bouffée de joie de vivre qui fait franchement défaut à notre époque, l’intégrale 1942-1948 a le mérite de nous offrir des sketchs ou des morceaux de musique d’une grande rareté, dont les titres enregistrés avec l’orchestre Ray Ventura lors de célèbres tournées dans toute l’Amérique du sud : “Maria de Bahia”, “Monsieur de la Palice”, “La Samba de là-bas”.Maria de Bahia, elle est comme cela : “Chacun voulait l’avoir entre ses bras / Aïe, aïe, Maria de Bahia / Quand on l’avait trop embrassée / elle allait se confesser / puis elle recom [...]
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On attend le volume 2 ! par Je Chante
Catégories : Article de presse ( Article de presse )« “Quelques-uns nous reprocheront sans doute d’avoir ratissé un peu large en allongeant la sauce avec ces faces considérées comme anecdotiques et en aucun cas indispensables. Evidemment. De toute façon, les mêmes nous reprocheraient de ne pas les avoir mises si nous avions opté pour leur exclusion !…”Ce premier CD couvre les années 1942-1948, la période où Salvador fait partie (chanteur, comédien, guitariste) de l’orchestre de Ray Ventura et joue dans d’autres formations de jazz (Louis Vola). Jazz, swing, chansons d’humour (Les six petits œufs, Silence, on tourne…) et chansons tendres (J’aurais bien donné dix ans de ma vie) font bon ménage. Parfois, il y a un sketch (Le collaborationniste, 1945, où il imite Raimu, Louis Jouvet et Sacha Guitry !) ou des extraits de films (Mademoiselle s’amuse, 1947). A partir de 1948, engagé par Polydor, Henri Salvador “et sa guitare” ou “son trio rythmique” commence la carrière que l’on connaît : Clopin-clopant, Maladie d’amour, Le petit souper au [...]
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D’indéniables qualités de crooner, à l’américaine par Chrous
Catégories : Article de presse ( Article de presse )« L’apprentissage d’Henri Salvador au côté des Collégiens de Ray Ventura vaut le détour. Crochet exotique, au demeurant, puisque à l’époque l’orchestre s’était exilé en Amérique du Sud en raison du séjour prolongé des troupes teutonnes en terre française. A dire vrai, Salvador avait alors déjà tâté de l’expérience orchestrale, avec l’ensemble de Bernard Hilda, mais la présente “intégrale” fait l’impasse sur ces enregistrements (peu nombreux), encore enfouis peut-être au fond des tiroirs de collectionneurs distraits.Pour ce qui concerne Ventura, elle offre par contre une incomparable diversité, allant même jusqu’à proposer plusieurs prises d’une même chanson (“J’aurais bien donné dix ans de ma vie”, “Open the door, Richard !”, par exemple) dans lesquelles Salvador déconne à qui mieux mieux.La quintessence “salvadorienne” transparaît dans la plupart des pièces de ce coffret, que ce soit à la guitare, de façon anonyme au sein d’un collectif de jam session ou, de manière plus évidente [...]
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Virtuose de la guitare swing par Epok
Catégories : Article de presse ( Article de presse )« On imagine son rire hénaurme – et les ricanements de certains – en découvrant à la page jazz ce premier volume de l’intégrale qui lui est (enfin) consacrée. Voici les débuts du seul crooner génial que la France a produit. Les facéties nomades de Ray Ventura en feront (jusqu’à nos jours) la seule star gauloise au Brésil. Virtuose de la guitare swing, c’est déjà en même temps le Cab Calloway et le Frank Sinatra français, qui fera bientôt génie commun avec Boris Vian. » Epok
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Pimpante nostalgie... par Le Monde de la musique
Catégories : Article de presse ( Article de presse )« La carrière plurielle de Henri Salvador est un phénomène unique en France : venu du jazz de grand public (on disait “le swing”, à l’époque), il s’est fait un double nom de charmeur et d’amuseur. Après un travail exemplaire sur les années 40 de Charles Trenet (cinq doubles CD), déjà publié chez Frémeaux & Associés, Daniel Nevers propose un premier volume d’intégrale des enregistrements de Salvador. Sources et matières sont hétérogènes pour ces années 1942-48 : extraits d’émissions radiophoniques, bande originale du film Mademoiselle s’amuse, disques des différentes formations de Ray Ventura (chez qui le guitariste Salvador prit de plus en plus d’importance), premières faces enregistrées sous son propre nom… On découvrira ainsi que le fantaisiste fit plus difficilement ses armes que le chanteur de jazz : imitateur approximatif de Guitry, Jouvet et Raimu dans un sketch d’après-guerre mais infiniment séduisant dans J’aurais bien donné dix ans de ma vie ou dans Le Petit Souper aux ch [...]
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Formidable travail par Le Monde
Catégories : Article de presse ( Article de presse )« Formidable travail que celui réalisé par Daniel Nevers, à qui l’on doit notamment L’Intégrale Charles Trenet pour le compte du même éditeur, Frémeaux & Associés. Le collectionneur et historien de la chanson et du jazz est allé traquer Henri Salvador dans ses premiers retranchements : en 1943, à Buenos Aires, chanteur dans l’orchestre de Ray Ventura, que Salvador avait accompagné dans sa fuite en Amérique latine (Ray Ventura et Paul Misraki, un des piliers de l’orchestre, étaient juifs). En Suisse, à Londres, à Bruxelles, Daniel Nevers a retrouvé cette bande de joyeux lurons aimant la plaisanterie, le jazz, les sketchs – deux versions de Maria de Bahia, tube composé par Paul Misraki de passage au Brésil. Tournant la page Ventura, Henri Salvador prend sa guitare pour fredonner Maladie d’amour, Clopin-clopant ou Le Petit Dîner aux chandelles. Joie, rythme, tendresse. » Véronique Mortaigne – Le Monde