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Nordeste - Brésil par Vibrations
Catégories : Article de presse ( Article de presse )(...) “Ce double album est le plus bel éloge à la diversité culturelle, de celle qui est solidement enracinée, qui se joue des catégories et traverse les ages sans prendre une ride. Incontournable.” Jacques DENIS, VIBRATIONS
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Choro Contemporain par Publico - Presse Portuguaise
Catégories : Article de presse ( Article de presse )"Depois de um volume dedicado aos primeros mestres do choro (1906-1947), a Frémeaux lança agora em CD duplo e com detalhado libreto, uma colectãnea do que de melhor se fez nessa àrea no Brasil das ultimas décadas (1978 – 1999)."N.P. – PUBLICO – Presse Portuguaise.
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Nordeste - Brésil par Ecouter Voir
Catégories : Article de presse ( Article de presse )“Indispensable” ÉCOUTER VOIR
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Ô Samba par Télérama
Catégories : Article de presse ( Article de presse )“La musique, au Brésil, semble vouée à réconcilier les contraires. Exactement comme le carnaval, qui voit défiler côte à côte voyous, docteurs, bandits ou policiers. Au même pas cadencé.” Cécile CHALLIER, TÉLÉRAMA
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Saravah par Mondomix
Catégories : Article de presse ( Article de presse )“Peut-on avoir la nostalgie de moments que l’on n’a pas vécus ? Le documentaire de Pierre Braouh, Saravah, est un bijou pour les amoureux de la musique brésilienne. Dans le Rio de la fin des années 60, le jeune Baden Powell sert de guide à l’un des ambassadeurs de la culture brésilienne en France. Il rencontre et enregistre des légendes telles que Pixinguinha, déjeune avec Maria Bethania et Paulinho Da Viola, qui lui jouent bossas et sambas autour de la table. Puis, il rend visite en studio à la chanteuse et filme son ami Baden Powell avec tendresse. L’ambiance est paisible, baignée d’un soleil accueillant, on aimerait que ça ne finisse jamais. Véritable document laissé à l’état brut, si ce n’est une version commentée par le réalisateur. Pour comprendre les discussions, mieux vaut savoir parler le brésilien ou lire [...]
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Saravah par Télérama
Catégories : Article de presse ( Article de presse )“Ces sourires complices, ces regards épanouis captés par une caméra au doux mouvement dansant, au moment même où la musique naît du plaisir de la rencontre, c’est d’abord cela qui captive dans le film de Pierre Barouh (auteur, entre autres, de la BO du film Un homme et une femme). Saravah n’est pas un documentaire sur le label de disques qu’il a créé et qui porte le même nom, pas plus qu’un film sur la musique brésilienne : c’est le journal d’un voyage de trois jours, en 1969, au gré des sambas improvisées par Maria Bethania et Paolinho da Viola ou du dialogue entre la guitare de Baden Powell et le saxophone de Pixinguinha. En bonus, filmée dans une favela en 1998, l’histoire d’Adao, qui chante les cultures afro des bidonvilles en solo, au son du tambour : il finira le corps criblé de balles.” TÉLÉRAMA Seconde chronique l [...]
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Paris Musette Vol. 1 par Les Disques de l'Année, Le Monde
Catégories : Article de presse ( Article de presse )“Jazz et java ont eu, de toute éternité, deux mots à se dire. Ce sont des histoires proches, des histoires d’hommes et de femmes, des airs de musiciens qui possèdent et qui jouent à la fois pour les danseurs et pour les musiciens. Oui : une musique de musicien pour musiciens. Accordéons chromatiques, diatoniques, guitares et chanteurs, Franck Bergerot a réuni les meilleurs interprètes, les plus connus (Marcel Azzola), les plus surprenants (la virtuosité vocale de Minvielle) et les plus tendres. La Valse à Margaux par Richard Galliano et le Quatuor d’accordéons de Paris est dans la perfection. C’est rare, la perfection.” LES DISQUES DE L’ANNÉE, LE MONDE
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Boogie Woogie Piano par Trad Magazine
Catégories : Article de presse ( Article de presse )“Le label Frémeaux & Associés s’est spécialisé dans la réédition de qualité, de standards du jazz, du blues, du country and western, du gospel ou de la variété française. Il nous propose dans sa collection Musique du Monde une compilation consacrée entièrement au Boogie Woogie. Cette musique qui a vu le jour dans les barelhouses, ces bars mal famés du sud profond des Etats-Unis au début de ce siècle. Le pianiste avait alors pour mission de distraire les clients en les incitant à danser et donc à boire, en couvrant le bruit des discussions ou des exclamations, voire des bagarres. La technique est simple mais efficace : la main gauche martèle les basses d’un rythme hypnotique, rappelant le bruit des boogies des trains sur les rails (d’où le nom), tandis que la main droite, à l’autre bout du clavier, virevolte [...]