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Blue Rondo à la Turk Capon Galliano Perrin par La Voix du Nord
Catégories : Article de presse ( Article de presse )“Il est rare de saluer des expériences réellement originales et qui surtout ont de la tenue. L’association violoncelle - accordéon - vibraphone apporte une couleur sonore tout à fait nouvelle et une dimension émotionnelle rarement atteinte par des musiciens français.” André JOLY, LA VOIX DU NORD
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Blue Rondo à la Turk Capon Galliano Perrin par Libération
Catégories : Article de presse ( Article de presse )“Quant aux compositions originales signées Galliano ou Capon, elles sont à la hauteur de l’ensemble. Quand on vous dit qu’en jazz rien n’est impossible. Un disque É-PA-TANT !” Serge LOUPIEN, LIBÉRATION, Avril 1983
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Blue Rondo à la Turk Capon Galliano Perrin par Le Figaro
Catégories : Article de presse ( Article de presse )“On le sait, l’accordéon est jazz. Et, si on le sait, c’est grâce à Richard Galliano.” Bertrand DICALE, LE FIGARO
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Accordina Jazz par Jazz Man
Catégories : Article de presse ( Article de presse )“Ce n’est pas tous les jours que l’on découvre un son parfaitement original né de l’alliance d’un accordéon, d’un accordina – ou d’un saxophone baryton – et d’une batterie, mis au service d’une musique qui, dans ses meilleurs moments, ne ressemble vraiment à aucune autre.” Alain TERCINET, JAZZ MAN
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Guarana Konitz Alvim par Jazz Man
Catégories : Article de presse ( Article de presse )... on est séduit par la dimension aérienne des mélodies, par la finesse des harmonies... JAZZ MAN
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« La couleur générale est à l’impressionnisme » par Le Monde
Catégories : Article de presse ( Article de presse )« D’abord pianiste, puis contrebassiste, Cesarius Alvim passe, selon les saisons du cœur, de l’un à l’autre instrument. En duo avec le saxophoniste Lee Konitz, c’est le piano qu’il a choisi. Il a composé de courts thèmes, marqués par un souci d’espace autant que par une organisation très rythmique du clavier. Lee Konitz, faux classique tant sa musique a toujours anticipé les révolutions du jazz depuis le début des années 1950, trouve dans les propositions d’Alvim la matière d’un jeu qui souligne et à son tour renvoie. Ces échanges se font naturellement, comme si ce duo avait déjà des années de présence commune à mettre en jeu. La couleur générale est à l’impressionnisme et à l’abstraction – avec des détours par Bach – et suscite le désir que cette réussite due au hasard d’une rencontre s’installe dans la durée. »Par S. SI.- LE MONDE
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Guarana Konitz Alvim par Jazz Notes
Catégories : Article de presse ( Article de presse )C’est proprement aérien, plein d’émotion […] Une rencontre au sommet. JAZZ NOTES
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L'ONJ Traverse le Canada par Télérama
Catégories : Article de presse ( Article de presse )“(...) Ça marche du feu de Dieu ; de Vancouver à Montréal, en passant par Victoria, Edmonton, Calgary, Toronto,dans des salles de concert, une église, en plein air, devant un public tour à tour médusé et enthousiaste. Les musiciens ne songent pas à contredire Barthélemy quand il déclare pour finir que “le plus cinglé de tous, c’est moi”,d’un air à la fois sérieux et maussade, revenu de tout et parfaitement enfantin. Michel CONTAT, TÉLÉRAMA (TT)