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  • « Doit figurer en bonne place dans les discothèques des mélomanes ! » Paris Move
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    « Le choro souvent comparé au jazz brésilien séduit par sa finesse mélodique et son caractère latin. A travers son nouveau projet le Paris Cadjo Club marie choro et swing créant ainsi un lien entre les cultures de Paris et de Rio. Ils revisitent ainsi les classiques de la samba et de la bossa nova et les agrémentent d’une touche manouche. Il convient tout d’abord de présenter deux nouveaux guests qui viennent s’ajouter au sextet agrémenté de nouvelles têtes, celles d’Hélène Argo au chant et d’Aurélie Tropez à la clarinette. Yamandu Costa, guitare 7 cordes sur Choro N°1 d’Heitor Villa Lobos, 1920 et Alexis Lambert, accordéon sur Lamenios do Morro d’Anibal Augusto Sardinha (Garoto), 1950 et sur Ternura de Sebastiao de Barros, 1977. Les autres membres du sextet sont Christophe Davot, guitare, chant, mandoline, whistle, Jean-Yves Dubanton, guitare et chant, Eric Fournier, guitare et Laurent Vanhée, contrebasse. La grande nouveauté étant le chant sur 8 des 14 morceaux. Comme vous l’aur [...]

  • « Le Brésil vu par le prisme de la musique manouche » par TSF Jazz
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    « Le Brésil vu par le prisme de la musique manouche ? C'est le pari fou du Paris Gadjo Club mené, entre autres, par la clarinettiste Aurélie Tropez et le guitariste Christophe Davot. Dans leur troisième disque, ils donnent au choro brésilien de nouvelles (et belles) couleurs. » Par TSF JAZZ

  • « Cette galette caresse les sens autant qu’elle les échauffe » Paris Move
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    « On l’a découverte voici deux ans à peine avec son magistral “Children of The Night – Tribute To Wayne Shorter” (chroniqué ICI), et la Maison Frémeaux réédite à présent son tribute to Johnny Alf (19 mai 1929 – 4 mars 2010), précurseur méconnu (du moins de ce côté-ci de l’Atlantique) des grands maîtres de la bossa moderne que furent Joao Gilberto et Antonio Carlos Jobim. Sur les traces de Stan Getz et Sarah Vaughan en pareil équipage, l’ensorceleuse Manu et le saxophoniste Idriss Boudrioua (épaulés par les ivoires frétillantes d’Alberto Chimelli, la contrebasse alerte de Sergio Barrozo et les baguettes virevoltantes de Rafael Barata, ainsi que par deux flûtistes) déroulent dix envoûtantes adaptations du répertoire de Alf. Tour à tour irrésistiblement dansante (“Ceu E Mar”, “Rapaz De Bem”, “Seu Chopin”) et langoureuse (“Eu E A Brisa”, “Ilusoa A Toa”, “Quem Sou Eu”, “O Que E Amar”, “Nós”), voire les deux à la fois (“Fim De Semana”, et ce “Tema Para Idriss” où le piano de Chimelli tu [...]

  • « Plein d’authenticité » par Jazz Mag
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    « Manu Le Prince [...] vient de graver un “Bossa Jazz For Ever” plein d’authenticité qui révèle une relation charnelle avec sa terre d’accueil. En outre, quelle belle idée de rendre hommage à Johnny Alf, un des pères fondateurs de la bossa nova qui vécu dans l’ombre de la Sainte Trinité Jobim-Gilberto-Vinicius. La voix chaude de Manu Le Prince qui aime descendre dans le grave, les rythmiques emmenées par Rafael Barata, le saxophone sensuel d’Idriss Boudrioua (vieux compagnon de route de Johnny Alf), tout, cette fois, nous emmène à Rio. »Par Philippe VINCENT – JAZZ MAN

  • « Un artiste incomparable » par Médiapart
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    « Ténor et danseur exceptionnel, Sammy Davis Jr (1925-1990) était surnommé Mr. Entertainment par la presse américaine des années quarante et cinquante. Le triple CD que le label Frémeaux et associés lui consacre démontre que la gourmandise n'est pas un péché : des succès par grappes et du swing à foison, c'est tout ce qu'il faut quand les angoisses menacent. Est-il nécessaire de le rappeler ? Naître en 1925 à Harlem, ce n'est pas exactement le destin le plus facile. Mais les parents de l'artiste étaient artistes eux-mêmes - d'où le Junior. Enfant de la balle plus que doué, génial à plus d'un titre, Sammy connut la gloire - et cependant les déboires de la ségrégation. Frank Sinatra l'a produit, soutenu, mais aussi maintenu dans un rôle subalterne - une façon pour le crooner de se protéger d'un rival. En écoutant ces disques, les mélomanes oublieront tout cela, se laisseront porter par le talent d'un artiste incomparable. Bonne journée à tous ! » Par Frédérick CASADESUS - MEDIAPART

  • « Une remarquable réussite sonore » par Blues & Co
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    Le cd-live de John Len Chatman dit Memphis Slim enregistré à l’Olympia (27 mai 1961) fait partie de la collection du label Frémeaux & associés « Les Grands Concerts Parisiens » dirigé par Michel Brillé. Ce soir-là Franck Ténot et Daniel Filipacchi avaient accueilli le légendaire chanteur-pianiste américain. D’après la préfecture, l’artiste de la note bleue n’avait attiré lors de sa prestation que 250 personnes. Dans un article du magazine Jazz Hot, 500 spectateurs étaient bien présents dans la célèbre salle de l’Olympia : chiffre beaucoup plus rassurant pour le bluesman patronné par Europe N°1. Lu dans le livret qui accompagne l’album : Memphis Slim et Willie Dixon en manque de contrats aux USA, se sont dirigés dans un club d’Haïfa en Israël avant de poser leurs bagages et de tenter leur chance à Paris. A cette époque du début des années 60, les deux partenaires donneront des concerts dans divers clubs de la capitale et principalement aux Trois Mailletz (toujours en activité, situ [...]

  • « Un bonheur pour tous ceux qui aiment le jazz ! » par Les notes de l'instant
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    « Entendre Alain Gerber. Il est heureux ce jour où l’on peut retrouver, au travers des mots, non pas la musique de nos souvenirs – c’est seuls le présent et l’avenir que nous voulons et désirons – mais celle qui fut dès l’origine, une musique de son temps et qui, si le calendrier mesure ce dernier, l’est pourtant encore aujourd’hui. Pleinement. Et sans aucun doute le sera-t-elle encore demain.Bien sûr, nous reconnaissons le jazz (et singulièrement celui dont il est ici question) en écoutant souvent ces musiciens du « be-bop » qui, pour la plupart, le façonnèrent comme un point de départ, plutôt que comme un point de vue et encore moins comme un aboutissement mais, bien comme le début d’une aventure. Qui, si l’on prête une oreille attentive, se poursuit, parfois de façon très différente, dans ce que l’on peut appeler « les jazz » d’aujourd’hui.Ici, les mots que nous entendons, sont ceux d’Alain Gerber. Nous les entendons parce qu’il fut un admirable « homme de radio » à la voix uni [...]

  • « Le thème de l’anthropophagie abordé avec sérieux » par Viridis Candela
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    Comment traiter de l’anthropophagie avec le sérieux pataphysique qui convient ? Comment naviguer pataphysiquement dans ces eaux dangereuses en évitant les écueils du pathos comme ceux du grand-guignol ? C’est ce que le T.S. Paul -Emile Victor nous montre à travers les récits de la grande famine de 1882-1883, recueillis entre 1934 et 1937 lors des ses séjours parmi les inuits Ammassalimiut (côte est du Groenland). Ces récits, enregistrés par le Satrape lui-même, ont été diffusés à la radio en 1956. Ils existent sous la forme d‘un coffret de trois CD, intitulé « La Grande Faim » (Frémeaux & Associés) et furent repris plus tard dans « Les Survivants du Groenland » (Laffont, 1977). Le livret qui accompagne le coffret de CD précise que les situations extrêmes qui y sont présentées sont « de nature à heurter un jeune public ». Par VIRIDIS CANDELA

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