Si l’association Stéphane Grappelli-Django Reinhardt unit les deux artistes immédiatement dans les esprits, le violoniste a eu une vie sans son partenaire de prédilection. Après les années du Quintette du Hot Club de France (1934-1939), Stéphane Grappelli reste à Londres. Les deux hommes se retrouvent à la Libération. Dans ce parcours, « le violoniste de Django » accompagne des chanteurs, duettise avec d’autres violonistes, avec ce supplément de fantaisie-poésie qu’il promène en toute circonstance.
Par Romain GROSMAN – SO JAZZ
Par Romain GROSMAN – SO JAZZ