Alain Gerber, qui a publié une biographie fictionnée à sa façon – Louie (Fayard) – avait déjà signé le livret épatant de cette anthologie en deux disques. « Cette voix qui unit le ciel et l’enfer », comme l’écrivait Philippe Soupault, l’alter ego swing d’André Breton, est ici dans tous ses états et justifie l’autre jolie citation en exergue : « En permanence, je suis partant pour écouter Armstrong, qu’il joue, qu’il chante ou qu’il parle. » Signé Count Basie.
Jazz News
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