André Comte-Sponville
Philosophe rationaliste, matérialiste (C’est celui qui estime que l’homme est un corps pensant et non un esprit qui habiterait un corps) et humaniste, André Comte-Sponville propose une sagesse pour notre temps. Il se définit comme « athée non dogmatique (C’est celui qui croit que Dieu n’existe pas, sans en faire une vérité absolue, une certitude) et fidèle ». Ancien élève de l’Ecole Normale Supérieure, agrégé de philosophie, docteur de troisième cycle, Docteur Honoris Causa de l’Université de Mons-Hainaut, en Belgique, il fut pendant longtemps Maître de Conférences à la Sorbonne. Il a aujourd’hui cessé d’enseigner, pour consacrer davantage de temps à l’écriture et aux conférences qu’il prononce en dehors de l’Université.
André Comte-Sponville participe régulièrement à un certain nombre de colloques et de publications universitaires, il écrit aussi dans la presse grand public (L’Express, Le Point, Le Nouvel Observateur, L’Evénement du Jeudi, L’Expansion, Le Monde, Libération, Le Magazine littéraire, Psychologies…). André Comte-Sponville deviendra connu du grand public en 1995 avec « Le Petit Traité des grandes vertus » qui lui vaudra de nombreuses invitations à la télévision (notamment de Michel Polac, Bernard Pivot, Jean-Marie Cavada, Christine Ockrent, Patrick Poivre d’Arvor, Franz-Olivier Giesbert, Guillaume Durand, Michel Field, Laure Adler, Frédéric Feney et Serge Moati).
« La Sagesse des Modernes », entretien avec Luc Ferry, lui permettra d’accéder au statut de philosophe libre mais ouvert à toute confrontation de pensée. C’est ainsi que sous l’initiative de François Laperou pour Arte Filosofia en 2006 il accepta un entretien avec le sinologue François Jullien sur la différence des visions occidentales et chinoises du bonheur. Paru chez Frémeaux & Associés en 2007, ce coffret de trois disques parlés devait recevoir un fort engouement du public (Lire, France Culture, Philosophie Magazine, etc.).
Début 2007, André Comte-Sponville revient sur son livre « L’Esprit de l’Athéisme » chez Albin Michel en réalisant un coffret de 3 CD audio intitulé « Qu’est-ce qu’une spiritualité sans Dieu ? ». Cet ouvrage répondant à l’athéisme de Michel Onfray qui expose en quoi les religions ne sont que des outils servant à dominer l’homme et à le couper de la réalité, affirme la morale chrétienne comme un actif culturel qui peut se vivre sans référence à Dieu ; André Comte-Sponville défend d’une certaine manière un « athéisme chrétien ». La vélocité intellectuelle du philosophe et son don pour rendre le cours magistral passionnant lui confèrent une audience similaire à celle de Michel Onfray et de Luc Ferry. En novembre 2008, André Comte-Sponville fait paraître « L’Amour » sous forme d’un coffret de trois CD audio qui donne au livre audio la primeur de son travail intellectuel sur un sujet transversal entre philosophie et béhaviorisme (sciences comportementales).
Patrick FREMEAUX
© 2008 FREMEAUX & ASSOCIES BIOGRAPHIE – LA LIBRAIRIE SONORE (BIO ANDRE COMTE SPONVILLE)
André Comte-Sponville participe régulièrement à un certain nombre de colloques et de publications universitaires, il écrit aussi dans la presse grand public (L’Express, Le Point, Le Nouvel Observateur, L’Evénement du Jeudi, L’Expansion, Le Monde, Libération, Le Magazine littéraire, Psychologies…). André Comte-Sponville deviendra connu du grand public en 1995 avec « Le Petit Traité des grandes vertus » qui lui vaudra de nombreuses invitations à la télévision (notamment de Michel Polac, Bernard Pivot, Jean-Marie Cavada, Christine Ockrent, Patrick Poivre d’Arvor, Franz-Olivier Giesbert, Guillaume Durand, Michel Field, Laure Adler, Frédéric Feney et Serge Moati).
« La Sagesse des Modernes », entretien avec Luc Ferry, lui permettra d’accéder au statut de philosophe libre mais ouvert à toute confrontation de pensée. C’est ainsi que sous l’initiative de François Laperou pour Arte Filosofia en 2006 il accepta un entretien avec le sinologue François Jullien sur la différence des visions occidentales et chinoises du bonheur. Paru chez Frémeaux & Associés en 2007, ce coffret de trois disques parlés devait recevoir un fort engouement du public (Lire, France Culture, Philosophie Magazine, etc.).
Début 2007, André Comte-Sponville revient sur son livre « L’Esprit de l’Athéisme » chez Albin Michel en réalisant un coffret de 3 CD audio intitulé « Qu’est-ce qu’une spiritualité sans Dieu ? ». Cet ouvrage répondant à l’athéisme de Michel Onfray qui expose en quoi les religions ne sont que des outils servant à dominer l’homme et à le couper de la réalité, affirme la morale chrétienne comme un actif culturel qui peut se vivre sans référence à Dieu ; André Comte-Sponville défend d’une certaine manière un « athéisme chrétien ». La vélocité intellectuelle du philosophe et son don pour rendre le cours magistral passionnant lui confèrent une audience similaire à celle de Michel Onfray et de Luc Ferry. En novembre 2008, André Comte-Sponville fait paraître « L’Amour » sous forme d’un coffret de trois CD audio qui donne au livre audio la primeur de son travail intellectuel sur un sujet transversal entre philosophie et béhaviorisme (sciences comportementales).
Patrick FREMEAUX
© 2008 FREMEAUX & ASSOCIES BIOGRAPHIE – LA LIBRAIRIE SONORE (BIO ANDRE COMTE SPONVILLE)
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