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“She is in top form” par Blues & Rhythm
Catégories : Article de presse ( Article de presse )This is the third instalment of this series (‘Mahalia Sings’) within a series (‘Complete Mahalia Jackson’), containing the songs filmed by the Television Enterprise Corporation (TEC) at the Paramount Studios in Hollywood in June and July 1961, following Mahalia’s return from a trip to Europe and The Middle East. As on the first two CDs dealing with this material (FA 1324 and Fa 1325, reviewed in B&R317 and 319 respectively), she is in excellent throughout, and as with ‘When The Saints…’ on the preceding volume. I was expecting very little from her version of the overworked ‘He’s Got The Whole World In His Hand’s and so was very pleasantly surprised with this impassioned version. The accompanying musicians include Mahalia’s regular pianist and musical director Mildred Falls, Edward C. Robinson mainly on organ and possibly also piano, with Louise Overall Weaver-Smothers also on organ. The jazzers Barney Kessel (guitar), Red Mitchell (bass), and Shelly Manne (drums) make occasional a [...]
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« Des interprétations désormais immortelles » par Classica
Catégories : Article de presse ( Article de presse )Enfin, à qui souhaite un premier contact avec l’une des plus grandes chanteuses de tous les temps , Billie Holiday, l’on ne saurait trop recommander cette Quintessence établie par l’excellent Alain Gerber, qui réunit quelques-unes de ses plus belles chansons, de 1947 à 1959. Outre un remarquable livret, l’auditeur bénéficiera d’interprétations désormais immortelles où la mélancolie le dispute à une passion déchirante.Par Jean-Pierre JACKSON - CLASSICA
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« Ces chansons qui ont bercé notre enfance » par Adem
Catégories : Article de presse ( Article de presse )Cet éditeur qui se donne comme but de préserver notre mémoire collective propose dans ce CD des chansons et comptines qui se transmettent de génération en génération et font donc partie de notre patrimoine immatériel et intemporel. L’intérêt du recueil ne réside pas seulement dans l’attrait de ces chansons qu’ont bercé notre enfance, mais aussi dans le fait qu’elles sont reprises en anglais, façon ludique d’introduire les enfants aux sonorités de cette langue. Le livret contient les textes dans les deux langues et le CD a reçu le « Grand Prix de l’Académie Charles Cros pour la défense du patrimoine sonore » Par ADEM
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« Racontées avec beaucoup d’entrain par Daniel Mesguich » par Adem
Catégories : Article de presse ( Article de presse )Guignol est un personnage né à Lyon, qui a fait beaucoup de métiers : tisserand, chanteur des rues, garçon de ferme, etc. C’est bien connu qu’il n’aimait pas beaucoup travailler. Il était gentil, un peu bête. L’auteur a adapté quelques-unes de ses aventures, écrites par Jean-Baptiste Onofrio, (quatre pour être plus précis) dans lesquelles on l’entend chanter, se lamenter, mais aussi être espiègle et faire des bêtises. Racontées avec beaucoup d’entrain par Daniel Mesguish, elles sont accompagnées d’une jolie musique due à Gabi Lavasseur. Guillaume Farley chante les chansons.Par ADEM
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« Un document exceptionnel » par Mythologie (s)
Catégories : Article de presse ( Article de presse )Ce document sonore exceptionnel, synthèse des cours donnés par le comédien lorsqu’il était professeur au Conservatoire national supérieur d’art dramatique en 1986-1987, est le fruit d’un long travail initié en 2006 par le metteur en scène Georges Werler, qui assistait alors le comédien et l’avait enregistré. Il vient compléter un premier disque (également disponible aux Editions Frémeaux & associés) dans lequel le comédien exprime le sens profond du métier d’acteur. Par MYTHOLOGIE(S)
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« La daronne du slam » par Causette
Catégories : Article de presse ( Article de presse )Pionnière du féminisme, elle a inventé l’art du parlé chanté, une sorte d’ancêtre du rap ou du slam. Yvette Guilbert fut, à la fin du XIXe siècle, la reine du café-concert. Ses textes drôles, truculents et engagés étaient, à l’époque, tout à fait d’avant-garde. Et la dame n’avait pas la langue dans sa poche ! Toulouse-Lautrec l’a immortalisée dans ses toiles, Proust lui a consacré un article et Freud est devenu son ami intime. Beau palmarès, la Yvette. Yvette en série. Episode 1 : Je ne sais quoi. Nathalie Joly se penche sur un demi-siècle d’amitié entre Freud et Yvette Gilbert. Les deux zigotos avaient un centre d’intérêt commun : les terres inconnues de la sexualité. Episode 2 : En vl’à une drôle d’affaire. La comédienne revient sur la départ d’Yvette pour New York et la création de son école de chant pour jeunes filles démunies. Episode 3 : Chansons sans gêne. Nathalie Joly explore la carrière cinématographique de Guilbert, qui la démarre à… 61 ans ! A contre-courant des normes [...]
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« Tout nous séduit » par Le Soir
Catégories : Article de presse ( Article de presse )C’est le septième volume de cette histoire sonore de la littérature française, formidablement racontée par Alain Viala et appuyée par des textes lus magnifiquement par Daniel Mesguich. Ici, on va d’une guerre à l’autre. D’Apollinaire et « Le Feu » de Barbusse à Aragon, Eluard et Desnos, via Proust, Gide, Malraux, Céline, Prévert… La voix grave de Viala, la voix posée de Mesguich, le propos, tout nous séduit.Par J.-C.V. – LE SOIR
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« Ça vaut le coup d’entendre Francis Lalanne » par Nos Echanteurs
Catégories : Article de presse ( Article de presse )« Ça vaut le coup d’entendre Francis Lalanne » par Nos EchanteursLe simple fait de chroniquer un disque de Lalanne déclenchera son lot de sarcasmes. Pour l’essentiel, on aura tort. Ça vaut le coup d’entendre Francis Lalanne dans l’habit des mots de Léo. Cette voix que nous avons aimé, qui s’empare de ces titres emblématiques que sont « Avec le temps, Les anarchistes, C’est extra, Vingt ans, L’affiche rouge (sur ce titre, convenons que Lalanne en fait sans doute un peu trop : il lalannise !), La mémoire et la mer. Et, en duo avec Ferré lui-même, Pauvre Rutebeuf ». Bon, on tiquera un peu sur cette archive sonore (tirée des Francofolies de la Rochelle 1987) où Ferré annonce le couplet nouveau que Lalanne adjoint au « Temps des cerises » et interprète. Suivent deux amples chansons (10’57 et 8’44) de Lalanne, aussi inédites qu’intéressantes, consacrées à Léo, en « mode Ferré ». (...)Par Fred HIDALGO – NOS ENCHANTEURS