-
« Un ouvrage maîtrisé dévoilant le génie du Duke » par Vincennes Info
Catégories : Article de presse ( Article de presse )« Il y a chez Duke Ellington une noblesse qui confère au jazz son statut de musique, non seulement populaire mais aussi aristocratique. Duke, c’est la Révolution française à l’envers », explique l’éditeur vincennois Patrick Frémeaux. Et grâce à son œil perspicace d’éditeur spécialisé, « Ko-Ko, Duke Ellington en son chef-d’œuvre » d’Alain Pailler vient d’être réédité, pour le plus grand bonheur des aficionados de jazz et de celui qu’on surnommait le Duke. Une nouvelle édition enrichie, corrigée et augmentée. « Ko-Ko » est un ouvrage maîtrisé dans l’écriture et l’analyse dévoilant à nouveau la magie ellingtonienne tout en s’interrogeant sur la nature de ce génie. « Ko-Ko », c’est aussi et de loin le meilleur album de Duke Ellington, produit en 1940. C’est dissonant, ça manque un peu de mélodie comme de « swing », et évoque, en filigrane, une ambiance menaçante. Finalement, « Ko-Ko » demeure un chef d’œuvre d’instrumentation et d’imagination… A redécouvrir sous la plume d’un passionn [...]
-
« Un somptueux feu d’artifice » par Centre France
Catégories : Article de presse ( Article de presse )Un vrai petit miracle, un cadeau des cieux ! A tous les admirateurs du Grand Duc, soit Duke Ellington, les épatantes Editions Frémeaux & Associés offrent un somptueux feu d’artifice. Une évocation fulgurante, passionnée et ultra documentée de la trajectoire éblouissante du Big Band entre 1940 et 1942, soit à l’apogée de son génie. Alain Pailler, l’un des meilleurs connaisseurs français d’Ellington, sort une édition revue et augmentée de son « Ko-Ko ». En moins de 200 pages foisonnantes, il nous plonge au cœur du processus créatif du Duke, et c’est magistral. Un bouquin à explorer en se gavant d’un véritable nectar : 94 titres légendaires de l’orchestre, composés de 1940 à 42, choisis par mister Pailler en personne et déclinés au fil de quatre CDs impeccables. Toute la magie est là, éternelle, des Barney Bigard, Ben Webster, Jimmy Blanton, Johnny Hodges et autres Cootie Williams, sans oublier la patte, aux arrangements, de Billy Strayhorn, l’alter ego du patron. « En 1940, on tenai [...]
-
« Un somptueux feu d’artifice » par Centre France
Catégories : Article de presse ( Article de presse )Un vrai petit miracle, un cadeau des cieux ! A tous les admirateurs du Grand Duc, soit Duke Ellington, les épatantes Editions Frémeaux & Associés offrent un somptueux feu d’artifice. Une évocation fulgurante, passionnée et ultra documentée de la trajectoire éblouissante du Big Band entre 1940 et 1942, soit à l’apogée de son génie. Alain Pailler, l’un des meilleurs connaisseurs français d’Ellington, sort une édition revue et augmentée de son « Ko-Ko ». En moins de 200 pages foisonnantes, il nous plonge au cœur du processus créatif du Duke, et c’est magistral. Un bouquin à explorer en se gavant d’un véritable nectar : 94 titres légendaires de l’orchestre, composés de 1940 à 42, choisis par mister Pailler en personne et déclinés au fil de quatre CDs impeccables. Toute la magie est là, éternelle, des Barney Bigard, Ben Webster, Jimmy Blanton, Johnny Hodges et autres Cootie Williams, sans oublier la patte, aux arrangements, de Billy Strayhorn, l’alter ego du patron. « En 1940, on tenai [...]
-
« Un livre captivant, menant à des prises de conscience » Par Vincennes Info
Catégories : Article de presse ( Article de presse )Qui ne connaît pas l’astrophysicien Hubert Reeves, capable de vulgariser une science complexe et pourtant ô combien passionnante mais aussi de transmettre à tous son savoir ? C’est justement pour aller plus loin dans cette idée d’expliquer et de démocratiser l’accès aux connaissances en matière d’astronomie et de physique qu’Hubert Reeves et son fils Benoît ont choisi d’écrire ce livre. On y retrouve les principales questions posées régulièrement à l’astrophysicien de talent : les trous noirs mangent-ils les étoiles ? Pensez-vous qu’il existe des civilisations extraterrestres ? avec ce réchauffement, comment peut-on imaginer à plus long terme l’avenir de la terre ? Autant de questions qui nous taraudent l’esprit et pour lesquelles avoir l’éclairage d’Hubert Reeves est fondamental. Ce livre est aussi un témoignage émouvant que les Editions vincennoises Frémeaux ont eu l’exclusivité de publier : « Nous avions pu discuter par téléphone au cours des semaines précédant sa disparition e [...]
-
« Les années les plus prolifiques du Duke en 4 CD » par Jazz Magazine
Catégories : Article de presse ( Article de presse )Un précieux coffret : trois des plus prolifiques années de Duke Ellington sur le label RCA Victor. Les « pièces maîtresses » y sont regroupées sur les deux premiers CD, et dûment analysées dans le livret par Alain Pailler, qui multiplie les notations techniques er historiques. On y trouve les plus beaux solos de l’histoire du swing : le tromboniste Juan Tizol sur « Ko-Ko », Cootie Williams sur le culte « Concerto For Cootie », et bien sûr le Duke lui-même sur « Take The ‘A’ Train ». Le troisième CD rassemble des pièces plus ordinaires, relevant de la crème commerciale de l’époque, mais dénotant une certaine historicité (un « Sherman Shuffle » à la gloire des blindés, ou encore « Hayfoot Strawfoot », rapportant l’effort de guerre des conscrits venus des campagnes). Il permet aussi de redécouvrir, sur les quatre dernières pistes, le duo Ellington-Jimmy Blanton. On peut entendre l’assise formidable que constituait le contrebassiste sur « Bli Blip », et ses improvisations particulière [...]
-
« Jay Jay Johnson, un tromboniste au charisme incontestable » par Jazz Magazine
Catégories : Article de presse ( Article de presse )Chaque période de l’histoire du jazz a vu l’émergence d’un musicien que son charisme désigne comme un leader incontestable. Jay Jay Johnson a transcendé toutes les frontières. Sans remonter à l’Antiquité, celle des Kid Ory ou Honoré Dutrey, les trombonistes ne font pas exception. Ainsi, Jay Jay Johnson aura-t-il marqué de son empreinte toute la période du bop, des racines jusqu’au hard bop. En témoigne cette sélection d’enregistrements couvrant plus de cinq lustres, de 1945 à 1961. Dans le premier CD, il dirige des formations où figurent Sonny Rollins, Stan Getz, Bud Powell, ou encore Charlie Mingus, sans préjudice à d’autres célébrités. Voilà qui laisse déjà présager du niveau musical et de la variété des styles. Le second CD, où il apparaît comme sideman, confirme, outre la qualité du tromboniste et sa technique éprouvée, sa capacité d’adaptation. De Benny Carter à Miles Davis en passant par Benny Golson ou le big band de Dizzy Gillespie, nulle fracture, nul grand écart, mais un [...]
-
« Une fête » par Mediapart
Catégories : Article de presse ( Article de presse )« John Birks Gillespie, dit Dizzy (1917-1993), trompettiste génial dont les joues se gonflaient d'une manière hallucinante et qui possédait l'une des plus grandes techniques de son époque, a été l'un des maîtres du Be-bop, avant de se passionner pour les musiques dites "latines" et "tropicales". En écoutant le merveilleux double-disque "Dizzy Gillespie Live in Paris" (label Frémeaux et associés) vous serez tous embarqués dans une fête, à la vitesse d'une Buick vert-pomme lancée à vive allure boulevard Saint Germain. » Par Frédérick CASADESUS – MEDIAPART
-
« Un véritable monument ! » par ABS Magazine
Catégories : Article de presse ( Article de presse )« Waouh ! Exceptionnel ! Un véritable monument ! 171 titres dont 15 live jamais publiés ! Indispensable si vous voulez suivre et comprendre l’évolution de 1944 à 1962 de l’un des plus grands artistes du XXe siècle. Les quatre premiers CDs sont consacrés à son inspiration, les trois autres à l’influence qu’il a pu avoir sur les autres musiciens de son époque. Il y a souvent trois ou quatre fois le même titre, dans des interprétations différentes, ce qui est très intéressant. Il ne faut pas oublier que le jeune Ray, aveugle à l’âge de 7 ans, a passé huit années dans une école pour aveugles et sourds (St Augustine en Floride) où il a appris à lire le Braille et à mémoriser de longs morceaux de musique classique. Il y avait même appris à jouer de la clarinette. À sa sortie, il savait qu’il voulait devenir musicien professionnel. Les débuts font l’objet des CD 1 et 2. En 1949, il forme un trio et enregistre pour Down Beat et Swingtime. Il est alors sous l’influence des crooners comm [...]