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  • « Un jazz de chambre qui ré-enchante nos oreilles » par Jazz Mag
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    L’occasion de redécouvrir un groupe dont on ne parle plus beaucoup aujourd’hui bien qu’il fut remarquable à plus d’un titre. Crée au début des années 50, le MJQ trouva rapidement son effectif définitif, soit une stabilité de quarante ans, exceptionnelle dans l’histoire d’une musique où le personnel des formations changea souvent au gré du succès, des orientations musicales ou les disponibilités des musiciens. Le pianiste John Lewis en assura vite la direction et définit très tôt le « son » de l’orchestre en inventant une sorte de « jazz de chambre » aux antipodes du hard bop naissant. Le succès ne se fit pas attendre et ces enregistrements de trois concerts donnés à l’Olympia en 1960 et 61 montrent un orchestre en pleine maturité qui ne sacrifie pas l’invention sur l’autel de l’efficacité. Des standards revisités, bien sûr, mais aussi des compositions du pianiste qui, à côté de pièces déjà connues à l’époque (« Django » ou plusieurs morceaux de la musique qu’il avait écrite pour l [...]

  • « Des pièces d’anthologie » par L’Alsace
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    « Chanteuse de cabaret du siècle dernier, Yvette Guilbert (1865-1944) est ici respectueusement remise au goût du jour par Nathalie Joly. Drôles et touchantes, ces « Chansons sans gêne » dévoilent des vies de femmes serviles ou insoumises. Des pièces d’anthologie. »Par Thierry BOILLOT – L’ALSACE

  • « Marc Benham réussit une vision personnelle » par Pianiste Magazine
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    Fats Waller ne fut pas seulement un jovial fantaisiste : il fut aussi un formidable pianiste. Les plages qu’il enregistra en piano solo demeurent des joyaux admirables de ductilité et d’entrain. Renouveler leur approche exigeait d’abord une bonne connaissance de leurs détours et de leurs difficultés, mais aussi, et c’est là que Marc Benham réussit, une vision personnelle. Il fait ressortir avec pertinence les ombres romantiques qui s’y dissimulent et parvient en outre à ajouter une fantaisie nouvelle à celle du grand Fats. Le redoutable « Carolina Shout » de James P. Johnson, dont Fats Waller fut un exceptionnel interprète, y révèle ainsi de nouvelles beautés. Là où le pari est plus hautement remporté encore, c’est avec « Les Barricades mystérieuses » de Couperin où Marc Benham nous amène à songer que le piano de Fats Waller ne représente pas seulement un style interprétatif mais un esprit.Par Jean-Pierre JACKSON – PIANISTE MAGAZINE

  • « Un pur délice » par Le jars jase jazz
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    « Après " Herbst " voici le deuxième album de Marc Benham, de nouveau seul face au piano. Le manchot est de retour sur la pochette. Un animal fétiche forcément satirique tant l'artiste n'est pas manchot, justement. Formé au classique, fan de stride, né dans les années Disco, Marc Benham fait le pont entre Tin Pan Alley et les mangas. Il s'empare ici d'un génie cosmicomique du Jazz, le pianiste et compositeur Theodore Fats Waller. Contrairement à Jason Moran qui, à partir du même sujet, produisit un pudding indigeste à base de sirop de synthétiseur et de nappes de voix sucrées, Marc Benham nous offre un Saint Honoré fondant et croquant, un pur délice fait maison. Que les compositions soient de Fats Waller ou de lui même, Marc Benham fait chanter le piano, nous raconte des histoires joyeuses ou tristes mais toujours légères, d'un rythme impair sur lequel rien ne pèse ni ne pose. Pour un hommage aussi respectueux à la tradition mais sans copie, rien de tel que les éditions Frémeaux e [...]

  • « Un tandem créatif » par Paris On the Move
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    « Dans notre bel Hexagone, le premier tremplin de promotion pour ce qu'on appelle désormais les artistes en émergence n'a pas toujours été la Nouvelle Star. Dans les années 60-70, les Maisons de la Culture lancées par Malraux constituèrent un creuset fécond pour une expression musicale en marge des circuits établis. C'est là que les Variations, Magma, Ange et autres Moving Gelatine Plates se firent d'abord les dents. C'est également ce réseau qui diffusa, en formule ciné-club, le fameux film de Gébé "L'An O1", et dans sa foulée, tout un courant de nouvelle chanson post-soixante-huitarde. Dans l'ombre de figures tutélaires comme François Béranger, Catherine Ribeiro et Colette Magny, quelques jeunes artisans y poursuivirent ainsi une carrière aussi modeste que persévérante. L'éditeur Le Chant Du Monde prenait alors souvent le relais des majors de l'époque pour diffuser ces propagateurs d'utopie. S'étant rencontrés en 67, David Jisse et Dominique Marge (nom prédestiné s'il en fut) co [...]

  • « Strictement indispensable » par Classica
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    Le 12e volume de l’intégrale Charlie Parker est strictement indispensable. Outre des séances en studio essentielles, dont celle au saxophone ténor avec Sonny Rollins et Miles Davis, de très nombreux enregistrements radio parfaitement restaurés, il comprend le célébrissime concert au Massey Hall de Toronto (notre discothèque idéale n°4), dans une qualité sonore supérieure à tout autre édition. Par ailleurs, le livret documenté d’Alain Tercinet éclaire pertinemment le contexte de ces années fabuleuses. On n’hésite pas : on puise dans ses économies  Par Jean-Pierre JACKSON - CLASSICA

  • « C'était les années 1970, l'âge d'or de la musique cajun » par Le Monde
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    « Coréalisateur du documentaire Louisiana Blues (Le Monde du 17 juin 2005), tourné en 1993, Jean-Pierre Bruneau était déjà allé, vingt ans plus tôt, goûter au sel et à la truculence des musiques cajun et créole de la Louisiane. Il en avait ramené ces images de folles embardées, de violons, d'accordéons tourbillonnants, de swing exubérant, de chanteurs au timbre gouailleur et de guinche rigolarde. Les maîtres à danser s'appelaient Dennis McGee, les frères Balfa, Cleveland et Clifton Chenier, Bee Fontenot... Ils participaient au sens musical de l'époque en Louisiane. C'était les années 1970, l'âge d'or de la musique cajun. Tourné en 1972, présenté dans une version restaurée, ce portrait chaleureux de la culture des bayous, incluant notamment une longue séquence consacrée à Mardi gras, tradition toujours vivace en Louisiane, peut aussi se regarder comme un témoignage éloquent sur une poche de résistance francophone en terre d'Amérique. »Par Patrick LABESSE – LE MONDE

  • « Un jazzman dans le plus profond de l'âme » par Les dernières nouvelles du jazz
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    « Marc Benham avait déjà fait très forte impression avec son premier CD, « Herbst », enregistré en 2011-2012, et finalement publié par Frémeaux en 2013. Rompu au métier (le jazz traditionnel, la variété, l'électro....), c'est pourtant un jazzman dans le plus profond de l'âme, familier des clubs parisiens (Sunside, Caveau des Légendes). Il serait commode (et forcément réducteur) de le définir comme solaloïde , car le grand Martial Solal l'adoube de propos élogieux. Il y a chez lui ce goût du rebond, de la fantaisie, de l'inattendu, et toujours avec une intelligence musicale aiguë. Comme Martial c'est un adepte du « chemin aux sentiers qui bifurquent », et sa maîtrise de l'instrument, autant que son pouvoir de concentration sur l'instant improvisé, lui permettent des écarts inouïs. Pour ce disque, Marc Benham a choisi de revisiter l'univers de Fats Waller, avec une connaissance et un respect qui n'excluent pas de le ripoliner de teintes nouvelles. D'entrée de jeu, il agrémente l'étr [...]

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