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  • « Indispensable ! » par le Cri du Coyotte
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    Eloignés des grands circuits de distribution musicale sur les ondes par la couleur de leur peau, les vrais fondateurs du rock’n’roll n’ont pas été connus du grand public, auquel on a surtout donné à entendre en boucle Elvis, Jerry Lee et consorts, roses de peau et non crépus. Dans un mastering d’une qualité époustouflante, Frémeaux propose un triple CD de « black rock music », véritable découverte et nid de pépites que l’on regrette,dès la première écoute, de ne pas avoir connues et aimées plus tôt. Dès la troisième piste du 1er CD on est en plein dans le genre avec Memphis Slim « Rockin’ The House » et la suite est un régal. Jimmy McCracklin « Rock And Rye, Rockin’ All Day », Gore Carter « Rock Awhile », Wynonie Harris « All She Wants To Do Is Rock », Cecil Gant (Killer avant l’heure!) “We’re Gonna Rock”, Tiny Bradshaw “I’m Going To Have Myself A Ball, The Train Kept A Rolling”, Little Richard  “ Get Rich Quick”, Jackie Brenston “My Real Gone Rocket”, Roy ‘Baldhead’ Byrd “Rockin’ [...]

  • “Un témoignage nostalgique” par Blues & Co
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    Quand on aime le rock and roll de Chuck Berry, Eddie Cochran, Little Richard, Wanda Jackson ou Elvis Presley, Il serait normal d’être moqueur lorsqu’on écoute les copies de certains de nos chanteurs des années 60-62. Le véritable rock and roll nous vient des USA. Il appartient au patrimoine culturel américain, tout comme Brassens, Ferré, Brel et les chanteurs à textes le sont pour notre pays. Nous resterons toujours les sous produits de ces rythmes endiablés venus d’outre atlantique. Mais voilà !, il y a cette époque vécue pour un bon nombre d’entre nous autour du mythique Teppaz et ses piles de vinyles 45t de chanteurs yéyés, les virées au Golf Drouot et les boums en province. Dans ce coffret de trois CD comprenant soixante quinze titres, figurent les Chaussettes Noires d’Eddy Mitchell, les Chats Sauvages de Dick Rivers, Johnny Hallyday, Burt Blanca, Sylvie Vartan, Frankie Jordan… et une multitude de groupes éphémères qui ont animé toutes ces soirées de teenagers : Pirates avec D [...]

  • « Quelle époque ! » par Jazz News
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    Si l’histoire est connue, ne boudons pas notre plaisir de voir paraître ces trois CD documentant les passages parisiens de la tournée Jazz at the Philharmonic en 1958 et 1960. Notamment parce que de réels morceaux de bravoure sont désormais disponibles dans le plus grand des conforts (de son et de présentation, comme toujours chez Frémeaux). Comme la découverte par le public européen de l’orchestre phare du jazz West Coast, Shelly Manne and his Men où brillent  Richie Kamuca et Joe Gordon. Stan Getz s’y taille également la part belle, soit avec son éphémère quartette venu du Danemark, soit avec la cohorte de légendes du jazz qu’étaient Benny Carter, Coleman Hawkins ou Don Byas, plus consensuels que le quintette de Miles Davis avec John Coltrane qui fit tant de vagues. Enfin Dizzy Gillespie survole l’ensemble dans une maestria de technique et de musicalité. Quelle époque !Par Bruno GUERMONPREZ – JAZZ NEWS

  • « La qualité des textes et la finesse des mélodies » par Le Monde
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    « David Jisse, âgé de 70 ans, semble avoir autant de vies que les chats avec lesquels il partage le sens de l’observation et le goût de l’itinérance. Sans jamais ronronner, ainsi que le savent les amateurs de musique contemporaine qui le rencontrent depuis des lustres dans des situations toujours inattendues, comme organisateur (à la tête de La Muse en circuit, le centre de création musicale qu’il a dirigé de 1998 à 2013) ou comme compositeur (principalement de musique électro-acoustique). Avant de jouer avec les micros (y compris comme producteur à Radio France), David Jisse est entré en musique comme auteur-compositeur-interprète de chansons présentées en duo avec sa partenaire Dominique Marge. L’intégrale que l’on découvre aujourd’hui frappe par la qualité des textes et la finesse des mélodies. Elle couvre vingt ans de création multipistes. L’époque (par exemple, celle du Michel Berger de Starmania ou celle du Michel Legrand des tubes entre jazz et classique) est toujours perce [...]

  • « Chaque note rend un hommage lascif à la beauté » par Télérama
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    « Une anthologie rend hommage à cet héritier oublié de Coleman Hawkins, qui faisait du saxophone ténor une arme de séduction massive. Don Byas apparaît comme le grand oublié de l'histoire du saxophone ­ténor, où il se situe idéalement entre Coleman Hawkins et Sonny Rollins. Né en 1912, il commença très tôt mais ne réalisa son premier enregistrement qu'assez tard, en 1938. De 1941 à 1943, il succéda à Lester Young dans la section de saxophones du Count Basie Orchestra. Il y fit merveille. Sa sono­rité avait la majestueuse beauté d'une cathédrale, il en jouait avec un art consommé. On s'en fait d'emblée la meilleure idée en l'écoutant interpréter vingt-quatre mesures dans Harvard Blues (1941), où il précède le chanteur Jimmy Rushing, à la voix éraillée. Cette façon de composer un chorus avec une imparable logique tout en jouant la ­séduction du son pour le son, on la ­retrouve tout particulièrement dans les ballades, mais aussi dans les tempos TGV, comme Cherokee, qu'il dévale en sc [...]

  • « Un petit régal » par Chant… Songs
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    « Riche idée des éditions Frémeaux & Associés que de publier Georges Moustaki et ses premiers interprètes, une intégrale 1955-1962 des œuvres du futur auteur du Métèque qui portait, à ses débuts, un autre patronyme. Tout le monde sait qu’Edith Piaf fut la première à faire connaître le style de Moustaki par son interprétation de Milord. Et pourtant, la grande artiste a aussi chanté magnifiquement Eden Blues, Les Orgues de barbarie. Grâce à ce coffret de trois CD, on redécouvre ces versions oubliées et celles d’autres interprètes de Moustaki qui le firent connaître bien avant qu’il ne devienne célèbre. Que ce soit Michèle Arnaud à la manière de chanter légère et parfois profonde (Pourquoi mon dieu)  à Henri Salvador avec C’est celle que j’aime, en passant par le travail toujours fascinant d’une Barbara dont la version de Vous entendrez parler de lui est d’une absolue modernité et offre son écrin vocal à l’univers original et poétique du barde grec né en Egypte. En écoutant le coffre [...]

  • « Un beau programme pas si facile à réunir » par Jazz Magazine
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    L’accordéon américain en 3 CD, le premier consacré au Brésil (Chiquinho, Luis Gonzaga, Sivuca, Mario Gennari), un fourre-tout plus « rural » très incomplet à dominante dominicaine (les affolantes basses flottantes du merengue !) et enfin un CD consacré au jazz : Art Van Damme, Matt Matthews (avec Oscar Pettiford et Kenny Clarke), Tommy Gumina avec Buddy DeFranco, Pete Jolly avec Shorty Rogers et Jimmy Giuffre, Orlando Digirolamo alias Lanny Dijay avec Teo Macero. Tout ça un peu en vrac, mais un beau programme pas si facile à réunir.Par Franck BERGEROT – JAZZ MAGAZINE

  • « Ces all stars offrent peu de mauvais moments » par Jazz Magazine
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    Alain Tercinet qui a pris en main les liner notes de ce nouveau Live un Paris, s’interroge avec nous quant à la présence, le 30 avril 1958, de Sonny Stitt aux côtés de Roy Eldridge et Coleman Hawkins et pas avec Dizzy Gillespie et Stan Getz figurant à la même affiche. On accordera que ces all stars offrent peu de mauvais moments, avec des instants de grâce lorsque chacun s’isole à tour de rôle avec la rythmique (Lou Levy, Herb Ellis, Max Bennett, Gus Johnson) le temps d’une ballade. Le 25 novembre 1960, selon le même principe (morceau de chauffe du all stars, puis ballades en quartette), Benny Carter prend la place de Stitt aux côtés de Roy et Hawk, plus Don Byas (seul sur « I Remenber Clifford » qu’on ne connaissait pas encore au répertoire du ténor, et dessaisi de « Laura » par Carter) avec une rythmique empruntée à Dizzy (Lalo Schifrin, Art Davis, Chuck Lampkin étant remplacé par Jo Jones). Mais le sommet de cette soirée, c’est la restitution par Dizzy et son quintette de « Gil [...]

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