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« Un joli cadeau » par Daily Books
Catégories : Article de presse ( Article de presse )« Attendez un peu avant de regretter le fait que je vous parle de chanson et vous présente un triple CD. Regardez la photo qui illustre la jaquette. En accord avec l’information qui ajoute Raymond Queneau et Paul Braffort vous pouvez y reconnaitre en costume et cravate un monsieur à lunettes et les Frères Jacques sur la plate-forme d’un autobus parisien. L’individu en costume c’est Raymond Queneau. Vous retrouverez dans le CD n°2 un extrait des célèbres « Exercices de Style » de Raymond Queneau. Dans le CD n°1 outre la célèbre « Si tu t’imagines » en plusieurs versions dont deux de Juliette Greco on découvrira que Guy Béart a composé au moins deux musiques sur des poèmes de Queneau, que le chorégraphe Roland Petit a chanté et composé une musique et peut-être plus surprenant que Johnny Hallyday a écrit la musique de « Je te tuerai d’amour », poème de Raymond Queneau que chantait Zizi Jeanmaire en 1962. Si vous vous souvenez de « Si tu t’imagines », vous savez que le sens de ce tex [...]
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« Indispensable !» par Jazz Magazine
Catégories : Article de presse ( Article de presse )L’anthologie musicale de l’exposition « Beat Generation » du Centre Pompidou qui se tient jusqu’au 3 octobre ? Le label Frémeaux & Associés vient de l’éditer en 3 cd remplis de trésors jazz (Heckler’s Hop de Roy Eldridge, Shulie A Bop de Sarah Vaughan, But I Was Cool d’Oscar Brown, Jr…) Et spoken word (Is There A Beat Generation ? de Jack Kerouac, Howl d’Allen Ginsberg, The Nazz de Lord Buckley…Indispensable.Par JAZZ MAGAZINE
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« Aussi surprenant qu’enthousiasmant » par Jazz Magazine
Catégories : Article de presse ( Article de presse )Après plus de quarante ans d’une carrière déjà bien remplie, on pourrait s’attendre à ce que Didier Lockwwod se laisse tranquillement glisser en pente douce, en vivant sur ses acquis et sa notoriété. Il n’en est rien, comme le prouve avec brio ce nouvel album, aussi surprenant qu’enthousiasmant. Non content d’avoir abordé pratiquement tous les styles et dérivés du jazz depuis ses débuts, le violoniste s’est en effet attelé à un projet original et assez audacieux avec « Apesentar ». entouré de ses vieux amis et complices Sourisse et Charlier, Lockwood s’est adjoint les services de Philippe Balatier, le « beatmaker » de NoJazz, pour enregistrer, « en une prise directe », comme il est précisé sur la pochette, un ovni musical en forme de suite s’écoulant d’un seul tenant. Largement improvisés, les seize tableaux sonores de cette création collective alternent les climats, allant du planant à l’électro en passant par la fusion, le hip hop et même le swing, le tout relevé de parfums indi [...]
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« Un pianiste des plus honorables » par Jazz Magazine
Catégories : Article de presse ( Article de presse )Révélation avec ce même trio, du festival d’Antibes 1961, Les McCann fut un musicien controversé. Imposteur pour les uns, génial novateur pour d’autres, il ne méritait « ni cet excès d’honneur, ni cette indignité ». Ce concert enregistré live au Caméléon, avec tous les avantages et inconvénients que cela suppose, permet de faire fi des a priori et de juger sur pièce. On y entend un pianiste des plus honorables, nourri de gospel et de blues, pratiquant, avant que la mode ne s’en empare, un jazz mâtiné de soul.Par Jacques ABOUCAYA – JAZZ MAGAZINE
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« La suite menée par le spécialiste J.P.Meunier » Par Jazz Magazine
Catégories : Article de presse ( Article de presse )Suite d’une anthologie menée par le spécialiste Jean-Pierre Meunier, ce triple CD nous entraîne sur des routes qui croisèrent souvent celles du jazz au voisinage du Bal Colonial de la rue Blomet, de la Coupole ou de la Cigale, etc. Les héros en sont le trompettiste Abel Beauregard, le tromboniste Al Lirvat, les altistes et clarinettistes Félix Valvert, Sylvio Siobud, Robert Mavounzy, le violoniste Ernest Léardée, le pianiste Bernard Sardaby (père de Michel), le guitariste chanteur Pierre Louiss (père d’Eddy Louiss) et bien d’autres…Par Alfred SORDOILLET – JAZZ MAGAZINE
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« Une anthologie essentielle » par Jazz Magazine
Catégories : Article de presse ( Article de presse )Du jazz jamaïcain, on connaît surtout certaines figures semi-légendaires qui émergèrent au début des années 1960 pour inventer le ska au sein des Skatalites : les Roland Alphonso, Don Drummond, Tommy McCook et autres Ernest Ranglin – La plupart anciens élèves de la fameuse Alpha School, une école catholique dont la Sœur Ignatius possédait une impressionnante discothèque jazz et inculqua aux adolescents de précieuses leçons d’harmonie. On retrouve sur cette anthologie leurs rarissimes premiers enregistrements ensemble, pré-Skatalites, au sein du Cecil Lloyd Group, en 1962. L’un des trésors de ces trois CD, qui devraient faire sortir de l’ombre des musiciens dont l’histoire a, injustement, oublié le nom. Ainsi du saxophoniste Joe Harriott, dont le vocabulaire et l’évolution n’avaient pas grand-chose à envier à ses homologues américains , d’une reprise de « Cherokee » à une autre de « Caravan » appuyée par des tambours, en passant par des flirts avec le free (Impression, Calypso Sket [...]
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« Une belle moisson de raretés au son craquant ! » par A/R
Catégories : Article de presse ( Article de presse )« Qu’y avait-il avant le reggae ? Ce label avait déjà documenté les débuts du ska et les musiques rituelles des campagnes jamaïcaines ; voilà qu’il ressuscite sur trois rondelles le jazz de l’île, des débuts au sein de la diaspora londonienne à la fusion du hard bop et des percussions rastas. Le tout baigne dans une chaude décoction de rythmes caribéens, avec de nombreux emprunts au mento, l’équivalent local du calypso de Trinidad. Une belle moisson de raretés au son craquant ! »Par François MAUGER – A/R
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« Erratique et pourtant… » par Jazz Magazine
Catégories : Article de presse ( Article de presse )La fin approche, la carrière se fait erratique et pourtant… Certes, la discographie officielle s’effiloche e nous n’en aurons ici, sous le nom de Charlie Parker, que la belle séance Clef/Verve en quartette (Hank Jones, Teddy Kotick, Max Roach) du 30 décembre 1952 (Kim, Cosmic Rays…). Au merveilleux succède le décevant où, le 30 janvier 1953 sous le nom de Miles Davis pour Prestige, Bird joue du ténor. La séance Clef du 25 mai arrangée par Gil Evans repoussée au volume suivant pour des raisons d’encombrement est remplacée par une radio au Birdland le 30 mai avec Bud Powell, Charles Mingus, Art Taylor et Candido, ces deux derniers cédant la place au seul Max Roach sur « Dance Of The Infidels ». Un feu d’artifice ! Des captations au Birdland, il y en aura d’autres : le 9 mai avec John Lewis, Curley Russell et Kenny Clarke, le 23 plus anecdotique en quintette plus invités (Miles, Dizzy Gillespie et Joe Carroll). On trouve encore ici le célèbre Quintet of the Year (Dizzy, Bud, Mingus e [...]