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« Des moments musicaux exceptionnels » par Le Quotidien du médecin
Catégories : Article de presse ( Article de presse )« Le label français Frémeaux & Associés, qui s'affiche comme « éditeur du patrimoine sonore », poursuit sa réédition, dans plusieurs collections distinctes, de jazzmen et trésors du passé.(…) Le volume 11 de l’intégrale Charlie Parker (1920- 1955), sous-titré « This Time The Dream's On Me- 1952 ». À l'exception de la reprise d'un très beau disque du Bird avec des cordes enregistré à New York en septembre 1952, l'essentiel de ce triple CD est consacré à des retransmissions radiophoniques. Des moments musicaux exceptionnels, rares voire inédits, souvent d'une assez bonne qualité sonore et qui permettent de réentendre le magnifique saxophoniste-alto, trop tôt disparu, entouré de complices nommés Dizzy Gillespie, Charles Mingus, Max Roach, Roy Haynes ou encore en quintet avec les membres du MJQ. » Par Didier Pennequin – LE QUOTIDIEN DU MEDECIN
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« Légendaire » par L’Echo Républicain
Catégories : Article de presse ( Article de presse )« Le jazz a une longue et prestigieuse histoire que les éditions Frémeaux remettent régulièrement au goût du jour avec respect et talent. Petit tour d’horizon des dernières sorties. Charlie Parker. À tout seigneur, tout honneur. Les décennies passent, et le saxophoniste est toujours dans toutes les mémoires. À tel point qu’il existe une chapelle de fans qui tentent de collectionner chaque bribe d’enregistrement du légendaire jazzman. Le volume 11 de son intégrale est bien entendu destiné à ce public de connaisseurs qui n’en ont jamais assez. On y trouve quelques sessions historiques, comme les jam chez Norman Granz ou le fameux Charlie Parker with strings, avec le meilleur son possible. Légendaire. » Par Rémi BONNET – L'ECHO REPUBLICAIN
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« Vital aujourd’hui » par L’Echo Républicain
Catégories : Article de presse ( Article de presse )« Le jazz a une longue et prestigieuse histoire que les éditions Frémeaux remettent régulièrement au goût du jour avec respect et talent. Petit tour d’horizon des dernières sorties. (...) C’est peut être le dernier survivant de la génération bebop encore en activité. Le deuxième volume de la compilation The Quintessence rassemble quelques grands moments de sa carrière, comme le fameux The Bridge (1962), l’un de ses nombreux classiques. Encore vital aujourd’hui pour tous les apprentis saxophonistes comme pour les amateurs de jazz vintage. »Par Rémi BONNET – L’ECHO REPUBLICAIN
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« Un artiste qui mérite d’être redécouvert » par L’Echo Républicain
Catégories : Article de presse ( Article de presse )« Le jazz a une longue et prestigieuse histoire que les éditions Frémeaux remettent régulièrement au goût du jour avec respect et talent. Petit tour d’horizon des dernières sorties. (...) Ce saxophoniste américain, au son ample, est resté dans les mémoires pour avoir accompagné quelques grands noms du jazz, comme Count Basie, Dizzie Gillespie ou encore Billie Holiday, mais il a aussi connu quelques succès en solo, comme le célèbre Laura, tiré du film du même nom. Ce New York Paris 1938-1955 présente toutes les facettes d’un artiste qui mérite d’être redécouvert par les aficionados. »Par Rémi BONNET – L’ECHO REPUBLICAIN
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« Passionnant » par Jazz Magazine
Catégories : Article de presse ( Article de presse )« Je vous conseille d’écouter au plus vite le passionnant triple album CD qui vient tout juste de sortir chez Frémeaux & Associés : Haïti Vaudou : Ritual Music from the first Black Republic. Saviez-vous que le thème de “Kulu Se Mama” de John Coltrane est très fortement inspiré d’une chanson haïtienne écrite dans les années 50 par le saxophoniste alto Raoul Guillaume. Son titre ? “Komplent Peyizan’n”, autrement dit ”Complainte paysanne”. Bien sûr, son auteur, indifférent à la Sacem, ne toucha pas le moindre centime de droits d’auteur. »Par Pascal ANQUETIL – JAZZ MAGAZINE
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« Au diapason tropical » par Jazz Magazine
Catégories : Article de presse ( Article de presse )« Pianiste martiniquais doué d’une tourbillonnante capacité d’adaptation d’un style à un autre, jazz, zouk, Brésil ou salsa, sans jamais perdre son identité, Mario Canonge, en infatigable défricheur des musiques épicées du monde, éclaboussa la soirée de son inépuisable énergie multicolore. Stimulée par tant d’ardeur, Tangora se mit tout de suite au diapason tropical. Avec flamme, charme et liberté, elle déroula le répertoire de son excellent nouvel album “Springtime” (Frémeaux) dans lequel elle a signé presque toutes les paroles, en français comme en anglais. En particulier, cette superbe Cantabile for Lady Day, une composition de Michel Petrucciani que Canonge a très subtilement réharmonisée. »Pascal Anquetil – JAZZ MAGAZINE
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« Une magnifique anthologie » par Jazz News
Catégories : Article de presse ( Article de presse )Rencontre parfaite de la technique et du son (si toutefois le son ne participait pas déjà de la technique), Don Byas mérite mieux que sa réputation d’épigone de Coleman Hawkins dont il est évidemment un disciple mais dont il a su prolonger l’héritage vers une modernité toute personnelle, à la ligne aussi claire que subtile. Maître de la ballade dont il développe à l’infini les richesses harmoniques (« Laura » comme un emblème), Don Byas excelle également sur les tempi plus rapides et les prouesses du bop naissant n’étaient pour lui que formalités. Son phrasé (marqué par le swing) est enfin l’un des plus élégants parmi les modernes première génération (« Cherokee »). Il posera son saxophone ténor en Europe, notamment grâce à l’intriguant baron danois Timme Rosenkrantz, et imprimera sa marque pétrie de classe dans le jazz français d’après-guerre. Styliste amphibie – il pratiquait avec assiduité la pêche tant à la ligne que sous-marine – Don Byas était vraiment un grand. Et cette mag [...]
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« Un double CD providentiel » par Classica
Catégories : Article de presse ( Article de presse )Il a joué avec la crème des musiciens, dont Dizzy Gillespie (aux côtés de qui il enregistra la première version de « Bebop », Count Basie, Erroll Garner, et Beaucoup d’autres. Coleman Hawkins, « l’inventeur » du saxophone l’a invité à ses côtés, ainsi qu’Amalia Rodrigues. Il a gravé la plus belle version de « Laura ». Son influence fut importante sur Johnny Griffin, Benny Golson, et plusieurs autres. Cependant, son nom est presque oublié : Don Byas. Saxophoniste pulpeux au timbre de velours mais capable aussi d’un swing féroce, il fut une voix essentielle dans ces années qui virent le passage du langage classique du jazz au be-bop, fréquentant régulièrement le Minton’s Playhouse. Il fut aussi une vedette, comme on disait, dans toute l’Europe. Ce double CD providentiel, superbement remastérisé et pourvu d’un livret très documenté d’Alain Tomas, permet de l’entendre à nouveau lors de superbes sessions à New York et Paris. S’en priver serait se priver d’un plaisir certes innocent mai [...]