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“The French audiences loved it!” par Blues & Rhythm
Catégories : Article de presse ( Article de presse )Nat played two shows in Paris on 19th April 1960 with Quincy Jones Big Band, including John Collins on guitar. By the time of this recording, Nat was known as a hit-making crooner and had alienated many jazz lovers, especially in Europe. His blues credentials are limited to his influence on Charles Brown, Ray Charles and others in the same vein, and maybe the jive-y “Straighten Up And Fly Right” and his 1946 hit, “Route 66”, which has been covered by many artists since then. He remakes that twice here, though unfortunately the momentum of these small combo renditions (the band comes in right at the end) is lost a little with the inclusion of lengthy solos on both performances. Contrary to what the notes might lead us to believe, Nat sounds like he’s having great fun throughout both shows. He performs two jazzy versions of “Joe Turner’s Blues” (which Nat recorded on this 1958 album, “St; Louis Blues”), and gets a little bluesy on “Sweet Lorraine” too, though any song which has the [...]
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“If you have followed this series this far, you will want this” par Blues & Rhyt
Catégories : Article de presse ( Article de presse )In 1961 Mahalia toured Europe in the company of her regular pianist Mildred Falls , criss-crossing the continent after arriving in England on 4th April. Her previous appearances in the United Kingdom, almost nine years earlier, had not been well-received, but there was no such muted reception this time – her first concert, at The Royal Albert Hall, brought her a standing ovation. The first nine of this CD were recorded in Stockholm on either 18th or 20th April (though most discographies give the earlier date) and feature a mixture of spirituals, older recordings (“In My Home Over There” was one of her first for Apollo back in 1947), gospel numbers such as Dorothy Love Coates’ “He’s Right On Time”, and “You’ll Never Walk Alone” from her first Columbia session. Her voice is beautifully recorded, way out in front – though this has the unfortunate effect of relegating the piano to a very minor role at times – and certainly this is preferable to some of the big arrangements she was sad [...]
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« Un instant de grâce » par les Inrockuptibles
Catégories : Article de presse ( Article de presse )« C’est aux passionnés Michel Brillié et Gilles Pétard, et bien sûr à Patrick Frémeaux, que l’on doit cette redécouverte d’une multitude d’enregistrements de concerts parisiens, datés fin des années 50-début 60. Quincy Jones, Nat King Cole, Miles Davis, mais aussi Brassens ou… Sinatra. En 1962, à presque 50 ans, le chanteur est une immense star aux Etats-Unis depuis plus de vingt ans mais n’a jamais pris le micro chez nous. Il profite d’une tournée mondiale qu’il a voulu caritative pour fouler la scène du Lido devant un parterre réunissant le Tout-Paris – Juliette Gréco, Henri Salvador, Tino Rossi… Il offre un répertoire bien huilé, de I’ve Got You under My Skin à My Funny Valentine en passant par un April in Paris plein d’à-propos. Ce soir-là, Sinatra finira avec quelques Bluebell Girls dans sa suite du George V… Deux soirs plus tard, à l’Olympia, le crooner continue d’enchaîner les tubes avec une précision rare, entouré du sextet de Bill Miller. Il se laisse aller à quelques bla [...]
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« Le Bird vole toujours » par Le Quotidien du médecin
Catégories : Article de presse ( Article de presse )« Frémeaux & Associés poursuit l’édition de son intégrale Charlie Parker (studio et radio) avec la parution du volume 9, « My Little Suede Shoes - 1950-1951 ». Où l’on retrouve le génial saxophoniste-alto, inventeur du bebop, notamment en live lors de concerts en Suède ou, avec des cordes, lors d’une retransmission radio depuis le Birdland de New York, ou encore à Paris en novembre 1950 pour le Poste parisien. Et pour certains enregistrements avec des accompagnateurs comme Miles Davis, Coleman Hawkins, Max Roach, Roy Haynes ou une pléiade de musiciens afro-cubains. Le Bird vole toujours. » Par Didier PENNEQUIN – LE QUOTIDIEN DU MEDECIN
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« Un blues authentique et jubilatoire » par Le Quotidien du médecin
Catégories : Article de presse ( Article de presse )« Les légendes et mythes du blues rural avaient été réunies dans les années 1960 au sein d’une tournée baptisée American Folk Blues Festival, dont les premiers concerts donnés en France, à l’Olympia, à Paris, en octobre 1962, produits notamment par Daniel Filipacchi et Frank Ténot, viennent de voir le jour dans la collection « Live in Paris » (Frémeaux & Associés, coffret de 3 CD). Une occasion unique, jusque-là inédite, de redécouvrir un blues authentique et jubilatoire, interprété par des maîtres du genre tels Memphis Slim (le pianiste alors installé à Paris), John Lee Hooker, Willie Dixon, le tandem Sonny Terry/Brownie McGhee, T-Bone Walker ou encore la chanteuse Helen Humes. Le blues à l’état pur. »Par Didier PENNEQUIN – LE QUOTIDIEN DU MEDECIN
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« Mesguish ne cesse de nous enchanter ! » par Lire
Catégories : Article de presse ( Article de presse )Après « Du côté de chez Swann, A l’ombre des jeunes filles en fleurs, et Le Côté de Guermantes », voici le quatrième coffret, « Sodome et Gomorrhe ». Un autre éditeur, Thélème, enregistra il y a quelques années la totalité de la « Recherche », faisant appel à plusieurs acteurs qui, par la multiplicité de leurs talents, donnèrent une dimension polyphonique à l’œuvre de Proust. Chez Frémeaux, le parti pris est celui de l’unicité de la voix du narrateur. Aussi la lecture en a-t-elle été confiée au seul Daniel Mesguich qui, depuis son enregistrement de « Mémoires d’outre-tombe », ne cesse de nous enchanter par sa scrupuleuse attention à toutes ces inflexions d’un texte. Il ne s’agit pas d’une intégrale, mais d’une présentation de l’essentiel de cette œuvre grandiose et géniale. Dans le précédent numéro de « Lire » nous avions recommandé le bel essai de Nicolas Grimaldi, « Le Baiser du soir », paru aux Puf début septembre, et rappelé les ouvrages que ce philosophe avait consacrés à l’ [...]
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« Bravo Frémeaux ! » par Soul Bag
Catégories : Article de presse ( Article de presse )Sur cette triple anthologie, Frémeaux & Associés s’attaque au funk par les racines, proches ou lointaines, en centrant la sélection sur les origines du groove et des beats funky. Partant du postulat que La Nouvelle-Orléans est la ville pionnière de l’évolution des musiques noires aux Etats-Unis, Bruno Blum remonte aux siècles passés pour comprendre comment les rythmes vaudous haïtiens, la rumba cubaine, le quadrille guadeloupéen et toutes les formes de musique héritées des esclaves africains et sauvegardées tant bien que mal dans les Caraïbes, sont arrivées par le delta du Mississippi pour donner naissance à de nouvelles formes appelées jazz, rhythm’n blues ou plus tard funk. Le CD 1 nous offre une belle sélection de titres créoles et latins de Tito Puente, Machito, d’artistes des Antilles françaises ou d’obscures congrégations vaudou. Sur le CD 2, on continue à voyager à travers les rythmes syncopés, mais cette fois-ci du point de vue du hard bop et du soul jazz. Art Blakey, Sun [...]
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« Avec Frémeaux nous avons tous les enregistrements d’une époque » par Juke Box
Catégories : Article de presse ( Article de presse )Voici le quatrième double volet de l’intégrale d’Yves Montand, saison 1954-58. Comme d’habitude avec Frémeaux il ne s’agit pas de la simple juxtaposition des disques édités, mais de tous les enregistrements disponibles d’une époque. Ce qui nous vaut des extraits d’émission (« Ah ! Si Vous Connaissiez Ma Poule » en radio, imitant Maurice Chevalier comme à ses débuts) et même, tiré d’un reportage, six passages de ses concerts soviétiques en 1956-57, avec la voix de Simone Signoret. Comme certains de ses confrères, au moment de la ressortie d’anciennes chansons (pas tant que ça pour lui), Yves Montand préfère les réenregistrer, ce qui occasionne de nouvelles versions. Deux albums se glissent ici. D’abord « Chansons Populaires De France » en 1955 où, dans un délicieux vieux « françois » (avec des liaisons incongrues pour aujourd’hui), il reprend des airs pour la plupart immémoriaux. Bien avant la chanson autoproclamée « de protestation » des années 60, un peu comme si c’était une nouv [...]