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Une philosophie de la nature par LIRE
Catégories : Article de presse ( Article de presse )L’entreprise n’est pas mince. Il s’agit ni plus ni moins que de questionner la place de l’homme dans un univers débarrassé de ses mythes. Premier volume d’une trilogie intitulée Brève encyclopédie du monde, Cosmos a pour objet une « philosophie de la nature » (…). L’auteur s’intéresse successivement au temps, « forme a priori du vivant », à la vie, « force de la force », à l’animal appelé à redevenir l’égal de l’homme, au cosmos et enfin au sublime, cette « expérience de la vastitude » (…). Là n’est pas la moindre des qualités de ce premier volet Michel Onfray pioche décidément partout où il peut. Son jardin n’a rien à voir avec un petit enclos. L’image d’un homme replié sur sa terre, sur soi, sur son monde mérite donc, à tout le moins, d’être corrigée. Par LIRE
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The wonder that was Garner by BBC Music Magazine
Catégories : Article de presse ( Article de presse )(…) For me, the wonder that was Garner deserves better attention, and an excellent place to start is Fremeaux’s The Quintessence compilation of his work from 1948-62. Its vintage treats range from cooking versions of standards with his trio, such as “Caravan”, the romantic debut recording of his evergreen original “Misty”, his wry self-portrait “Afternoon of an elf”, and such extended solo escapades as “You’d Be So Nice To Come Home To”, with its typically gleeful, free-form introduction, pulsating theme and rhapsodic climax. (…) By BBC MUSIC MAGAZINE
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La parfaite introduction par Jazz Magazine
Catégories : Article de presse ( Article de presse )La parfaite introduction en double CD aux quinze premières années de sa carrière, de ses débuts à 23 ans chez Harry James jusqu’à ses premières séances au Capitol, en passant par ses enregistrement au sein de l’orchestre de Tommy Dorsey et sa décennie Columbia (285 chansons de 1942 à 1952), période mouvementée qui lui fera atteindre en 1945 le zénith de sa popularité (…). Par Pascal ANQUETIL – JAZZ MAGAZINE
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« Une compilation impeccable » par Soul Bag
Catégories : Article de presse ( Article de presse )Ses instruments bien particuliers - dont accordéon et frottoir – qui lui donne saveur et couleur, ainsi que son ancrage profond dans la culture d’une communauté louisianaise – et texane pour partie – très soudée et à l’identité marquée, symbolisent toute l’originalité du zydeco. Mais paradoxalement, si elle continue de puiser dans la tradition locale comme aux origines, cette musique n’a jamais cessé d’évoluer et de transmettre une joie de vivre et de jouer unique. D’ailleurs, nul doute que l’état d’esprit de ses interprètes, simplement soucieux de partager et communier, continue de grandement contribuer à sa pérennité… Dès lors, quand on tient en main une anthologie, il suffit de se laisser porter par la musique, et on arrive au bout de quarante-huit titres de ce double CD sans même s’en rendre compte, et bien entendu sans s’ennuyer une seule seconde. Car si la sélection débute de façon toute naturelle avec Amédé(e) Ardoin, auquel on doit les premiers enregistrements d’un créole [...]
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« On ressort ébouriffé de cette expérience sonique incomparable » par Jazz News
Catégories : Article de presse ( Article de presse )La collection des grands concerts parisiens s’offre un nouveau volume et quel volume! Il témoigne du passage de Count Basie et de son orchestre en 1957, 1960 et 1962 à l’Olympia et au Palais de Chaillot. A cette même époque, le label Roulette publiait une série d’albums marquants, dont Atomic Basie enregistré quelques jours avant ce premier séjour dans la capitale. Ces deux CD arriveront tel un boulet de canon jusqu’à vos oreilles, notamment grâce à une prise de son au cœur des musiciens, tous chauffés à blanc autour du chef mais aussi de cette section rythmique immarcescible composée de Freddie Green (guitare), Eddie Jones (contrebasse) et Sonny Payne (batterie) et dont on a rarement pu apprécier à ce point la manière d’innerver discrètement l’ensemble tout entier. On ressort ébouriffé de cette expérience sonique incomparable, que l’on aime ou non l’esthétique big band finalement totalement accessoire. Bruno GUERMONPREZ – JAZZ NEWS
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« Une ressource documentaire de tout premier ordre » par Soul Bag
Catégories : Article de presse ( Article de presse )Les « race records » évoquent d’abord les années 1920, quand les principaux labels dédiaient des séries de leurs catalogues aux artistes afro-américains. D’autres formules apparaîtront avec la création des charts ou hit-parades dans les années 1940. Mais la naissance du rock’n’roll reste bien une « affaire de races ». Car s’il a été popularisé par Elvis Presley et consorts au milieu des années 1950, ses origines nettement antérieures remontent à la décennie précédente, voire à la fin des années 1930 avec les pianistes de boogie woogie. Un pan de l’histoire dont les acteurs sont bien afro-américains, généralement issus des mouvances blues et R&B, mais aussi jazz…Mais comme l’écrit Bruno Blum dans un livret toujours pertinent, ce rock s’appelle alors Rhythm and blues « quand il est joué par les Noirs ». Et la propagation de cette forme musicale, du fait de la couleur de peau des ses interprètes, subit l’entrave de la ségrégation, notamment à la radio puis à la télévision. Avec cette [...]
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« Un grand moment » par Soul Bag
Catégories : Article de presse ( Article de presse )…Retrouver ce morceau sur le disque de « La Section Rythmique » du batteur Guillaume Nouaux fait partie des surprises de nature à ensoleiller un quotidien qui en a quelque besoin ces temps-ci. Avec le guitariste David Blenkhorn et le contrebassiste Sébastien Girardot, la mayonnaise prend à la façon d’un groove de second line à la chaloupe réinventée. (Guillaume assure aussi une conférence sur l’histoire de la batterie de la Nouvelle-Orléans avec démonstration à l’appui. Un grand moment !)Par SOUL BAG
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“It is wonderful to hear this music over fifty years on” par Blues & Rhythm
Catégories : Article de presse ( Article de presse )The tapes were only discovered in December 2014, but the sound quality is excellent, with only a slight distortion on a couple of Hooker’s first numbers being at all worth mentioning. Sometimes the vocals are off-mic, but it serves to add to the atmosphere, as do the comments and introductions – there seems to be minimal editing. As for the performances themselves, they are all certainly well worth hearing. This was the first AFBF tour, and the clichés had not yet occurred frequently enough to become clichés. A solo John Lee Hooker sounds quite overcome by his reception, and his first set is interesting as the bluesman tackles mostly recent hits – ‘I Don’t want To Lose You’ is Barbara Lynn’s ‘You’ll Lose A Good Thing’, and he refers to ‘Money’ as a novelty! Memphis Slim was already a Paris resident by this time, but his material had not yet become aver-familiar and it has a strength about it that was sometimes missing later. Chicago bluesman Shakey Jake is introduced as a ‘country [...]