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  • « Riche et jubilatoire » par Jazzmag - Jazzman
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    Quel bel objet ! Un rappel du talent polymorphe d’un des meilleurs pianistes de ragtime français, chef d’orchestre de big band dans la tradition ellingtonienne à l’écriture claire et puissante, sans afféteries, et pionnier du crossover avec ses albums autour de compositeurs et musiciens classiques. Sur cette anthologie concoctée par Stéphane Lerouge, c’est le versant compositeur de musiques de film qui est abordé. Et tant l’amateur d’un certain jazz que le cinéphile s’y retrouveront. Car l’on passera allègrement de l’attendu big band parfois mâtiné de cordes, à des évocations d’univers moins volontiers associés au compositeur : des pièces vocales (« Le Vent », les collaborations avec Régine Crespin ou Edda Dell’Orso, la voix d’Ennio Morricone), certaines formes de lyrisme à la Max Steiner (« Evasion & Final »), de très belles ambiances orchestrales, d’autres aux faux airs de Lalo Schifrin, Henry Mancini, John Barry ou François De Roubaix, mais sans imiter l’un ou l’autre, simpleme [...]

  • « Des studios RCA à la salle Pleyel » par Jazzmag-Jazzman
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    Daniel Nevers qui préside à cette intégrale nous emmène des studios RCA le 16 octobre 1947 (merveilleux échanges chantés entre Louis et Jack Teagarden sur « A Song Was Born ») au Carnegie Hall pour des extraits (qui nous épargnent les redondances de programmes assez répétitifs) du 15 novembre fort bien enregistrés (Barney Bigard en vedette sur un vertigineux « Body and Soul », la coulisse si légère de Teagarden en exposé  de Stars Fell On Alabama). Puis il nous embarque , le 19 février 1948, à bord du quadrimoteur Constellation où le All Stars de Louis, en route vers la France, se livre à une jam session « on the air » avec les musiciens de Mezz Mezzrow. À Orly, Satchmo répond aux questions des journalistes en chantant quelques mesures de « Flat Foot Floogie ». Du 22 au 28, au festival de Nice, les concerts se succèdent  (pas aussi bien captés qu’au Carnegie Hall, mais très audibles) : dix-huit titres diffusés de l’Opéra (dont un duo avec le grand Earl Hines) et quatre de l’hôtel [...]

  • « Pour le nouveau venu, c’est un festin » par Jazz Magazine – Jazz Man
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    Si l’on fait l’impasse sur la logique de cette collection et la complémentarité des commentaires d’Alain Gerber (qui eut une relation privilégiée avec Getz) et Alain Tercinet (auteur d’une biographie de Stan), cette compilation pourrait sortir tout droit des archives de Verve. Changements de personnel (Jimmy Raney, Bob Brookmeyer, Conte Candoli, Jimmy Rowles, Lou Levy…), séjours scandinaves et rencontres suscitées par Norman Granz (Dizzy Gillespie, Lionel Hampton, Gerry Mulligan, Chet…) : pour le nouveau venu, c’est un festin. AS - JAZZ MAGAZINE - JAZZ MAN

  • « Gene’s fans will want this collection » par Blues & Rhythm
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    The first volume was reviewed in B&R 280 and contained the original ‘Be-Bop-A-Lula’ and the rockabilly sides with guitarist Cliff Gallup. This set opens on 27th March 1958, three days after Elvis Presley had joined the Army, and has eight songs from sessions at The Capitol Tower studio in Hollywood, including a rocking remake of ‘Five Feet Of Lovin’, a couple of Hank Williams songs, the Elvis-styled rocker, ‘Look What You Gone And Done To Me’, and a fine, bluesy ‘Summertime’. The last day of this three-days-long session produced two ballads very much in Elvis’s post rock’n’roll style. The following session resulted in more generic rock’n’roll, before 15th October 1958 brought a fine version of Fiddlin’ Arthur Smith and Alton Delmore’s ‘Beautiful Brown Eyes’ followed by raving versions of Little Richard’s ‘Rip It Up’, Chuck Berry’s ‘Maybellene’ (interestingly sounding less country-ish than Chuck’s) and Huey Smith’s ‘Hight Blood Pressure’ – and featuring saxophonists Jackie Kelso an [...]

  • « Le grand compositeur de la valse musette » par Jazzmag - Jazzman
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    Moins jazz que Gus Viseur et Tony Murena, mais manouche d’adoption, le « Gitan blanc » (ou « L’Accordéoniste de Paris ») restera le grand compositeur de la valse musette (« Sa préférée, Nuit Blanche, Mystérieuse, As de trèfle, Cauchemar, Balajo… »). À ses chefs d’oeuvre Odéon, Pathé et Pacific (1945 à 1950) se mêlent quelques fox et slows inspirés du Quintette du Hot Club de France, notamment « Douce Ambiance » de Django Reinhardt. Didi Duprat s’y octroie un solo comme il n’en osait plus du temps de sa redécouverte sur « Paris Musette » en 1989, lorsqu’il s’abritait dans les rôles d’accompagnateur. Dès 1945, on reconnaît le vif et gracieux coup de plume (Mystérieuse). Mais il n’est pas impossible que les frères Ferret ne se soient glissés dans l’une ou l’autre de ces pièces. Le deuxième CD de ce coffret illustre un déclin de la production entre 1955 et 1959 avec un son plus variété et un répertoire obligé d’airs à succès. Le CD 3 reprend le légendaire « Manouche Partie » de 1960 a [...]

  • « Cet hommage ne manque ni d’attrait, ni de charme » par Jazzmag - Jazzman
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    L’intérêt pour les pionniers ne se dément pas. Pour preuve l’hommage rendu par Sébastien Troendlé à deux formes canoniques du piano des origines, le ragtime et le boogie woogie. Il ne manque ni d’attrait, ni de charme. C’est que le pianiste, doté d’une bonne technique, en maîtrise parfaitement les codes. Il assigne de surcroît à cet album des visées pédagogiques, en quoi l’usage peut se révéler particulièrement utile. Et puis, qui résisterait au charme intemporel de « Maple Leaf Rag » ou de « Harlem Strut » ?Par JAZZMAG – JAZZMAN 

  • « Un ovni musical unique en son genre » par Le Bulletin du Hot Club de France
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    Le jazz connaît quelques principes directeurs, devenus proverbiaux et, naturellement, porteurs de musique : le « It don’t mean a thing if it ain’t got that swing » (Ça n’a aucun sens si ça n’a pas de swing) de Duke Ellington en est l’exemple le plus célèbre, mais « Tain’t what you do, it’s the way that you do it » (Ce n’est pas ce que vous faites, c’est la manière dont vous le faites), composé par MM. Oliver (Sy) et Young (Trummy) pour Jimmy Lunceford  n’est pas mal non plus : c’est ainsi que jazz a fait depuis les origines son affaire de tout ce qu’il rencontrait sur son chemin, depuis les cantiques protestants du siècle avant-dernier jusqu’aux pires chansonnettes de nos contemporains. Avec le swing en guise de mortier, cette musique est aussi l’art de la transmutation d’à peu près n’importe quoi. Cette alchimie comporte quelques chemins plus originaux que les autres… en voici un, particulièrement jubilatoire, tracé par Emmanuel Hussenot et son « Orpheon Célesta ».Du temps de nos [...]

  • « Magnifique entrée en matière » par Jazzmag - Jazzman
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    La réédition dix ans après du premier disque de Laïka (elle avait 36 ans) remet quelques pendules à l’heure dans un paysage vocal féminin sursaturé. Magnifique entrée en matière, « Look At Me Now » (regardez-écoutez-moi maintenant [et quand je dis « maintenant »… NDR]) n’a pas pris une ride et peut se déguster au quotidien. Répertoire ouvert mais choisi, timbre troublant, phrasé taillé dans le diamant… Laïka (n’) a enregistré (que) trois autres disques en une décennie. Qui dit (quantitativement) moins ?Par T.Q. JAZZMAG - JAZZMAN

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