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  • “In short, an excellent set” par Blues & Rhythm
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    This set links to an exhibition of the same title in Paris, running from March to August 2014, but it certainly stands well in its own right, though as it attempts to cover music from North and South America, the Caribbean and Africa, there will inevitably be omissions, as the notes so readily point out. Consequently, they do also direct the reader/listener to other sets that can fill some of these gaps. The timescale involved means that it brings together ‘classic recordings made before the international pop music tidal wave of the 1960s’, and the three CDs are divided into the years 1927-1952, 1952-1958, and 1958-1962. The first CD stretches from Robert Johnson, Bukka White and Blind Blake to Charlie Parker, Duke Ellington and Blind Blake (OK, from the Florida Blind Blake to the Bahamas’ Blind Blake – it was hard to resist), with the only – other than Blake’s – non-American recordings being 1939’s ‘Mbube’, by South Africa’s Solomon Linda & The Evening Birds, the tune being bette [...]

  • “Mahalia is in excellent form” Par Blues & Rhythm
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    ‘This record… after several ‘doubtful’ albums… was one of Mahalia Jackson’s best for several years’, say the notes. OK, ‘dubious’ would be better, but the sense is the same – some of this CD’s immediate predecessors in Fremeaux’s Mahalia Jackson reissue series have been less than wonderful, featuring LPs that teamed the gospel singer with rather unsuitable accompanists and/or occasionally with inappropriate, though always  sacred, material. The bulk of this CD – From ‘Everytime I Feel The Spirit I Pray’ through to ‘What A Difference Since My Heart’s Been Changed’ made up the Columbia album, ‘Every Time I Feel The Spirit’, recorded in Hollywood, California on 7th March 1961. Johnny Williams, who had done a decent job on Mahalia’s preceding LP, ‘I Believe’, was again brought in as arranger and drummer, with Mahalia’s long-time accompanist Mildred Falls and Louise Weaver on piano and organ respectively, plus ace session guitarist Tommy Tedesco and Phil Stephens on bass. The ‘Orchestr [...]

  • « Avec le mastering exceptionnel de Frémeaux & Associés » par Rock & Folk
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    Trois CD consacrés au genre bénéficiant du mastering exceptionnel de Frémeaux & Associés. Il y a évidemment les grands classiques ( Elvis Presley, Johnny Cash, Roy Orbison, Carl Perkins, Eddie Cochran, Gene Vincent, Charlie Feathers, Warren Smith, Billy Lee Riley, Buddy Holly, Ricky Nelson, Johnny Burnette, Wanda Jackson, Sonny Burgess, Jack Scott, Jerry Lee Lewis, Bill Haley, etc ) mais également d’autres moins connus comme Sonny Fisher, Joe Clay, Buck Griffin, Roy Hargrave, Lew Williams, Marvin Rainwater, ou d’autres venus de la country qui tentèrent sporadiquement de monter dans le train rockab (Buck Owens, Johnny Horton, George Jones, Malcolm Yelvington). Les perles de Sun, Gold Star à Houston, mais aussi du mythique studio Meteor De Memphis sont au rendez-vous. Ceux qui pensent déjà avoir tout devraient se pencher sur la qualité sonore de cette anthologie, ceux qui n’ont pas grand-chose peuvent foncer tant elle montre idéalement la diversité du genre. Et puis, il y a « Love M [...]

  • « Ce disque correspondait à une attente » par Blues & Co
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    Cet enregistrement daté de 1962 est loin d’être une nouveauté. C’est sur la demande du label Frémeaux et Associés avec l’autorisation de Claude Bolling et du saxophoniste Gérard Badini, que ce disque a été remis dans le circuit en fevrier 2013, sous la forme modernisée et actuelle d’un CD. Réunis une nouvelle fois, Claude Bolling et Gérard Badini se connaissaient parfaitement bien puisqu’ils avaient déjà travaillé ensemble en trio dès 1955. Influencé par Art Tatum, Fats Waller et Duke Ellington, le doué pianiste né sous le soleil cannois s’est illustré tout le long de sa carrière sur de nombreuses reprises de ses maîtres du jazz et leurs dérivés : ragtime et boogie woogie. Pour ma part, je le trouve plus créatif comme compositeur de musique de films (le plus connu étant celui de Jacques Deray « Borsalino » avec Jean-Paul Belmondo et Alain Delon). Je pense que ce disque fait pour la danse avait une importante signification à l’époque des sixties : il correspondait à une attente ! M [...]

  • « Tout simplement indispensable » par Blues & Co
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    Si le blues est considéré pour certains comme une musique sans avenir, B.B. King fait partie de ceux qui ont su le faire évoluer dans la structure et le son en y ajoutant la sensibilité créative. Inspiré entre autre par T.Bone Walker « Boogie Rock » (CD 2), il découvre le blues en allant sous les drapeaux de L’US Army. Son célèbre cousin Bukka White chez qui il sera hébergé à Memphis, lui offrira sa première guitare quand B.B. King âgé de 22 ans voudra faire une carrière de musicien dans cette ville. Avant de trouver son propre style, il va parcourir toute une palette de musiques populaires venant d’horizons divers tels le gospel et le rock and roll sous influence du blues-jump. Devenu rapidement disc jockey tout d’abord à la station KWEM fondée en 1947 puis à WDIA de Memphis. Il se fait repérer deux ans plus tard par Sam Philips créateur des studios Sun. Avant que ce découvreur de talents se lance dans le rockabilly avec Carl Perkins, Elvis Presley, Jerry Lee Lewis et Roy Orbison [...]

  • « Des explorations plus qu’audacieuses » par Le Quotidien du médecin
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    « Après New York, Paris est la deuxième capitale du jazz. Mais pas seulement… Miles Davis, Quincy Jones, Georges Brassens enregistrés en concert dans les années 1950 et 1960. En 1960, Miles Davis se produit à deux reprises à Paris. La première fois à l’orée du printemps, le 21 mars, et la seconde durant l’automne, le 11 octobre. Deux concerts donnés à l’Olympia, produits à l’époque par le tandem Frank Ténot -Daniel Filipacchi, mais avec deux formations différentes, que l’on peut redécouvrir dans un quadruple CD, « Miles Davis - 21 mars/11 octobre », paru dans la nouvelle collection « Live in Paris - La collection des grands concerts parisiens » (Frémeaux & Associés), dirigée par Michel Brillé et Gilles Pétard. Lors de la première prestation, le trompettiste est à la tête d’une formation comprenant John Coltrane (saxe-ténor), Wynton Kelly (piano), Paul Chambers (contrebasse) et Jimmy Cobb (batterie). Un concert qui va être lourd de tensions personnelles et musicales, et pour cause [...]

  • « De très grands moments musicaux » par Le Quotidien du médecin
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    « Après New York, Paris est la deuxième capitale du jazz. Mais pas seulement… Miles Davis, Quincy Jones, Georges Brassens enregistrés en concert dans les années 1950 et 1960. (…) La même année, le trompettiste Quincy Jones, âgé de 27 ans, qui est déjà chef d’orchestre et arrangeur mais pas encore l’immense producteur d’aujourd’hui, se retrouve à Paris à la tête d’un big band… sans travail à la suite de la rupture d’un engagement dans un musical. Une fois de plus, le duo Ténot-Filipacchi est sollicité et permet à ces musiciens – notamment la tromboniste Melba Liston, le saxophoniste-alto  Phil Woods et le trompettiste Clark Terry, parmi les plus connus – d’entrer en studio pendant trois jours et de donner un concert en direct à l’Olympia. De très grands moments musicaux dans la longue carrière de celui qui allait devenir M. Q. et qui se retrouvent dans « Quincy Jones - 5-7-9 mars/19 avril » (double CD, Frémeaux & Associés). Par Didier PENNEQUIN – LE QUOTIDIEN DU MEDECIN

  • « Des classiques de la poésie et de la chanson française » par Le Quotidien du m
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     « Après New York, Paris est la deuxième capitale du jazz. Mais pas seulement… Miles Davis, Quincy Jones, Georges Brassens enregistrés en concert dans les années 1950 et 1960. (…) Enfin, cette même collection permet de retrouver l’inégalable Georges Brassens à l’Olympia en novembre 1961 et à quatre reprises dans les studios d’Europe n°1 entre novembre et décembre 1955, accompagné de son fidèle et incontournable Pierre Nicolas à la contrebasse, interprétant les morceaux qui vont devenir des classiques de la poésie et de la chanson française. À redécouvrir dans « Georges Brassens - 3 novembre 1961 » (Frémeaux & Associés). Une collection qui devrait s’enrichir à l’automne d’un Ray Charles (3 CD) et d’un Ella Fitzgerald (3 CD). » Par Didier PENNEQUIN – LE QUOTIDIEN DU MEDECIN

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