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« Gene’s fans will want this collection » par Blues & Rhythm
Catégories : Article de presse ( Article de presse )The first volume was reviewed in B&R 280 and contained the original ‘Be-Bop-A-Lula’ and the rockabilly sides with guitarist Cliff Gallup. This set opens on 27th March 1958, three days after Elvis Presley had joined the Army, and has eight songs from sessions at The Capitol Tower studio in Hollywood, including a rocking remake of ‘Five Feet Of Lovin’, a couple of Hank Williams songs, the Elvis-styled rocker, ‘Look What You Gone And Done To Me’, and a fine, bluesy ‘Summertime’. The last day of this three-days-long session produced two ballads very much in Elvis’s post rock’n’roll style. The following session resulted in more generic rock’n’roll, before 15th October 1958 brought a fine version of Fiddlin’ Arthur Smith and Alton Delmore’s ‘Beautiful Brown Eyes’ followed by raving versions of Little Richard’s ‘Rip It Up’, Chuck Berry’s ‘Maybellene’ (interestingly sounding less country-ish than Chuck’s) and Huey Smith’s ‘Hight Blood Pressure’ – and featuring saxophonists Jackie Kelso an [...]
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« Le grand compositeur de la valse musette » par Jazzmag - Jazzman
Catégories : Article de presse ( Article de presse )Moins jazz que Gus Viseur et Tony Murena, mais manouche d’adoption, le « Gitan blanc » (ou « L’Accordéoniste de Paris ») restera le grand compositeur de la valse musette (« Sa préférée, Nuit Blanche, Mystérieuse, As de trèfle, Cauchemar, Balajo… »). À ses chefs d’oeuvre Odéon, Pathé et Pacific (1945 à 1950) se mêlent quelques fox et slows inspirés du Quintette du Hot Club de France, notamment « Douce Ambiance » de Django Reinhardt. Didi Duprat s’y octroie un solo comme il n’en osait plus du temps de sa redécouverte sur « Paris Musette » en 1989, lorsqu’il s’abritait dans les rôles d’accompagnateur. Dès 1945, on reconnaît le vif et gracieux coup de plume (Mystérieuse). Mais il n’est pas impossible que les frères Ferret ne se soient glissés dans l’une ou l’autre de ces pièces. Le deuxième CD de ce coffret illustre un déclin de la production entre 1955 et 1959 avec un son plus variété et un répertoire obligé d’airs à succès. Le CD 3 reprend le légendaire « Manouche Partie » de 1960 a [...]
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« Cet hommage ne manque ni d’attrait, ni de charme » par Jazzmag - Jazzman
Catégories : Article de presse ( Article de presse )L’intérêt pour les pionniers ne se dément pas. Pour preuve l’hommage rendu par Sébastien Troendlé à deux formes canoniques du piano des origines, le ragtime et le boogie woogie. Il ne manque ni d’attrait, ni de charme. C’est que le pianiste, doté d’une bonne technique, en maîtrise parfaitement les codes. Il assigne de surcroît à cet album des visées pédagogiques, en quoi l’usage peut se révéler particulièrement utile. Et puis, qui résisterait au charme intemporel de « Maple Leaf Rag » ou de « Harlem Strut » ?Par JAZZMAG – JAZZMAN
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« Un ovni musical unique en son genre » par Le Bulletin du Hot Club de France
Catégories : Article de presse ( Article de presse )Le jazz connaît quelques principes directeurs, devenus proverbiaux et, naturellement, porteurs de musique : le « It don’t mean a thing if it ain’t got that swing » (Ça n’a aucun sens si ça n’a pas de swing) de Duke Ellington en est l’exemple le plus célèbre, mais « Tain’t what you do, it’s the way that you do it » (Ce n’est pas ce que vous faites, c’est la manière dont vous le faites), composé par MM. Oliver (Sy) et Young (Trummy) pour Jimmy Lunceford n’est pas mal non plus : c’est ainsi que jazz a fait depuis les origines son affaire de tout ce qu’il rencontrait sur son chemin, depuis les cantiques protestants du siècle avant-dernier jusqu’aux pires chansonnettes de nos contemporains. Avec le swing en guise de mortier, cette musique est aussi l’art de la transmutation d’à peu près n’importe quoi. Cette alchimie comporte quelques chemins plus originaux que les autres… en voici un, particulièrement jubilatoire, tracé par Emmanuel Hussenot et son « Orpheon Célesta ».Du temps de nos [...]
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« Magnifique entrée en matière » par Jazzmag - Jazzman
Catégories : Article de presse ( Article de presse )La réédition dix ans après du premier disque de Laïka (elle avait 36 ans) remet quelques pendules à l’heure dans un paysage vocal féminin sursaturé. Magnifique entrée en matière, « Look At Me Now » (regardez-écoutez-moi maintenant [et quand je dis « maintenant »… NDR]) n’a pas pris une ride et peut se déguster au quotidien. Répertoire ouvert mais choisi, timbre troublant, phrasé taillé dans le diamant… Laïka (n’) a enregistré (que) trois autres disques en une décennie. Qui dit (quantitativement) moins ?Par T.Q. JAZZMAG - JAZZMAN
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« Des enregistrements remarquables » par La Croix
Catégories : Article de presse ( Article de presse )« A la fin des années 1960, alors que s'éteignait la voyageuse orientaliste (Alexandra David-Néel), la jeunesse hippie s'y rendait en masse (...). François Jouffa, jeune journaliste et ethnomusicologue français, en rapporta des enregistrements sonores remarquables, rassemblés en un disque, La Fête de la petite déesse vivante, qui marqua l'histoire de la musique ethnique. » Par Jean-Yves DANA - LA CROIX
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« Un pur régal » par Jazz Magazine
Catégories : Article de presse ( Article de presse )« Ancien collaborateur de Daniel Filipacchi, Michel Brillié propose les grands concerts d’Europe 1. Dernière livraison, Nat King Cole avec Quincy Jones. (…) Quant au récital de Nat King Cole avec Quincy Jones Big Band (plus quintette à cordes) du 19 avril 1960, c’est un pur régal. Le chanteur à voix de velours y gagne une pugnacité que prolongent les trois instrumentaux de l’orchestre au milieu du programme. »Par Franck BERGEROT – JAZZ MAGAZINE
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« L’œuvre de Gilbert Bécaud a su se maintenir au répertoire » par Classica
Catégories : Article de presse ( Article de presse )L’Opéra d’Aran, ouvrage « sérieux » du chanteur Gilbert Bécaud créé sur la scène du TCE de Paris, en 1962, montre que les frontières esthétiques de l’époque étaient plus perméables qu’aujourd’hui. A l’appui, reproduite dans le livret, la une de la « Revue de l’Art Lyrique » mensuelle Opéra qui lui était consacrée. Formé au conservatoire de Nice, Bécaud avait débuté au cinéma, avant d’être le célèbre auteur-compositeur-interprète des années 1960. Doté d’un solide métier, il n’eut aucun mal à doter sa partition de mélodies bien tournées et l’orchestrer avec talent ; aussi, les propos acerbes de Paris-Presse (Claude Samuel) écrivant : « Il paraît que c’est un opéra ! », ou ceux de Pierre Boulez déclarant, sans l’avoir vu (!) : « Bécaud est le maçon qui pense devenir Le Corbusier » paraissent bien dérisoires face à l’accueil enthousiaste de la presse new-yorkaise, belge ou italienne – et, plus encore, à l’aune du succès public obtenu durant plus de trente ans sur les scènes du monde e [...]