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  • « Le crooner est à son apogée vocale » par Mediapart
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    « 5 et 7 juin 1962 : le Paris des Bluebell girls et des 403 reçoit Sinatra. Le crooner est à son apogée vocale- une assurance gagnée dans les graves, que l'abus de whisky n'a pas encore gâchée. Les musiciens qui l'accompagnent donnent l'impression de jouer de la musique de chambre: le sextet de Bill Miller, son pianiste attitré, compte un vibraphone, une guitare et, suivant l'humeur de l'arrangeur, un saxophone, une flûte ou bien une clarinette. A l'Olympia comme au Lido, Sinatra donne deux concerts swing et phrase avec un naturel qui nécessite à la fois des années de travail et ce don formidable que l'on nomme la grâce. On sait que le chanteur a conquis l'essentiel de sa technique de respiration en observant le tromboniste Tommy Dorsey - dont il était le soliste. Mais cela ne dit pas tout d'un tel mystère. Aujourd'hui que l'enregistrement paraît, le cercle de famille des mélomanes applaudit. Ressusciter ces vieilleries exige un travail de grande précision: les ingénieurs doivent [...]

  • “For those who enjoy a blend of youth and experience” par Blues & Rhythm
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    Quincy Jones – ex Lionel Hampton and Dizzy Orchestras and a close friend of Ray Charles, lived in Paris in the late ‘50s, and at the time of ‘Live In Paris’ he was desperate to keep his eighteen-piece big band together. Consequently the bulk of the material here was recorded live at Barclay Hoche Studio (a large hall), with the first four tracks of the second CD from a performance at the Olympia Theatre, Sidemen included the likes of trumpeters Clark Terry and Benny Bailey, Phil Woods and Budd Johnson on saxes, trombonists Quentin Jackson and Melba Liston, and many others, with the repertoire reflecting this blend of youth and experience. Standards like ‘Air Mail Special’ and ‘Lester Leaps In’ sit nicely alongside (then) more modern items like ‘Moanin’, ‘Doodlin’, Horace Silver’s ‘The Preacher’ and some of Quincy’s own compositions. Hard bop, big band swing, show tunes and soul-jazz all vie with each other, and there are six ‘alternate bonus concert tracks’. Very much of its time, [...]

  • “These three CDs present a fine mixture of styles” par Blues & Rhythm
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    Look through old copies of British jazz magazines of the ‘50s, and it quickly becomes apparent that we used to cast envious eyes across the English Channel particularly at Paris, where there always seemed to be a sizeable coterie of ex-pat American jazz and blues musicians. This was not a new phenomenon. Charles Delaunay took advantage of the 1937 International Exhibition in Paris, which brought many American jazz musicians, dance band musicians, singers and dancers to France, to found his Swing label: ‘the first in Europe to record jazz musicians exclusively’ as the detailed notes reveal. Although the politics that riddled the jazz scene for many years quickly became apparent, with Swing’s founders Delaunay and Hugues Panassié at loggerheads over the ‘old versus new’ jazz debate, the tracks on these three CDs present a fine mixture of styles. As much of the label’s material has been reissued before, this set concentrates on the less easily available material; for this reason Djan [...]

  • « Sans doute l’un des plus beaux hommages à Django » par Accordéon & Accordeonis
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    « Encore un hommage à Django », direz-vous ? Oui mais là, attention, c’est concocté par Dominique Cravic (guitare, chant) et sa bande des Prim’dufs quasi au complet : Hervé Legeay (guitare), Jean-Michel Davis (xylophone), Jean-philippe Viret (contrebasse), Daniel colin (accordéon, bandonéon), Mathilde Febrer (violon), Bertrand Auger (clarinettes), Claire Elzière (chant), ainsi que Grégory Veux (piano) et le trop rare François Parisi (accordéon). Royalement servi par ce casting de rêve, Dom Cravic suit le parcours de Django, des bals musette dans lesquels il débuta durant les années 1920 (« Griserie, Carinosa ») jusqu’aux clubs de jazz de Saint-Germain-des-Prés des années 1950 (« Brazil » où Colin et Parisi envoient fusée sur fusée). Il y a aussi de belles chansons avec lesquelles le grand manouche s’illustra dans les années 1930 aux côtés Jean Sablon et de quelques autres : la délicieuse « Petite île » merveilleusement chantée en duo par Claire et Dom, ce dernier interprétant avec [...]

  • « Un voyage dans le temps et l'espace » par Guitar Unplugged.
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    Dans la  série « Les contes de Carvic », génial collectionneur sonore et musicien polyglotte, voici une nouvelle rêverie au pays de Django. Avec malice et poésie, Dominique Cravic, entouré de son big band familial, constitué en grande partie des Primitifs du Futur, évite de tomber dans la commémoration pour cheminer sur les traces du compositeur et non celles du guitariste et créateur du style manouche. Il imagine, ne reconstitue pas : comment suivre un homme aux semelles de vent ? Du swing au musette, en passant par le tango, la valse ou la samba, Cravic & friends voyagent dans le temps et l’espace. Comme l’écrit le journaliste Vincent Bessières, ce n’est pas un disque de jazz manouche, mais un voyage sur les terres de Django.- Tout à fait. Le producteur du label Respect Records, Kenichi Takahashi, désirait sortir un disque sur Django, mais depuis une quinzaine d’années, le phénomène a pris une telle ampleur que je voulais éviter l’overdose, notamment après toutes les commémorati [...]

  • « Les flamboyants du swing caribéen » par Jazz News
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    Ce volume met bout à bout deux disques du producteur Célini, la fameuse marque Aux Ondes : « Hommage à Stellio », et « À la foire de Basse-Terre ». On y retrouve les flamboyants du swing caribéen, d’un côté le clarinettiste Robert Mavounzy et le tromboniste Al Lirvat, de l’autre le guitariste Gérard la Viny, pour deux sessions gravées à Paris en 1973, quand ils faisaient chauffer le bal de la Cigale. Et derrière, c’est le trio du tout jeune Alain Jean-Marie, fraîchement débarqué dans la capitale, qui assure l’assise et ajoute le relief adéquat en glissant déjà ses propres réflexions autour de la biguine. Par JAZZ NEWS

  • « Une nouvelle éclaboussure irrésistible » par Jazz News
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    Depuis trente ans, le quartet de squatteurs musiciens d’Emmanuel Hussenot dissémine jubilation et frénésie auprès des grands et des petits sous la forme de pastiches loufoques de musique populaire, s’inspirant des fanfares de la Nouvelle-Orléans, des gospels, des rythmes africains et des bandas de l’Amérique latine. Les paroles (qu’un Henri Salvador, un Francis Blanche, ou un Boris Vian n’auraient pas hésité à signer) assurent des plages de bonne humeur. Dans les années 1990, on s’émerveillait de la subtilité fantaisiste de « La Salsal’ de Bain ». L’Orphéon nous barbouille d’une nouvelle éclaboussure irrésistible : « Flic flac faut d’leau ». Ceux dont l’enfance n’a pas disparu en applaudiront le ravissement.Par Bruno PFEIFFER – JAZZ NEWS

  • « Des moments historiques » par Soul Bag
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    Lors des concerts parisiens de Ray Charles, en 1961 et 1962, tout concourait à en faire des moments historiques. Lui-même était au zénith de son art, tant sur le plan vocal qu’instrumental, tandis qu’il était porté par son impeccable premier « big band », comportant des solistes du calibre de David « Fathead » Newman , Don Wilkerson, Phil Guilbeau, ou de la flamboyante Margie Hendrix (quatre duos avec Brother Ray). Quant au répertoire, il était constitué de pièces R&B-soul, de blues, et ballades le plus souvent magistralement « bluesées ». Enfin, Ray commençait chaque concert par quelques instrumentaux. Outre des variations dans le répertoire, la différence essentielle entre les concerts de 1961 et ceux de 1962 réside dans le fait que dans les premiers Ray Charles jouait de l’orgue (pour l’unique fois au cours d’une tournée européenne), et du piano dans les seconds. Toute la musique contenue dans ce triple CD est admirable (il y a même un fabuleux blues instrumental au piano dont [...]

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