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  • « Porte trace de la mécanique parfaite d’un récital du crooner » par Chants… Son
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    « Quand « The Voice » se produisit à Paris, dans les années 60, cela a laissé quelques traces discographiques. Frank Sinatra – Live in Paris 5/7 juin 1962 nous fait faire un joli saut dans le passé. En juin 1962, Frank Sinatra se produit  pour la première fois à Paris, d’abord au Lido et ensuite à l’Olympia. Il a 46 ans et signe des concerts pour des organisations caritatives voulant aussi se refaire une image après avoir été accusé d’être mêlé à des histoires de mafia. Une organisation très impliquée à l’époque dans le petit monde du show business américain. Collaborateur de longue date de l’Olympia, Jean-Michel Boris raconte ainsi son arrivée : « On l’attendait et on savait que ce n’était pas un « client » facile. Je crois que son avion avait du retard. …/… Et puis soudain s’encastre dans la rue Caumartin une immense limousine, six portes, noire, rutilante. Trois ou quatre gardes du corps en descendent. Costard, lunettes noires, look des Blues Brothers. Ils jettent un coup d’œil [...]

  • « Poignant » par Jazz news
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    Philippe Lesage et Teca Calazans, une paire qui a beaucoup œuvré pour Frémeaux, à travers de remarquables compilations sur le Brésil, se consacrent au nuevo tango, rénovation incarnée principalement par Astor Piazzolla. Une bande-son plus abstraite, moins bal pop, qui fait la part belle aux instrumentistes, longtemps au service du chanteur ou noyés dans la masse orchestrale. À l’heure des années 1950, les grandes formations typiques font place à des formats plus réduits, qui offrent plus d’espace à chacun. Comme dans le magnifique Quinteto Real du pianiste Horacio Salgan ou le génial Cuarteto du bandonéoniste Anibal Troilo. Poignant.Par JAZZ NEWS

  • « Il y a un Django après Reinhardt » par Jazz News
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    La nouvelle station de cette intégrale répond à la redoutable quadrature du cercle qui soit : comment prendre son élan et son allant sur les pré-requis de Django sans se retrouver les doigts gélifiés par le dogme. Il y a trois lustres, le Parisien Romane proposait la résolution de ce théorème avec une fraîcheur et une constance remarquables : la rectitude de la pompe rythmique des frères Yayo et Fanto Reinhardt, comme une assurance tous risques ; la contrebasse primesautière de Pascal Berne ; et, un peu partout ailleurs, la guitare, volubile mais pas bavarde, légère mais pas frivole, de Romane. Respectueusement mais avec déterminisme, ce dernier pointe une évidence, sensuelle, et sophistiquée : il y a un Django après Reinhardt. Et si la musique ne manque pas d’air, c’est qu’elle côtoie les cimes.Par Christian LARREDE – JAZZ NEWS

  • « Un élégant concert » par Jazz News
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    Les doigts volètent sans effort, les trilles dessinent une carte du tendre jazzy : une exhumation particulièrement bienvenue, avec cet élégant concert enregistré il y a près de vingt ans dans un club de la capitale, qui rappelle que Rodolphe Raffalli, initié en autodidacte à la musique classique, ayant fréquenté Atahualpa Yupanqui, et digne émule, certes de Reinhardt, mais avant tout du délicieusement aérien Henri Crolla, a su développer une fantaisie harmonique parfaitement inédite. Grâce à un répertoire patrimonial mais protéiforme (de Brassens – trois fois – à « Sweet Georgia Brown », en passant par un double hommage au maître Django), et au sein d’un quatuor dévolu à ses envolées poétiques, le guitariste développe un sens du swing manouche parfaitement épatant.Par Christian LARREDE – JAZZ NEWS

  • « La plus ambitieuse et la plus réussie des galettes » par Jazz News
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    Le label japonais Respect Records a souvent fait appel à Dominique Cravic et sa bande pour enregistrer des galettes « typiques » comme « French Café Music » ou « Rencontre à Paris ». Celle-ci – la plus ambitieuse et la plus réussie – s’attache à montrer des aspects pas toujours connus de la carrière musicale du guitariste manouche. On y découvre des thèmes musette qu’il interprétait adolescent, rue de Lappe, d’autres où il accompagnait le gratin swing de la chanson française poétique années 30-40 (Trenet, Johnny Hess, Mireille, Jean et Germaine Sablon) et plusieurs de ses compositions (dont un très beau et électrique « Anouman »). « Jazz vintage » ou « world musette » on retrouve tout au long de cet album la pâte unique et jubilatoire des Primitifs du futur.Par Jean-Pierre BRUNEAU – JAZZ NEWS

  • « Un cours magistral » par le Journal du Médecin
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    Présenté comme une sorte de Hors-série de la Contre-histoire de la philosophie, un cours que Michel Onfray dispense depuis plus de dix ans à l’Université Populaire de Caen, « Le post-anarchisme expliqué à ma grand-mère », livré avec humour et un brin de provocation, fait sortir l’anarchisme du bois ou plutôt du bocage, en l’occurrence. Le philosophe combattant aborde un courant de pensée mal entendu, initié par de nombreux penseurs, qui exprime une volonté de restructurer et réorganiser l’ordre établi et non pas de promouvoir une forme de désordre, comme on le pense souvent à tort. Bref, avec ce cours magistral sur l’histoire des idées Michel Onfray y remet un peu… d’ordre !Par Bernard ROISIN – LE JOURNAL DU MEDECIN

  • « Armstrong y demeure Impérial » par L’Express
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    Une des grandes entreprises discographiques de notre époque se poursuit avec ce treizième volume de l’intégrale Louis Armstrong. Comme les précédents, celui-ci détaille en un livret illustré la production musicale du trompettiste au cours de l’année 1947 regroupée sur trois CD. Les concerts marquants mais aussi l’émission de radio « This Is Jazz », enfin convenablement restaurée, et la musique préenregistrée aux côtés de Benny Goodman, Lionel Hampton et Louis Bellson pour la bande sonore du film d’Howard Hawks « A Song Is Born ». Armstrong, qui approche alors la cinquantaine y demeure impérial.Par L’EXPRESS

  • « Il y a lui, et tous les autres » par Jazz News
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    Trop proche de la mafia pour certains, désireux de redorer son blason aux yeux du clan Kennedy, Sinatra entame une tournée mondiale caritative qui le conduit à ses frais en l’été 1962 sur la scène de l’Olympia, devant un aréopage de personnalités (Juliette Gréco, Henri Salvador). « The Voice » a beau faire le malin, posant une jarretière à l’index sur les photos, ou coursant les girls du Lido dans les couloirs du George V, il reste sur scène l’imparable professionnel qui enthousiasme les audiences. Accompagné de ses musiciens habituels, en particulier du fidèle guitariste Al Viola, le chanteur fait en vingt-six stations, de « I’ve Got You Under My Skin » à «  Night and Day » en passant par « I Get a Kick Out of You », la démonstration que dans le créneau du crooner swinguant, il y a décidément lui, et tous les autres. Par Christian LARREDE – JAZZ NEWS

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