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  • « Swing irréprochable » par Lion
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    Claude Bolling (né en 1930), pianiste, compositeur et chef d’orchestre, est un exemple rare de longévité musicale en jazz. Il a créé en 1955 un grand orchestre avec lequel il a joué sur toutes les scènes internationales et les festivals pendant plusieurs décennies avec le même succès et la même exigence de qualité musicale. Pour graver ce CD, il a réuni un « petit band» de musique de chambre composé d’amis avec lesquels il travaille depuis plus de vingt ans : Pierre Schirrer (sax-fl), Michel Delakian (tp-flg), Pierre Maingourd (cb), Vincent Cordelette (dr) et deux vocalistes : Faby Medina et Marc Thomas. Ils interprètent huit compositions de Bolling, trois standards et une composition de Duke Ellington. Claude Bolling fut à ses débuts influencé par le style New Orleans et le ragtime avant de s’inspirer de la musique de Duke Ellington avec lequel il a joué et dont il est devenu l’ami. C’est donc dans un style de jazz classique exemplaire qu’il emmène sa petite cohorte de solistes r [...]

  • « Un moment charnière de l’œuvre de Gainsbourg » par Chants… Songs
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    « Le volume 2 du coffret Serge Gainsbourg et ses interprètes offre l’intégralité des créations de l’artiste au début des années 60, une période charnière où le rock n’roll et les débuts du yé-yé changent la donne de la chanson. Début 1960, un jeune loup publie chez Vogue son premier 45 tours : T’aimer follement. Il s’agit de Johnny Hallyday, 16 ans à peine. En quelques mois, il va éclater. Pour Serge Gainsbourg, c’est une époque en demi teinte où l’auteur-compositeur-interprète se cherche un peu. Heureusement, s’il continue d’apparaître à la télévision, pas toujours très à l’aise, il part tourner trois péplums en Italie dans le rôle, bien sûr, de parfait salaud. Une manière d’arrondir ses fins de mois. Gainsbourg n’a pas encore de rêves de réalisation et on sait qu’il préférait peindre que chanter. Cette chanson dont il dira des années plus tard, fidèle à son sens de la provocation, que c’est un "art mineur." Pourtant, en 1961, il marque les ondes d’une mélodie : La Chanson de Pré [...]

  • “For all jazz and calypso lovers wishing to explore the music’s African heritage
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    “Fremeaux & Associes are the same French label who gave us those extraordinary compilations on Jamaican mento and the gombey music of the Bahamas and Bermuda, as well as a definitive round-up of early Jamaican r & b. Please note that compiler Bruno Blum is meticulous in his research and invariably serves up a feast of little-known gems and seminal recordings that should delight even the most committed fans of Caribbean music. This three CD set is another remarkable pot-pourri of vintage recordings – one that sets out to trace the influence of African and Caribbean styles in American music. The main depository of this legacy was jazz of course, except this fifty-seven track collection also encompasses calypso, gospel, rhythm and blues and even field recordings before signing off with a hard bop sides by Art Blakey [Afrique and Ayiko Ayiko], Randy Weston and Max Roach. Disc 1 opens with an extract from one of Marcus Garvey’s speeches before we’re whisked back in time to the early 19 [...]

  • “some essential recordings, made during calypso’s Golden Age” par System Records
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    “Following their excellent 2CD compilations of 1950s Caribbean recordings covering: Jamaica Mento, Trinidad Calypso, Jamaica RandB, and The Bahamas, the French label Fremeaux cast the same spotlight on the even less well-documented Bermudas. This mysterious British overseas territory, a favourite of American tourists, has music and dance traditions called ‘gombey, based on African roots, and they also adopted the calypso. Fabrice Uriac and Bruno Blum have unearthed some essential recordings, made during calypso’s Golden Age, by such originals as Sidney Bean, Reuben McCoy and The Hamiltonians, the Talbot Brothers, Hubert Smith and His Coral Islanders, Erskine Zuill, Al Harris and His Calypso Band, Kingsley Swan and His Calypso Islanders and jazzman Lance Hayward. A unique anthology, with a 32-page booklet of rare photos and full notes, in English and French, which finally rediscovers the catchy, rhythmic, sunny and often humorous Bermudan music of the 1950s - and reveals that these [...]

  • « Loin des clichés et des lieux communs » par Regards
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    « Lorsque le jazz commença dans les années 20 à se diffuser à travers les Etats-Unis (et pour tout dire dans le public « blanc »), puis dans le monde, les influences africaines étaient évidentes aussi bien dans la tête des artistes qu’aux oreilles européennes qui découvraient cette nouvelle « musique » (parfois avec beaucoup de mépris comme Théodore Ardono). Toutefois ces musiciens pas encore désignés d’afro-américains n’étaient pas épargnés par la vision fantasmée et raciste d’un espace géographique sauvage, comme dans les « Tarzans » à la mode Johnny Weissmuller, dominé par l’esprit de la Jungle ou les hommes auraient conservés une certaine « animalité ». Néanmoins au fil du temps la prise de conscience s’aiguise, et la « redécouverte » du continent dans sa diversité et sa profondeur civilisationnelle (Night in tunisia de Dizzie Gillepsie »), ainsi que de son influence sur la culture des descendants d’esclaves (Mardi Gras in New Orleans par Fats Domino), teintent désormais de pl [...]

  • « Un monde musical fascinant » par ABS Magazine
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    Il fallait bien qu’un jour on s’intéresse enfin au rythm & blues qui se développa dans les Caraïbes anglophones, la Jamaïque en particulier, influencé par ce qui se passait à Miami (à deux heures d’avion), à New Orleans et aussi à Memphis dans les années 50 et 60 (*). Le mouvement Rastafari et les tambours liturgiques rastas entrent dans la danse et une foule de musiciens locaux suivent les traces des musiciens US de R&B comme Professor Longhair, Ray Charles, le duo Shirley & Lee, Roy Brown, Fats Domino, Jackie Brenston, Wynonie Harris (Denzil Laing reprend ici son Bloodshot eyes) et bien d’autres encore : il faut écouter, entre autres, Theophilius Beckford dans easy snapping, Laurel Aitkin dans Hey Bartender, Owen Gray dans Cutest Little Woman, Higgs & Wilson dans Manny Oh, etc. Des musiciens de grand talent se révèlent comme Ernest Ranglin à la guitare (Jack & Jill Shuffle), T. Beckford au chant et au piano (She’s gone), Roland Alphonso au sax (Pink Lane Shuffle), Derrick Morgan [...]

  • « Une éclatante passion » Par les Inrockuptibles
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    Sujet gouleyant, déjà traité par Tony Gatlif dans sa semi-fiction « Swing » : le jazz manouche, somme toute la seule catégorie du jazz spécifiquement française. D’ailleurs, ce documentaire devrait s’intituler « Les fils de Django », tant l’influence du génial Django Reinhardt s’avère essentielle dans ce courant. Les musiciens manouches auxquels ce film est consacré (Ninine Garcia, Tchavolo Schmitt, Angelo Debarre et Moreno) sont des adeptes de cette légende de la guitare, et poussent l’identification jusque dans leurs moustaches crayon soigneusement entretenues. (...)Par Vincent OSTRIA – LES INROCKUPTIBLES

  • « Mais d’abord du swing ! » par Le Canard Enchaîné
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    Il y a Angelo, l’austère, le travailleur, le gardien du Temple. Moreno, séducteur en diable, endimanché tous les jours, qui tchatche comme il rigole. Ninine, le plus moderne, le plus ouvert à cette société pourtant un peu fermée. Et Tchavolo, poète  virtuose, libre comme l’air, capable d’improviser, sans prévenir, un duo avec l’océan (si, si !). Sur ces attachants manouches guitaristes plane l’ombre de Django Reinhardt, au génie toujours inexpliqué-« En Egypte, on n’a jamais su comment ils avaient fait les pyramides. Django, c’est pareil », résume Moreno. Une magie dont ils se font les héritiers inspirés et généreux, peu importe qu’ils jouent derrière une caravane ou devant 3000 gadjés. Cinq ans ont été nécessaires au documentariste Bruno Le Jean pour croiser les portraits et les prouesses scéniques de ces quatre garçons dans le vent de liberté. Comme eux, son film a du souffle, du cœur, du chien. Mais d’abord du swing !Par D.J. – LE CANARD ENCHAINE

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