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  • « Une machine à swing saupoudrée de gospel » par Blues & Co
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    « J’ai l’impression que nous allons vivre la grande aventure du Godfather à la voix exceptionnelle en plusieurs épisodes. James Brown est certainement l’un des plus grands artistes de la musique afro-américaine du XXe siècle. Ce premier coffret évoque la révélation de cette machine à swing saupoudrée de gospel. Avant de découvrir son propre style, il va s’inspirer en partie du vocal de Little Richard. Écoutez  « I don’t know » ou encore « Chonnie on chon » pour en être convaincu ! Tout n’a pas été facile pour le natif de Caroline du sud qui a été abandonné par sa mère à l’âge de quatre ans, puis par son père parti s’engager dans la marine, laissant le fiston à une tante tenancière d’un bordel. Livré à lui-même et pour survivre, le petit James doit travailler dans des champs de coton, faire le cireur de chaussures et autres petits boulots. Encore adolescent, il sera arrêté pour tentative de vol de voitures et il va se retrouver derrière les barreaux. Au pénitencier il se consacre a [...]

  • « Le dernier coffret consacré à Sister Rosetta Tharpe...» par Blues & Co
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    « Ce coffret serait le dernier de Sister Rosetta Tharpe édité par Frémeaux et Associés car la nouvelle législation européenne a fait reculer de vingt ans le domaine public sur les enregistrements phonographiques qui empêchent entre autre ce label de poursuivre l’œuvre de l’artiste citée. Malheureusement, il faudra se contenter des rééditions ne dépassant pas les années 60. Ce volume 7 comprenant trois disques ne concerne pas uniquement Sister Rosetta Tharpe. On y trouve aussi sa mère Katie Bell Hubin et l’orchestre de Dizzy Gillespie avec des titres enregistrés à New York entre janvier 1960 et avril 1961, ainsi que Marie Knight accompagnée par le trio du pianiste Sam Price de la période allant de 1948 à 1959. Native de Sandford en Floride Marie Knight à la voix de contre alto s’est exprimée, la plus part du temps, dans le gospel avec une ferveur hors du commun. L’amie de Sister Rosetta Tharpe nous interprète en « bonus » neuf titres, dont l’une de ses compositions « The Florida St [...]

  • « D’émouvantes retrouvailles » par France Info
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    Ils sont frères et musiciens. Didier est au violon, Francis pianiste. Quatre années les séparent et c’est Francis qui fut le mentor de Didier. Dans les années 70, les frangins Lockwood ont joué et enregistré ensemble puis chacun a suivi sa carrière. Aujourd’hui, ce sont d’émouvantes retrouvailles que l’on peut entendre sur le bien nommé « Brothers ». Un album de complices et de finesse.Par Anne CHEPEAU – FRANCE INFO

  • « Les réussites de cet album sont nombreuses » par Jazzman
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    Cela faisait longtemps que l’on attendait un vrai disque de jazz de la part de Didier Lockwood. Il nous l’offre en compagnie de son frère, un complice avec lequel il improvise en toute confiance. Didier n’aurait probablement pas fait un meilleur disque avec un autre pianiste, tant les réussites de cet album sont nombreuses. Les compositions ont toujours leurs  moments de grâce. Habilement troussé sur une grille de blues, « I Don’t Think Anymore » génère des échanges drôles et joyeux. « October Waltz », une jolie valse triste, renferme un chorus de violon mémorable. « A Day in London, Above the Clouds » sont de touchantes ballades. A un violon virtuose, sensible et lyrique répondent les justes accords d’un piano constamment à l’écoute. Francis ajoute un profond sens du tempo aux belles couleurs d’un piano qui commente, relance, éblouit et met surtout en valeur un violon enchanteur. Dans « Tu me l’avais dit », presque une chanson sans paroles, les deux frères se racontent une vérita [...]

  • « Standards et originaux furent arrangés méticuleusement » par Jazz Mag-Jazzman
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    Loin d’être le résultat d’une jam-session familiale réunissant Romane, figure majeure du jazz manouche, et ses deux fils, « Guitar Family connection » a été mûrement pensé, préparé, peaufiné. Standards et originaux furent arrangés méticuleusement. On porta également grande attention au son de l’orchestre. Car il s’agit bien d’un orchestre. Chaque instrumentiste investit tour à tour diverses fonctions (ligne de basse, accompagnement, solo). Par souci de cohérence, pour faciliter permutations et interactions, les trois instruments sont réglés de façon à obtenir des sonorités très proches. C’est peut-être ce qui amena le publicitaire de service à parler « d’un musicien à six bras » alors qu’au contraire la similitude des sons invite à aller au-delà de l’immédiat, du spectaculaire, à prendre le temps de s’intéresser à tous les éléments du discours et donc à découvrir trois musiciens aux identités bien distinctes. Amusez-vous par exemple à étudier la place de la composante manouche dan [...]

  • « Très riche d’enseignements » par Jazz Mag-Jazzman
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    Trois CD, un livret copieux et savant : Bruno Blum retourne à travers cette copieuse anthologie aux origines du ska, pour tenter d’en découvrit les vraies racines en soixante-neuf titres, de Louis Jardan à Bob Marley en passant par Harold Land, T-Bone Walker, Jackie McLean, Count Ossie. Tous les morceaux ne sont pas inoubliables, mais leur écoute est très riche d’enseignements sur l’incroyable complexité des liens qui unissaient les musiques afro-américaines populaires à cette époque. JAZZ MAG/JAZZMAN

  • « Mingus revivifie les fondamentaux du jazz » par Jazz Mag-Jazzman
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    Durant toute sa vie de rebelle écorché vif, Mingus aura été à la recherche d’une identité impossible, toujours menacée, parce que brouillé par la malédiction de la bâtardise. Impossible donc de fixer l’image d’un seul Mingus. Dès que l’on croit l’attraper, elle se dédouble, se démultiplie, se trouble et nous échappe. Comment rassembler les pièces éparses et contradictoires d’un tel puzzle ? Par l’écoute de son œuvre. Pleine de bruit et de fureur, toute sa musique est le reflet éclaté, baroque, luxuriant  de cette quête désespérée d’unité. C’est une musique de colère et de tendresse, violemment engagée dans son temps et enracinée dans l’expressionnisme du blues et du gospel. Ce florilège Frémeaux est pour l’essentiel tirée de disques régulièrement disponibles sous leur pochette d’origine (« Oh Yeah », « Blues and Roots », « Ah Hum », « Mingus Dynasty », « Pre-Bird », etc.) et qui devraient figurer dans toute bonne discothèque. Concocté par Maître Alain Gerber et Docteur Alain Terci [...]

  • « Travail et expérimentation en orchestre » par Jazz Mag-Jazzman
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    Jazz Workshop, ça vous dit forcément quelque chose. « Workshop » signifie « atelier », un mot qui a surgit dans le jazz après les débuts du bop et qui sous-entend travail et expérimentation en orchestre. Dès l’été 1953, Charles Mingus et Max Roach ont leurs Friday Night Jazz Workshops au Putnam Central Club de Brooklyn auxquels participent notamment Theolonius Monk, Art Blakey et probablement Miles Davis. En septembre, pour leur label Debut, les Mingus et Roach y enregistrent un septette à quatre trombones (J.J. Johnson, Urbie Green, Willie Dennis et Kai Winding) qu’ils publient sous le titre de « Jazz Workshop ». Par la suite, le contrebassiste réutilisera le terme pour ses formations et contribuera en 1955 à l’album Savoy « Composers Jazz Workshop » réunissant des œuvres de Wally Cirillo, John LaPorta, Tao, Teo Macero et Mingus lui-même. La même année, sur les pochettes du label Victor RCA, le terme « The Jazz Workshop » prend la forme d’un élégant logo où certains connaisseurs [...]

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