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  • « Indispensable » Par Sur la route de Memphis
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    « Concoctée de main de maître par Gérard Herzhaft, qui signe aussi un livret des plus intéressants, cette anthologie de 3 CD’s offre une sélection des meilleurs moments (entre 1940 et 1961) de la longue carrière d’un pianiste / chanteur, hélas souvent oublié de nos jours. Pourtant, Memphis a influencé nombre de pianistes de boogie, d’interprètes de blues, voire de rock’n’roll. Indispensable donc. Par Bernard BOYAT – SUR LA ROUTE DE MEMPHIS

  • « In-dis-pen-sable ! » Par Sur la route de Memphis
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    « Que voici une compilation (3 CD’s) qui porte bien son nom ! Indispensable, en effet, sauf pour ceux possédant l’intégrale Charly en coffret 12 CD’s, que cette rétrospective de l’oeuvre des premières années, les meilleures, d’un des géants du rock’n’roll, au style si caractéristique. Le tout nanti de la griffe Frémeaux habituelle, en particulier le livret de Bruno Blum qui contient des entretiens avec Bo, des détails que j’ignorais sur lui et des explications claires et à portée de tout le monde sur les origines et la constitution de son rythme. In-dis-pen-sable ! »Par Bernard BOYAT – SUR LA ROUTE DE MEMPHIS

  • « Des conditions d’écoute excellentes, comme toujours chez Frémeaux » par Trad M
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    A l’écoute de ce coffret consacré à Boris Vian, on se rend compte combien les chansons, textes et musiques de ce créateur, auteur de plus de cinq cents chansons, ont conservé leur qualité et leur modernité. On pourrait penser que les morceaux, crées il y a une cinquantaine d’années, seraient devenus désuets. Il n’en est rien. Qui aujourd’hui oserait écrire « le petit commerce » qui fustige les marchands de canons, sans même parler du « Déserteur » ? Cet humour acide, railleur (J’suis snob) voire corrosif, qui sous-tend nombre de textes de Vian – comme ceux de Léo Ferré sans même parler de Georges Brassens – on aimerait bien le retrouver chez les jeunes et moins jeunes chanteurs français. En termes de censure, les lois du marché sont bien plus puissantes que la censure des années 1950 qui, elle, pouvait plus ou moins se contourner ou s’estomper avec le temps. Aujourd’hui, tout est permis, dit-on. Rien n’est moins sûr. Ecouter ces chansons des années 1950, c’est prendre un coup de j [...]

  • « Cet irréprochable, superbe et indispensable florilège… » par Lion
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    Né dans le New Jersey en 1929, décédé à New York en 1980, William John « Bill » Evans commença l’étude du piano à sept ans. En 1954, il débuta dans l’orchestre du clarinettiste Jerry Wald avec qui il enregistra ses premiers disques. En 1956, il entre dans l’orchestre de George Russell et crée son premier trio avec Teddy Kotick (b) et Paul Motian (dr). En 1958, il est appelé par Miles Davis avec qui il enregistre plusieurs disques dont le mythique « Kind of Blue ». Sur les deux Cd de ce coffret, Alain Gerber a sélectionné et présente, avec Alain Tercinet (livret de vingt-huit pages), vingt-six titres gravés entre 1956 et 1960. Sur douze plages, Bill Evans est entouré de formations diverses : Hal McKusick, Juliann Adderley, Miles Davis, Art Farmer, Chet Baker, mais c’est sur les quatorze titres en trio qu’il donne le meilleur de lui-même et que l’on peut au mieux apprécier son génie. Plusieurs musiciens se sont succédés au sein  du premier trio de 1956 (Sam Jones, Paul Chambers, Chu [...]

  • « Parfums capiteux du jazz néo-orléanais » par Jazz News
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    « Soutenue par la pompe élégante d’un Bucky Pizzarelli en guitariste plus qu’octogénaire, la clarinette d’Evan Christopher ondoie vers ce royaume magique où Sydney Bechet est le plus grand jazzman  de l’univers, et Barney Bigard son signalé prophète. Avec deux autres compères également remarquables (le guitariste  James Chirillo et Greg Cohen, aussi confortable auprès de Woody Allen  qu’avec Ornette Coleman, à la contrebasse), le quartette goûte aux parfums capiteux du jazz néo-orléanais, sans fixation passéiste. Dans ses compositions, au gré de quelques reprises (Jelly Roll Morton), il tente de réhabiliter  la distinction  et la sensualité de ces sons échappés du Quartier-Français. Léger, paisible et enjoué, cet album y parvient parfaitement. »Christian LARREDE – Jazz News

  • « Guitariste musculeux et sensible » par Jazz News
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    « Formé au côté de Tchavolo Schmitt, le Sarregueminois Christophe « Mayo » Hubert, bien décidé pour son coup d’essai en leader à ne pas s’inclure dans la cohorte des héritiers de Django, a convoqué ici l’harmoniciste chromatique Laurent Maur, lui offrant sa première incursion dans l’univers du jazz manouche. Ce quatuor  inédit (Francko Mehrstein à la guitare rythmique, Gino Roman à la contrebasse), extension virevoltante de ce que l’on entendait quand s’époumonait l’accordéon, laisse les mélodies s’envoler et les improvisations ébouriffer le swing naturel d’un guitariste, musculeux et sensible, qui prouve, en onze originaux et une reprise de Loulou Gasté, qu’il est tout aussi capable de galopade torride sur le manche que de tendresse assumée. »Par Christian LARREDE – Jazz News

  • « Une impeccable sélection de Gérard Herzhaft » par Jazz Mag – Jazz Man.
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    Ses premières faces de 1940 montrent un musicien prisonnier du carcan du « Blue-bird Sound » imposé par le producteur Lester Melrose, mais dont Memphis Slim s’affranchit dès 1946 en passant sur les labels indépendants qui prospèrent. Sa voix s’affirme, le boogie-woogie aussi, l’interaction du piano et de la contrebasse slappée fait merveille et la présence de saxophonistes donne un vernis rhythm and blues emprunté à la côte Ouest. Dès le début des années 1950, Slim, en phase avec son époque, s’attache les services de Matt Murphy, jeune prodige de la guitare alors inconnu qui va donner une expressivité nouvelle à sa musique. Les années 60 venues, sans rien renier, il se tourne vers le public du « blues revival » new-yorkais ou anglais, plus avide d’albums que de 45 tours. C’est ce parcours que retrace l’impeccable sélection de Gérard Herzhaft qui s’écoute avec un intérêt constant. Entre morceaux de bravoure pianistique, chant habité et solos de guitare brillants, on apprécie quelqu [...]

  • « Coup de chapeau à Frémeaux & Associés pour ce formidable travail … » par Music
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    Sister Act 7. Voici le dernier volet de la formidable intégrale sur la Dame Gospel, cette « sœur » à qui l’Amérique puritaine reprochait d’être attirée par les démons du blues. Voix gospel et guitare blues, cette pionnière du cross-over a façonné la musique actuelle, loin des chapelles. Les trois premiers coffrets, compilés sous la direction de Jean Buzelin et dont beaucoup de titres furet donnés par Chris Barber, tromboniste et chef de l’Orchestre de l’artiste, nous avaient déjà bluffés. Celui-ci propose en bonus des enregistrements blues avec la chanteuse Marie Knight des années 50. Coup de chapeau à Frémeaux & Associés pour ce formidable travail de recherche de bandes-son.Par MUSIC

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